J’ai beaucoup de mal à rédiger des recettes depuis quelques semaines. En mettant à part ces derniers jours de démotivation totale, mais qui n’ont rien à voir, c’est un vrai questionnement sur les partages que je vous livre ici qui tourne dans ma tête.
J’ai à cœur depuis des années de transmettre une cuisine simple. J’entends par simple, une cuisine de tous les jours avec des produits accessibles géographiquement et financièrement, tout simplement parce que c’est comme ça que je cuisine, c’est ce que mon budget me permet et c’est, je le crois, de cette façon qu’on montre que l’on peut cuisiner végétalien au quotidien, passés les débuts toujours déroutants, sans surcoût financier ou psychologique.
D’un autre côté, ma cuisine personnelle (individuelle, bien être) ce serait une cuisine encore plus simple, avec très peu de glucides (Plein de fromages, des légumes, des graines sous toutes leurs formes et quasiment aucun féculent, à part vraiment du bon pain de temps en temps) et je jeûnerai deux fois plus. Pas par snobisme, mais parce que c’est ce que j’aime, et c’est facile à préparer (et à digérer pour moi).
Mais en discutant avec nombre d’entre vous, il s’avère que beaucoup vivent avec un tout petit budget. La quasi totalité des étudiant.e.s pour démarrer, les personnes retraitées et les familles qui peinent à joindre les deux bouts. Or, on ne va pas se mentir, un kilo de pâtes ou de riz (même bios) coûte bien moins cher qu’un kilo de n’importe quel légume. Même si je n’ai pas du tout pour habitude de proposer des recettes coûteuses, j’essaie de réfléchir à allier les deux, et ce, de plus en plus – l’économique et le sain. A titre d’exemple, ce gâteau ultra moelleux au chocolat (que j’adore tellement et que je n’ai pas réalisé depuis….longtemps), serait aujourd’hui un pur luxe financier ET écologique : huile de coco, chocolat noir, sucre. D’où ma dernière recette de gâteau vegan basique.
Concilier son budget et ses valeurs
Cuisiner de façon écologique, ce n’est pas juste cuisiner végétalien (même si c’est vraiment le meilleur des aboutissements dans ce domaine). C’est aussi prendre en compte le budget de chacun, et allier au mieux des préoccupations tel que le zéro déchet, le local, le bio. Dans une situation de précarité économique, géographique, sociale, comment réussir à améliorer sa consommation alimentaire, comment se nourrir de façon éthique et responsable ?
Comment lorsqu’on vit en pleine campagne sans aucun magasin bio, trouver les matières premières sèches ou fraîches sans cautionner des circuits de distribution, aux pratiques douteuses et à l’éthique inexistante, comme c’est le cas de quasiment toutes les grandes surfaces ? De quelle façon, lorsqu’on vit en pleine ville, acheter des légumes biologiques qui ne coûtent pas deux fois plus cher ? Comment, lorsqu’on a un salaire absolument ridicule (quand on a un salaire), peux t-on arriver à faire ses courses autrement qu’en discount, là ou les conditions d’exploitation (humaines et environnementales) des produits sont souvent désastreuses mais les prix imbattables ? Comment, lorsqu’on a pas le temps, parce que des horaires compliquées, parce que pas véhiculé.e, acheter des produits bio, locaux, éthiques ?
Évidemment, il n’y a pas une seule réponse, chaque situation est tellement différente.
De l’importance de la transmission de savoirs
Pour moi, la vraie réponse, elle est là. Il y a des gens qui n’ont pas le temps, du tout, et qui sont freinés par des représentations à mon avis faussées de ces modes de vie. Bien avant le local, le bio, l’éthique il y a tout simplement une question de survie pour beaucoup.
Pour pouvoir investir 12 balles dans un déodorant ou un shampoing zéro déchet, il faut savoir que le bicarbonate ou le ghassoul c’est encore moins cher que le moins cher des déodorants / shampoing industriels.
Avant de pouvoir investir dans deux steaks végétaux à 4€, il faut savoir qu’une boite de lentilles est aussi intéressante sur le plan nutritionnel et si peu chère.
Afin de décider de remplacer sa bouteille de javel anti-microbes-destructeur-de-nappes-phréatiques par un produit labellisé « vert », il faut savoir que le vinaigre ça fait tout pareil.
Avant d’investir dans un t-shirt à 100€ (chose que jamais au grand jamais je n’ai pu faire) à la place d’un tee-shirt Promod à 5€ fabriqué avec dans les conditions humaines et environnementales que l’on connaît (et si ce n’est pas le cas, je vous invite à visionner le documentaire « The true Cost » disponible sur Netflix entre autre), il faut pouvoir se rendre compte que les vêtements d’occasions ce n’est pas sale, qu’il y a des points de vente, des vide-dressing, des sites de ventes en ligne d’occasions. Cela semble débile dit comme ça, car quand on vit de minima sociaux évidement qu’on achète pas des fringues de luxe, mais beaucoup vont choisir d’aller d’abord dans des magasins discount, de fast fashion, faute de connaître des alternatives locales intéressantes et d’avoir un environnement social facilitant le don de vêtements.
De connaitre toutes ces alternatives, cela demande du temps de réflexion, de recherches, d’expérimentation. Et pour ma part, j’essaie à travers ce blog de faire gagner du temps justement, en ce qui concerne la cuisine.
Il faut bien se dire qu’on n’a plus le choix de consommer n’importe comment, qu’il est urgent, tellement urgent de se bouger, mais que cela ne doit pas être source de culpabilité pour ceux qui ont peu de ressources.
De la frugalité comme ligne de conduite
Il existe des solutions économiques qui, malheureusement, sont aujourd’hui mal perçues parce qu’attribuée à la pauvreté. Mais la frugalité alimentaire est bonne pour le portefeuille ET la santé (non, nous ne sommes pas obligé.e d’avoir entrée / plat / dessert + 2 collations + Un PDJ avec des baies de goji, du lait de noix de pécan et des framboises pour être en bonne santé).
On peut avoir une garde robe minimaliste, sans s’habiller avec une toile de juste, on peut se laver moins et mieux sans gel douche fleur de TahitipouètPouète, gommage au sucre de la Lune et crème de la Mer Morte.
Parce qu’on n’est pas obligé.e de subir ces choix, ces décisions-là, mais qu’on peut justement les définir comme un vrai mode de vie sans passer pour un.e hippie sur le retour. Cela n’empêche pas, si d’aventure de la trésorerie passe par là, de l’investir dans des produits « plaisir », de faire vivre par la même occasion des artisans, des commerçants qui œuvrent pour proposer des alternatives saines et respectueuses de l’environnement, mais ce n’est pas un but en soi.
Devenir végétalien.ne ce n’est pas devoir dépenser plus pour mieux manger, c’est même tout l’inverse !
Tendre vers le zéro déchet ce n’est pas se ruiner en sacs à vrac / lingettes / flacons rechargeables. Combien de fois est ce que je vous de sgens qui jettent leur « tupperware » en plastiques pour racheter d’autres matériaux, c’est à se marcher sur la tête !
Se diriger vers une cosmétique éthique ce n’est pas acheter dix flacons chez Aroma-zone pour réaliser 1 produit au final.
Se laver sans générer de déchets dans la salle de bain ou dans l’eau de la douche, ce n’est pas acheter des produits zéro déchet plus cher, c’est en acheter moins, et biodégradables. Et ce n’est pas prendre une douche par jour quand on n’a aucune activité salissante.
Vous noterez que je ne m’attarde que sur les « petits gestes » du quotidien car on peut bien sur aller plus loin, mais ce n’est pas le propos ici. Bien que la responsabilité initiale revienne au gouvernement et aux industriels, qui ont eux le vrai pouvoir de tout changer de façon massive, les petits gestes comptes. Ils comptent pour la Planète, ils comptent pour soi parce qu’on peut être acteurs de sa vie, pour notre propre santé, notre propre environnement, et ils comptent aussi dans l’éducation que l’on transmet à nos enfants.
Quelle vison de l’alimentation partager ?
J’en reviens à mon questionnement initial. Quelle alimentation ai-je envie de transmettre ? La même que depuis le début, une alimentation qui exclut tout produit d’origine animale, le plus biologique possible, la moins importée possible. Et de saison. Mais peut-être avec un souci toujours plus accru de l’accessibilité financière et technique.
Je ne critique absolument pas les « autres » cuisines, attention. J’aime passionnément la cuisine du monde (qui est d’ailleurs souvent économique, l’origine des produits mise à part), je pourrais boire 2 litres de jus de légumes par jour, le cru à petite dose, même pas peur. Et j’adore toutes les expérimentations en cuisine que ce soit la lactofermentation que j’ai apprise il y a peu, la boulange (ah ouais sans blague avec tes douze recettes de pain on n’avait pas pigé), j’aime de plus en plus la cuisine low carb, même si j’ai beaucoup de mal à l’appliquer dans le cadre de menus familiaux.
J’adoooore tous les trucs bobo healthy qui coûtent un bras et que je n’achète absolument jamais, mais qui mettent du peps dans les assiettes (mais si, genre les crackers tout prêts aux épices, les sauces à la spiruline, les pâtes au curcuma et citron, des dizaines de tubes d’épices du monde en mode « mélange tout prêt t’as qu’à verser », les fromages végétaux qui coûtent 12 balles l’unité, et si ce n’était pas emballé je mangerais à peu près tous les tofus qui existent sur terre chaque semaine, ainsi que toutes les préparations au seitan de la marque Weathy… Pour finir, comme la quasi totalité de la planète j’adore les avocats, le chocolat, les cacahuètes (hum), l’huile de coco est un formidable outil en pâtisserie et je vendrais une oreille pour un paquet de noix de pécan caramélisées.
Mais ce n’est clairement pas une cuisine économique, viable pour la planète et applicable par la majorité (dans laquelle je m’inclue).
Alors qu’au début j’étais béate d’admiration devant des photos sublimes de plats un peu fous aux produits peu communs -joie de la découverte de nouveaux rivages gastronomiques qui alimentaient ma curiosité insatiable en cuisine, j’en suis largement revenue. Je dois dire que je suis vraiment avec attention les comptes de personnes qui mettent à l’honneur des produits simples, qui recyclent en cuisine, qui se renouvellent, en ayant un budget vraiment serré. Tout simplement car je suis aussi dans ce cas là, sans être non plus précaire. Et qu’en dehors de l’aspect financier, s’impose de plus en plus à moi comme une évidence qu’on devrait rendre à ces aliments leur caractère occasionnel.
Ce qui n’exclue pas de se faire plaisir, évidemment, ne soyons pas dans les extrêmes (on est déjà sur un blog végano-bobo-gaucho, n’en rajoutons pas).
Pour clore cet article, deux choses.
La première, je vous laisse avec une petite recette pour mieux digérer le pavé ! Recette simple vous l’aurez compris, dans laquelle j’ai usé de mon mode favori (Allez, levez la main celleux qui suivent), le mode sournois. Ouaip.
Parce que donner à manger des épinards, de l’oseille, du persil et de la menthe dans l’assiette d’un enfant, même pas en rêve. Alors de trois mômes, je pense qu’ils m’enverraient au bagne des Playmobil plutôt que d’y goûter. Alors que planqué dans une gaufre protéinée au sarrasin, c’est un peu deux en un, voyez : les protéines et les légumes dans une main potelée (pas la mienne de main, oh). Un repas au calme en récompense. J’ai un appareil à gaufres avec des plaques magiques où rien n’accroche. Si ce n’est pas votre cas, ou si vous n’avez pas de gaufrier, c’est parfait aussi en pancake. Ou en blini.
Gaufres (ou pancakes) au sarrasin
Pour environ 12 gaufres / 15 pancakes / + de 40 blinis
- 300g de farine de sarrasin
- 1 cc de levure sèche de boulanger
- 1/2 cc de sel
- 2 cs d’huile d’olive
- 40 cl d’eau tiède
- 4 grosses poignées de verdures crues (ici épinards, oseille, persil, menthe par quantité décroissante)
- 1 gousse d’ail
- Dans un cul de poule, verser la levure sèche de boulanger et ajouter l’eau tiède. Laisser se dissoudre la levure pendant 2/3 minutes.
- Ajouter la farine, le sel. Mélanger et laisser reposer 30 minutes sous un torchon.
- Mixer la verdure avec l’ail et l’huile (ou hacher au couteau finement) et ajouter à la pâte.
- Verser une louche dans un gaufrier ou sur une poêle bien chaude, puis déguster chaud avec une bonne salade ou froid. J’ai simplement servi dans MON assiette des jeunes pousses d’épinards cueillis avec amour dans mon potager et de la sauce au tahini (de la purée de sésame fouettée avec la cuillère magique, de l’eau et du jus de citron).
On peut tout à fait réaliser des pancakes très classiques sans levure ni levée, mais ce goût léger de fermentation est absolument délicieux. On s’approche d’une pâte à blini, en plus simple. Et c’est vraiment délicieux bis.
2ème chose, vous l’aurez compris, le partage de savoirs, ça passe aussi par la solidarité et l’échange, aussi je vous fais confiance pour partager avec nous vos trucs pour gérer un budget serré, ou peu extensible, tout en essayant de coller le plus possible à vos valeurs. Quels sont vos solutions, quels sont vos freins aussi ? Je vous propose de réaliser un récapitulatif de vos solutions pratiques dans un prochain article avec mes propres astuces et mes sources d’inspirations bloguesques ou livresques.
Délicieux avec des petits pois. À mon sens, mieux vaut faire 2 petites gaufres qu une grande gaufre… c’est plus facile à manger !
Merci !
Melanie
Oui et puis c’est mignon des petites gaufres 🙂
J’ai testé cette recette à l’occasion du challenge insta et j’ai bien fait!!!! Recette simplissime et rapide à faire, parfaite pour un soir où on ne veut pas se prendre la tête. Et on se régale. Je les ai faites avec de la courgette et servi avec une salade verte. Merci Mélanie!
Merci beaucoup Céline pour ton retour ! C’est clairement une vrai recette sans prise de tête 🙂
Bonsoir Mélanie
J’ai refait cette recette dans le cadre du challenge insta et j’aime toujours autant et surtout, mes enfants en ont mangé sans se douter qu’ils mangeaient des feuilles de blettes et fanes de betteraves et ça c’est une très belle victoire !
Merci encore pour cette recette découverte au départ dans ton excellent livre »vegan et ig bas ».
Bonjour Émilie,
ça fait partie de mes recettes modes sournois préférés oui !
Merci pour cette recette, qui va agrandir ma gamme de recettes rapides à préparer ! Et parfaite pour utiliser les restes de légumes, ou ceux un peu défraîchis. Moi j’ai testé avec les fanes de radis et un reste de salade trop amère pour manger crue : très bonnes ! Je les ai accompagnées de sauce sésame, d’un reste de lentilles et de carottes lacto-fermentées 👍
Bonjour Christine,
Votre description correspond tout à fait à ce qu j’appelle sublimer les restes !
Merci d’avoir pris le temps de me faire un retour 🙂
Mélanie
Merci beaucoup pour ce blog dans lequel je me retrouve bcp.
Une astuce perso :
Faire mes galettes pour un repas (consommées garnies) et manger le reste le lendemain couper en carrés de 2cm environ (paire de ciseaux) et revenu au beurre (un gros morceau de beurre) avec une verdure en accompagnement (salade, ou autre en fonction des restes)
Désolé, je ne suis pas vegan, plutôt flexitarienne. Je ne sais pas ce que ça peut donner avec de l’huile et en salants un peu plus…
Je profite du concours Warmcook pour partager ma recette ultra simple de pancakes au sarrasin!
1 tasse de farine de sarrasin ( vous pouvez mixer vos graines de sarrasin ça marche super)
1 tasse de lait ( j’utilise lait de vache ou amande ou riz)
1 oeuf
1 cs de vinaigre de cidre
1/2 cc de bicarbonate alimentaire
Mélanger et hop laisser reposer 10 mns si vous avez le temps et faites cuire vos pancakes à la poêle.
Déclicieux avec du sirop d’érable évidemment ou bien quelques traches de bananes à integrer pendant la cuisson.
Régalez vous bien!
bonjour,
votre sauce avec les gaufres à l’air juste exquise vous partageriez votre recette svp?
merci d’avance
Bonjour,
C’est une sauce au tahin (purée de sésame), délayée dans du jus de citron avec eau, sel et poivre, tout simplement !
Bonjour! J’ai une petite question, svp. J’ai fait les pancakes de sarrasin, mais impossible de les faire cuire à l’intérieur, ca reste…. gluant…. Alors j’ai tenté de les couvrir, de les faire cuire 10 minutes de chaque coté à feu pas fort, mais rien n’y fait…. Vous avez une idée?
J’avais déjà fait la recette dans le ebook « vegan et ig bas » et ca marchait bien, et là je sais pas… Je suis si déçue, moi qui ne rate quasi jamais rien en cuisine, quand ca arrive, j’enrage 😀
Bonjour Noria,
C’es exactement la recette du livre, dont elle est extraite, donc je ne vois pas non. Pas assez de repos peut être ? Feu pas assez chaud ?
ok bon je vais recommencer alors! Merci de la réponse!
Bonjour,
Merci pour cette article très intéressant ! Je te suis depuis un moment sur instagram mais je n’avais jamais pris le temps de laisser un message sur le blog.
Ça fais bientôt 2 ans que je suis vegan, et je dois dire que je suis passée par pleins de phases.
Déjà je ne cuisinais pas du tout avant (j’ai 22 ans) je ne savais rien faire à part des pâtes et mettre un cordon bleu surgelé dans la poêle, de plus je n’aimais quasiment AUCUN légumes. Précarité d’étudiante étant la, je ne cherchais vraiment pas très loin pour me nourrir et j’étais fan de marques discount.
Puis un jour, une révélation, je ne sais plus d’où ça m’est venu à l’origine mais j’ai radicalement changer, en quelques mois je suis passée du tout au rien.
Végétarienne puis devenue vegan très rapidement, adepte du zéro déchet, cuisine de saison, fais maison au maximum. Et je me suis mis une pression énorme, il y à eu beaucoup d’échec et de frustrations car au début il faut faire beaucoup de recherches quand on ne connait pas les bases et j’étais seule à le faire.
Puis j’ai découvert ton compte et tu m’as donner une autre vision de l’alimentation végétale avec cet aspect très familiale, simple, local avec lequel j’ai tout de suite accroché.
Désormais, nous avons adopter le même type de cuisine que toi à la maison ! Simple, locale au maximum, les produits exotiques deviennent des produits de luxes, occasionnel. J’ai d’ailleurs achetée 3 de tes livres (IG bas, tofu et celui sur les sandwichs) et les 3 sont vraiment le type de contenus que j’aurais aimer avoir au début de ma transition, tellement de ressources et de recettes faciles à adopter au quotidien !
J’aime beaucoup tes recettes et ta manière de pratiquer la cuisine végétale et toutes tes réflexions qui en découlent. Je suis vraiment ravi d’avoir découvert ton compte et que je suis assidument. Merci pour ta franchise et ton travail de qualité gustatif mais également « intellectuel » si je puis dire 🙂
[…] Une boisson dont le goût rustique et typé se prête plutôt aux préparations salées : béchamel, crêpes, cakes. Je l’ai en effet utilisé pour faire une béchamel à la purée de noisette et des pancakes de sarrasin (d’après la recette de Mélanie). […]
A reblogué ceci sur Les Fleurs Buissonnières /Bloget a ajouté:
Curieuse dans de nombreux domaine, vous le savez ceux qui me suivent depuis plus de 6 ans maintenant, j’ai découvert un blog de cuisine qui m’a passionné particulièrement, moi qui n’en suit aucun!
« Le cul de poule » animé par son auteure ,Mélanie, enrichi par ses recettes éclectiques et savoureuses au fil des mois, éco- responsable par sa démarche d’achat au plus près de chez elle, au moins cher à niveau de qualité égal, et bien sur au zéro déchet (vrac, pot en verre…) puisque ses repas tiennent compte des provisions entreposées dans son frigo avant tout réassort…Ce blog est un concentré de passion, comme je l’aime!
Bonjour, boulimique de nature (hélas en tout) j’avoue dévorer aussi sans me lasser toutes vos vidéos, vos conseils, recettes et ce dernier article (aujourd’hui) sur la « consommation » responsable me semble être l’article à lire par tous! MERCI!
Artisan fleuriste je tente dans mes achats et dans mes créations d’être le plus éco responsable. Curieuse de reyclage (avant « la mode », avant de devenir indispensable!!!!! ) j’ai toujours été respectueuse de mes produits achetés, cueillettes, glanes en forêts au fil de mes découvertes, ne prélevant que le nécessaire!, Blogeuse aussi depuis 6ans, je vais partager votre article, ce que je ne fais jamais!
Depuis toujours les fruits, légumes ont toujours eu a préférence, même si je me régale d’un bon poisson , d’une viande savoureuse mais surtout des oeufs et des produits laitiers!
Peu à peu j’ai découvert les « graines » dont je suis aussi friandes:) le lait végétal (d’amande pour moi!) fait désormais parti de ma consommation quotidienne; Adepte aussi du « jeûne intermittent » même si le petit déjeuner à toujours été pour moi le meilleur moment de la journée, j’ai remarque qu’ il ne manquait plus lorsque J’AI DECIDE de passer au 16/8.
Curieuse j’ai envie de gouter à toutes vos recettes, ce qui ne tardera pas (après ma semaine de jeune pour couper à mon ancienne alimentation!) Besoin de m’alléger, en tout!
Merci 🙂 Surtout continuez à nous motiver car parfois il suffit d’une voix derrière un écran pour faire changer les choses! Bon dimanche . Véronique
Bonjour Véronique,
Merci pour ce témoignage. J’espère que votre semaine de jeûne aura été profitable (ou l’est toujours si vous continuez !). Au plaisir d’échanger,
Mélanie
[…] Nous avions testé la recette de blinis au sarrasin du blog Le Cul de Poule à Noël dernier, et j’ai eu envie de voir si on pouvait utiliser la même pâte pour faire des sortes de pancakes. En toute franchise, c’était meilleur sous forme de blinis, en plus grand ça devient un poil trop pâteux à mon goût. Mais j’adore le principe des pancakes salés à base de farine de sarrasin, une prochaine fois je tenterai plutôt cette recette, toujours chez Le Cul de Poule. […]
[…] Le sarrasin, un allié de l’alimentation à IG bas ! […]
Bonjour Mélanie,
Je ne commente que très rarement en ligne, et cette semaine, j’ai du te laisser 3 ou 4 commentaires, tous supports confondus. J’ai découvert ton blog et tes vidéos récemment et c’est dans la lignée de ce que je cherche.
J’aime beaucoup ton approche et cet article résume bien ce que je pense et ce que j’aimerais appliqué davantage. Je suis sur un chemin « vert » (pour simplifier) depuis plus d’une dizaine d’année. J’avance trop vite pour certains, pas assez pour d’autres. Je suis, comme toi, passée par les super aliments, les trucs de healthy super machin et tout (ça aidait quand la composition du foyer était différente … avant j’étais célibataire parisienne à bon pouvoir d’achat, puis je suis devenue belle-mère banlieusarde avec deux enfants qui vivaient à temps plein avec nous, pour finir provinciale en couple versant une pension alimentaire à l’ex de mon mari et avec de grosses dépenses de train … – bizarrement quand on a annoncé à l’ex qu’on allait s’installer en province pour une vie plus au calme, elle a manifesté de l’intérêt pour ses enfants et a réussi à en obtenir la garde après 4 ans à ne pas les vouloir et à ne pas s’en occuper … je suis toujours amer et ai pas mal perdu fois en la justice).
Bref, tout ça pour dire, qu’avec les dépenses qu’on a choisi – double loyer pendant 8-10 mois avec l’achat de notre maison et les grosses mensualités du prêt -, j’ai prévenu mon mari : je vais faire des défis cuisine saine ET bon marché. En vrai, j’ai la chance de pouvoir me lancer ces défis, mais l’alimentation a toujours été un gros poste de dépenses, même si comme toi, tout est très brut dans nos placard, on cuisine beaucoup. Mais voilà, ce tofu lactofermenté à 4 euros, ce petit fromage végétal à l’amande à 5 euros, cette tablette de chocolat, et puis, mon mari gourmand « allez, les biscuits sont en promo » … Ça fait des paniers chers. Donc, dans la répartition des tâches, je gère désormais les courses et le budget associé.
Je vais donc continuer à planifier mes repas et à faire des meal prep, mais avec des recettes plus économiques sans renier le plaisir gustatif. D’ailleurs, un grand merci pour ton houmous de graines de tournesol. C’est waouuuu. Et m’a permis de voir les graines de tournesol autrement que comme un truc à mettre sur mes plats. Je me lance dans un pesto graines de tournesol / basilic à gogo pour ce soir.
Belle journée à toi,
Tatiana
Je découvre le blog, la chaine…aujourd’hui via friendly beauty. Comme beaucoup de monde je m’interroge sur ma consommation. Je suis passée au végétarisme il y a 6 ans pour raisons de santé, cela n’a pas été difficile je n’aime spécialement la viande, j’ai arrêté le lait de vache, ne gardant qu’un peu de fromage de chèvre et plus ça va, moins j’en consomme. Je peux passer plusieurs semaines sans en manger. Je regarde les prix au kilo de tout ce que j’achète et à part la Junk food, type biscuits sucrés qui sont souvent moins chers que le pain, tout est plus cher une fois transformé. Pour les fruits et les légumes je cherche bio et local et surtout local et direct du producteur ce qui permet le vrai zéro déchet, car acheter en vrac à partir des distributeurs de céréales, graines…n’est pas vraiment zéro déchet. Comme toi je ne vais pas jeter des trucs que je possède déjà pour des trucs plus verts, ce serait débile. Mes sacs de courses en plastique par exemple, j’en ai un que je possède depuis la mise en place de ces sacs…Je suis en train de passer à la lessive maison, ma première motivation est d’arrêter de jeter des bidons en plastique, mais je veux aussi payer moins cher puisque je consomme moins, je veux que la lessive lave bien sûr. Je suis dubitative sur les jolies lingettes réutilisables qui coutent beaucoup trop chères, pour moi lorsqu’on abandonne le coton jetable on fait ses lingettes dans de vieux TShirt.
wow! Un grand merci pour ce partage passionnant, tes mots tombent vraiment juste. Je suis plutot une lectrice de l’ombre mais depuis que j’ai decouvert ta chaine youtube il y a quelques mois tu es la personne que je préfère suivre. Cet article me semble le moment parfait pour te dire merci pour tout ca, et je retourne dans mon ombre 😉
Merci Marine d’avoir pris un peu le soleil alors !! 😉
J’ai fait des pancakes et ils étaient incroyablement moelleux et pleins de bulles, comme quoi il n’y a pas que le gluten dans la vie pour obtenir une pâte levée.
J’ai eu peu de succès auprès des hommes de la maison, bien qu’ils soient amateurs de verdure, c’est peut-être dû au sarrasin.
Mais je m’en fiche, je n’en referai que pour moi
Le sarrasin n’est pas simple à apprivoiser, c’est fort en goût, mais tu peux par exemple faire moitié blé et moitié sarrasin pour recommencer 😉
Bonjour Mélanie,
Je vous ai découverte sur youtube le week-end de l’Ascension et je crois que j’ai tout (ou presque) visionné, inutile de dire que j’ai adoré. Le ton, les techniques, les astuces… (Mention spéciale à « foutez la paix aux enfants »)
Je suis un peu triste que vous soyez démotivée, mais je le comprends, que ce doit être difficile de s’exposer sur les réseaux, certaines personnes sont peu bienveillantes.
Par contre, concernant tout ce que vous pesez (prix / environnement / local / budget…) et qui peut faire naître des hésitations dans vos publications, la seule chose que je peux dire c’est : vous êtes chez vous, vous faites ce que vous voulez, vous mangez ce que vous voulez.
Perso, je change régulièrement de technique, ingrédient fétiche, organisation… en fonction de mon humeur et de mes contraintes. DONC par exemple, je ne suis pas choquée que vous utilisiez juste une huile végétale classique pour le visage, ou que parfois vous parliez des Douces Angevines. C’est votre vie. Je ne vais pas dire ‘ouh la vilaine’.
Ca ne me plaît pas, j’utilise la croix en haut à droite de mon écran !
Bon, sur ce pavé j’arrête, je vais juste faire un autre commentaire sur la recette en particulier.
Merci Raphaëlle,
Je m’étais mal exprimée, je n’étais pas démotivée de partager avec vous mon mode de vie, juste de cuisiner tout court à ce moment là 😉
Et vous avez absolument raison, j’ai parfaitement conscience qu’il s’agit d’un blog, donc d’un espace représentant mes valeurs et ma façon de vivre (qui n’est en rien un exemple) mais qui pour le coup est à l’image de nos changements personnels et de mes envies.
Merci pour votre gentil mot !
Recette testée hier avec les fonds de frigo en mode ultra économique et anti-gaspi : fânes de carottes, reste de ciboulette, un reste de cueillette d’ail des ours, un peu de menthe du jardin et un peu de pistou. Je valide et bébé a goûté sans broncher :). Merci pour cette recette ultra rapide et économique. L’été c’est top avec une salade et hop le repas est fait. J’ai fait la quantité indiquée pour avoir du rab au congèl.
Merci Elsa !
Oui c’est vraiment rapide et simple à réchauffer si au congélateur 😉
Bonjour Mélanie, merci pour cette recette, ces pancakes sont délicieux et d’une facilité indécente !!
Oui ils sont super bons !! Merci 😉
Bonjour Mélanie, j’ai voulu retrouver cette recette en passant par l’index thématique et elle n’y figure pas. Je vous le dis au cas où, si c’est parce qu’elle est passée à travers les mailles du filet ! Belle après-midi !
Merci, je viens de la rajouter !
[…] Gaufres (ou pancakes) au sarrasin et verdure du jardin + réflexion sur une cuisine vegan toujours p… […]
C’est pas simple quand on a un budget ridicule ( parcontre j ai du temps, donc niveau temps en cuisine, je n ai pas d’excuses), quand on ne digère plus grand chose ( comme de plus en plus de gens j ai l’impression), et qu on doit momentanement arreter legumineuses, blé, lactose, epices, oignons, ail, echalottes ( la base du bon!!) et qu il est difficile de conserver des herbes fraiches a la maison.
Quand on veut réduire ses déchets le + possible.
Qu on veut cuisiner dans des ustensiles « safe ».
HELP MEEEEEE ( ahah la meuf qui craque).
Je kiffe tes meals prep et je les trouve plutot économique
Bonjour,
Déjà le temps c’est le plus important, car c’est la clé de repas sain et sans dépenser trop, donc tu pars bien !
Et je compatis (sans ail, oignons, échalotes, bouhouhou), mais du coup, tu peux essayer d’aller à l’essentiel quelques temps en cuisinant très simplement et très rapidement des produits bruts !
Et ça ne sert à rien de vouloir TOUT faire d’une coup ! Déjà cuisines pour te faire du bien 😉
Merci pour ce super article. Grâce en grande partie à tes partages, je me tourne aussi de plus en plus vers des choses simples, des produits du quotidien. Comme beaucoup de monde, j’ai eu ma période « luxe » avec huile de coco et autres ingrédients chers. C’est chouette ça m’a permit de découvrir plein de choses et de me rendre compte de la diversité de l’alimentation végétalienne à mes débuts. Bien évidemment, j’utilise encore ces produits mais de manière occasionnelle (en dehors des purées d’oléagineux dont je suis accro – il faut que je me soigne) et surtout je me suis rendue compte que l’on pouvait varier et avoir une vraie palette de repas avec les ingrédients « du quotidien ». Je m’en suis rendu compte également lorsque je me suis intéressée au zéro déchet, toutes ces luttes pour réduire notre impact convergent… En revanche, côté cosmétique c’est l’inverse, je suis passée directe aux produits bruts avec une routine très minimaliste. Pour ce qui est de la frugalité, elle devrait également s’appliquer aux différentes sphères de la vie quotidienne. Je pense notamment au vinaigre blanc et au bicarbonate pour le ménage. Sous prétexte que c’est naturel, certains en utilisent des litres par mois… L’avenir est en partie dans cette frugalité, on tend vers la décroissance et comme tu le dis certains interprètent cela comme de la pauvreté. Concernant l’alimentation, j’ai énormément de mal à appliquer ce « concept » car j’ai besoin de beaucoup manger. Peut-être devrais-je essayer de plus petits repas étalés sur la journée… Je ne sais pas, je n’ai pas encore trouvé et quand j’aurai arrêté complètement l’allaitement peut-être que ça changera aussi. Pour ce qui est de réduire son budget, je te dois de nombreuses astuces. Dernièrement, j’ai réutilisé au maximum les fânes pour en faire un pesto et garnir une pizza ou une calzone par exemple. Je le savais depuis longtemps mais il me manquait une bonne recette. J’ai déjà fait des galettes avec des fânes de carottes aussi etc. Cette semaine, j’ai fait un houmous pour de l’apéro, avec le reste des pois chiches à la tomate et aux épices avec de la semoule, avec l’aquafaba une mousse au chocolat etc. Les classiques mais qui permettent de manger pour pas cher et de varier les repas avec un seul ingrédient. Comme j’ai pu le lire plus haut, cette année j’ai pris des abonnements à Aurore Market et Kazidomi qui vont contre mes efforts de réduction des déchets mais qui me permettent de temps en temps de gagner du temps (je suis à 40 voire plus des magasins) et de faire de très grosses économies ! Certes ce n’est pas l’idéal mais ma situation a beaucoup changé (je travaille maintenant à la maison) et je ne me déplace plus beaucoup… Contrairement à la personne qui le mentionne plus haut, je prends mon temps et je ne prends pas plus que ce que j’ai besoin car je vois mieux les prix qu’en magasin. Voir le prix qui s’affiche au fur et à mesure des achats me permet justement d’ajuster, ce qui n’est pas le cas en magasin car je suis toujours pressée quand je fais les courses, ce qui aboutit à de mauvaises surprises au passage en caisse. Sur Internet, je vérifie mon panier plusieurs fois et au final je retire toujours des articles ! Enfin ces achats sur le net restent occasionnels bien entendu. Sinon pour des desserts rapides, légers et économiques, sur le site de Green Me Up il y a des crèmes à base d’agar-agar. Tu prépares tes blocs d’agar-agar que tu conserves dans un tupp et quand tu le souhaites tu mixes avec des fruits par exemple. C’est top et ça entre parfaitement dans le cadre d’un meal prep étant donné que les cubes d’agar-agar peuvent se conserver plusieurs jours. Je trouve que ça reste simple en plus et ça change un peu des yaourts et compagnie. Je teste bientôt tes gaufres, à très vite !
Bonjour Elsa,
Il y a des personnes qui ont un métabolisme beaucoup plus fort que d’autres et il est impossible de statuer sur une quantité de nourritrure parfaite (surtout quand on allaite !!). L’idée de la frugalité est vraiment de trouver un équilibre entre nos besoins physiologiques (qui sont encore une fois vraiment différents) et le plaisir de manger. Et trop souvent, on mange bien de trop.
Tu sais j’hésite aussi à me pendre un abonnement en ligne pour me servir moins de la voiture, acheter en plus gros le sec et me soulager un peu. Chacun fait comme il peut. Merci beaucoup pour l’article de Green me up, j’aime tellement ses partages !
A très vite !
On partage à peu de choses près la même philosophie, que tu exposes fort bien dans cet article ! D’ailleurs à mon sens c’est bien ça qui manque trop souvent, la philosophie ; pour moi c’est une matière, que dis-je, une hygiène de vie qui devrait être enseignée dès la maternelle (au lieu d’être diabolisée et présentée comme un truc totalement arbitraire au bac où tu te retrouves avec 4 ou 17/20 sans savoir pourquoi). Je crois sincèrement que beaucoup de maux du monde moderne prendraient fin si l’habitude de réfléchir à ce qu’on est, ce qu’on fait, pourquoi on le fait, était plus ancrée et plus « réflexe » chez tout le monde.
Brrrrref, je n’ai pas d’astuces particulières pour la cuisine, mais j’ai lu presque tous les commentaires et beaucoup commencent par « je suis loin d’être parfait-e… », et je voulais juste partager une remarque lue je ne sais plus où mais qui m’a paru frappée au coin du bon sens : on n’a pas besoin qu’une poignée de gens fassent les choses « parfaitement », juste que le maximum de gens les fassent imparfaitement, ça changerait déjà grandement la donne.
Et je te rejoins à FOND sur la responsabilité des politiques et des industriels. Je trouve pénible de culpabiliser les individus sur leurs « choix » de consommation alors qu’en amont on pourrait décider de proposer des choix bien plus vertueux (un exemple parmi d’autres : je me vois à chaque fois hésiter entre les yaourts en pots plastique et ceux en pots de verre 2 fois plus chers. Moi, j’hésite, et j’ai un budget (et une absence de lumbago 🙂 qui me permet de choisir parfois le verre. Mais pour d’autres, la question ne se pose pas et ce sera le moins cher, point. Alors que si le verre consigné était la norme, personne ne se poserait la question, que l’écologie soit une préoccupation personnelle ou pas. Voilà : on ne peut pas attendre que tout le monde s’intéresse à l’écologie. Il faudrait qu’un mode de vie soutenable et durable soit le mode « par défaut » même pour ceux qui n’en ont rien à carrer de l’écologie.)
Merci pour ton retour, c’est toujours intéressant d’échanger sur ce sujet et comme tu dis, la philosophie, loin des dissertations barbante devrait permettre au plus grand nombre de se questionner, et de sortir la tête de l’eau pour revoir ses priorités.
Bonsoir,
La pâte pancakes est en train de mûrir dans le four qui se refroidit après une tarte. On va y mettre un reste de fondue de poireaux. ça s’annonce délicieux, merci pour cette recette !
Côté astuces pas chères :
– j’achète les champignons bio quand ils ont l’air pas terribles, bien desséchés. Ils sont tous légers, donc moins chers, et ils se réhydratent très bien ensuite. J’ai dit desséchés, pas moisis, hein ?
– ma fille a « inventé » des glaces qu’elle adore : un verre+eau+sirop ou fruits ou jus de fruit+une cuillère plongée dedans. Quelques heures au congélo et c’est bon. En plus, ça fait expérimentation scientifique : « Maman, pourquoi ma glace elle veut pas se démouler ? » (c’était un verre ballon…).
Sinon, les commentaires m’ont fait réaliser que certaines personnes auraient bien besoin d’un joli tableau des fruits et légumes de saison en France… Ce qui se vend en magasin les habitue à manger n’importe quoi n’importe quand.
Merci pour ton travail de fond, c’est toujours agréable de te lire.
Les pancakes étaient très bons. Hum le croustillant sur le dessus…
Une autre astuce : l’huile de colza et tournesol désodorisée, celle pour la friture. C’est devenu mon gras pour tous les gâteaux. Neutre et pas chère, elle est idéale.
Merci Lili pour cette astuce !
Tu m’as bien fait sourire avec ton verre ballon ! Il n’en reste pas moins que c’est une très bonne idée et très économique avec des fruits peu coûteux. Et oui, un joli tableau de légumes c’est le B.a.b.A.
Merci à toi !
Wahoo, merci pour cet article. Je n’ai pas plus de réponse que toi aux questions que tu poses, mais je me les pose aussi et c’est rassurant, quelque part, de constater qu’on est plusieurs à partager ces interrogations.
C’est difficile de tout concilier, et je trouve qu’on en conçoit souvent beaucoup de culpabilité. Personnellement, j’ai souffert d’anorexie pendant plusieurs années et aujourd’hui j’ai quelques blocages psychologiques avec le fait de « m’interdire » un aliment (je ne parle pas ici de viande ou de poisson que je ne considère plus comme des aliments, mais, je l’avoue, de pâtisseries pas vegan que je mange encore hors de chez moi, ou encore d’aliments plaisir comme le chocolat, les purées d’oléagineux ou les bananes). Je trouve aussi que les politiques en matière de consommation et d’environnement sont faites pour entretenir cette culpabilité du consommateur/de la consommatrice, sans jamais remettre en cause les pratiques des entreprises ou des Etats (je te conseille l’écoute de l’épisode 28 de ce podcast à ce propos, si ça t’intéresse : https://anchor.fm/sois-sage-et-parle-fort). Beaucoup de questionnements donc… mais j’ai malgré tout l’impression d’avancer un peu plus chaque jour, et d’essayer de faire mon maximum, même si j’ai conscience que ça ne suffit pas et que certains jours le désespoir me gagne un peu.
Merci pour ton partage en tout cas <3
Bonjour Mathilde,
Chacun sui son chemin et parfois il y a des casseroles plus lourdes que d’autres. Ta priorité c’est de ne pas retomber dans des TCA et tu arrives à le gérer comme ça, tu n’as pas à te culpabiliser.
Merci pour le podcast, je retiens le lien.
Plein de bises,
Mélanie
Merci Mélanie pour cet article où je me reconnaîs. ZD depuis 4 ans, mais aussi on essaie un max de manger local, flexitariens, j’ai banni le poisson, mangé encore un peu de viande locale dont je connais les éleveurs et qui respectent leurs bêtes , et les œufs de mes poules qui sont élevées en plein air et qui gambadent presque jusque dans la maison. 😉 Nous nous habillons en friperie et notre cuisine est tout fait maison à 4, mon mari, et mes 2 garçons. Car c’est très important pour moi qu’on le fasse tous ensemble, pour que mes enfants apprennent et pour passer de bons moment en famille. Notre budget est raisonnable en mangeant que bio entre 100et 150€/sem pour 4 car tout les à cotés ne nous coûtent pratiquement rien.
Tes recettes m’inspirent bcp. Merci pour ton investissement.
Bonjour,
C’est vraiment un bel exemple que de convier toute la famille à ses habitudes. Nul doute que tes enfants en garderont des graines pour plus tard !
Bonjour Mélanie.
Bien bel article qui reprends toutes les questions (ou presque,) que l’on peut se poser quand on devient conscient de l’impact de nos actions- même les plus anodines- sur notre environnement ,notre santé…
Certes nous pouvons faire du fait maison, du local et du seconde main et faire l’impasse sur tous ces produits transformés, exotiques ou cultivés sans aucune attention à la manière.
Mais il arrive quand même un moment où c’est vraiment bien de se lâcher..sinon bonjour la frustration.
Alors une organisation que nous avons trouvé avec une bande de copains copines c’est la mutualisation
Mutualisation des fringues- pas toutes- quand on fait la même taille c’est l’achat par une personne d’une pièce qui la prête à une autre qui la prete à une autre.
Chacun faisant un achat ça fini par faire une belle garde robe.
Idem pour le petit électroménager. Pourquoi acheter une sorbetiere que l’on utilise que 3 fois par an quand on peut lui offrir quasiment le plein emploi des lors qu’elle passe d un foyer à l’autre et c’est aussi valable pour tiens! le gaufrier justement….
Il existe également des sites d’épicerie bio avec des prix de 15 à 50 % moins cher( la fourche notament) qui deviennent encore plus intéressant quand on fait des commandes groupées.
Bref on peut y arriver si on n’est pas tout seul.
Et tout le monde le sait : l’union fait la force.
Je vais m’arrêter là – Je peut être intarissable sur le sujet- et dire et redire merci Mélanie pour le temps que tu prends pour nous transmettre tes recettes,tes réflexions, tes certitudes et tes doutes
Bonjour,
C’est carrément formidable cette mutualisation des vêtements ! J’adorerai ce concept moi qui ne suis pas du tout attachée aux vêtements ! Et tu a stout à fait raison, être groupé permet de s’en sortir. C’est ce que l’on pratique pour beaucoup d’appareils électrique par chez moi : coupe bordures, appareil à tartiflettes, raclette, etc. On troque au besoin et ça évite de stocker pour rien.
Merci pour ton soutien et tes encouragements !
Mélanie
Je te suis sur youtube, insta et ton blog, et tout d’abord merci pour tout !
Je prends rarement le temps de commenter, mais je trouve que c’est un minimum quand on voit la générosité avec laquelle tu partages tes recettes, astuces, réflexions.
Encore une fois tu mets le doigts sur quelques chose de très pertinent; c’est sûr qu’a l’heure actuelle on est dans une tendance sur zero dechet et du manger sain (ce qui est fondamentalement très bien), consommer sain c’est bien, mais consommer moins et de manière raisonné c’est peut etre encore mieux.
C’est le soucis actuellement, est que la très très grande majorité des personnes partageant leurs recettes et astuce de vie saine, sur-consomme (entre les trucs envoyé par les marques et compagnie…) font des recettes magnifique mais avec des tas de produits « exotiques » (et cher), et pour beaucoup qui veulent se lancer, ceux sont des modèles : / alors ton discours fait du bien.
Je me suis beaucoup retrouver dans ce que tu appliques comme démarche, le fait de s’installer à la campagne (loin des commerces), d’avoir 1 salaire fixe pour 3, nous a bousculer dans nos habitudes de consommation, c’était un peu frustrant au début (c’est ma faute aussi avec tous les comptes que je suis sur insta 😛 c’est la tentation), mais je trouve finalement ce mode de vie (simple) tellement plus juste, cohérent (potager, troc avec les voisins, vetements et objets de seconde-main). On se couche la conscience plus tranquille le soir (surtout avec l’état de pollution et du climat actuel qui est alarmant).
Bref, merci encore, ton franc parler, ton humour, ta simplicité et ta créativité, ça fait tellement du bien <3
Bonjour Audrey,
Les réseaux sociaux sont clairement une vraie source de tentation et d’anxiété pour moi. Il est impossible de tout faire « bien » et se laisser tenter comme ça, c’est aller à l’encontre de cette frugalité nécessaire. L’idée c’est donc de faire le tri dans ce que l’on suit !
Bonjour,
C’est ma première visite sur votre blog et je suis vraiment impressionnée !
Par la qualité de votre article, celle des commentaires, c’est rare !
Je vais passer pas mal de temps à éplucher tout ce qu’on trouve ici je pense.
Je suis contente des avancées que j’ai pu faire en cuisine, dans es placards (mes pots en verre de pois chiches cuits recyclés en pot à graines, légumes et fruits secs etc… ne sont pas venus remplacer des contenants en plastique que j’aurais jetés comme vous le faites si bien remarquer ), sur les produits d’entretien, mais je peine sur les vêtements.
Jusqu’à il y a deux ans je m’habilais en grande tailles donc la question ne se posait même pas malheureusement, mais maintenant que je peux m’habiller n’importe où, avec un petit budget, sans aucun e habitude de repérer une bonne pièce (avant je portais ce que je trouvais dans ma taille, je ne sais même pas ce que j’aime vraiment), le circuit de seconde main me semble bien inaccessible… Et les vêtements à petit prix dont je connais le coût réel, troués au bout d’une saison, je souhaite vraiment m’en éloigner !
Bonjour Cécile,
Je connais bien votre dilemme vêtement. personnellement, j’ai horreur de faire les magasins, et j’ai la chance d’avoir des tantes qui font le tri dans leurs vêtements régulièrement et dont j’hérite. Pour le reste, je vais de temps en temps chez Bonobo qui a une gamme éthique et qui me permet d’acheter quelques pièces (pantalon notamment) sans détruire mes économies.
Je tiens moi aussi à te remercier pour cet article criant de vérité. La frugalité et la sobriété sont ce à quoi je tends car c’est ce qui me fait me sentir bien. Tu m’inspire beaucoup, et j’aspire à un mode de vie et une cuisine locales au maximum, de saison et sans superflu. C’est malheureusement difficile quand on ne vit pas seule, mon compagnon ne partage pas cette envie et ce besoin de frugalité alors il faut savoir s’adapter. Mais bon sang, ça fait du bien de se retrouver dans ton discours, ça redonne de l’espoir en l’avenir 😉
Bonjour Léa,
Je te rejoins, ce n’est pas simple du tout quand son compagnon n’est pas initiateur de ces changements et qu’il faut tout porter seule. Alors parfois il faut apprendre à lâcher du lest !
Bon courage !
Mélanie
Bonjour
Je ne suis pas particulièrement vegan mais depuis que j’ai découvert votre blog, il n’y a plus beaucoup de viande à la maison, sauf quand mon chéri va en acheter! J’aime surtout votre côté très pragmatique en cuisine: vos recettes sont rapides, faciles, adaptables et reflète ce que vous êtes, à savoir une femme qui travaille et qui doit cuisiner vite et bien le soir pour toute la famille. Il m’est donc facile de m’identifier à vous et de prendre une bonne partie de vos recettes. Depuis que je connais votre blog, je fais la plupart des goûters de mon fils (vive vos biscuits, muffins, votre gâteau vegan de base et autre pralin). J’ai aussi testé la purée d’amandes grillées et là, c’est une grande découverte puisque je fais ça en moins de 2 minutes avec mon thermomix. J’ai acheté la cuillière à glace et c’est vrai que ça facilite la vie pour faire les gouters. Je suis tombée amoureuse du pesto aux fanes de radis / levure maltée /graines. J’ai aussi partagé votre blog avec mes collègues: nous sommes 3 à vanter les mérites de vos recettes et grâce à cela, nous allons passer à 6. Quand une recette ne me plait pas pour x raisons (son prix, ses ingrédients ou autre), je ne la fais pas, c’est tout. Bref, c’est toujours avec une grande joie que je vois arriver une vidéo ou un article sur votre blog (ou sur insta que j’ai découvert grâce à vous) mais si vous êtes lassée, faites une pause, tout simplement ou publiez seulement quand vous en avez envie. Vous n’avez aucune obligation envers quiconque. Bonne continuation et soyez assurée que vous changez la vie de beaucoup de personnes grâce à vos partages. Nine. (PS: j’ai même acheté votre livre sur les graines!!! Grâce à vous, j’ai découvert le psyllium et le nigari)
Bonjour Nine,
Je ne suis pas lassée de partager mes recettes, je l’étais juste de cuisiner tout court 😉
Des retours comme celui ci ne peuvent au contraire que me mettre du baume au coeur et m’encourager à continuer !
Merci pour vos encouragements !
Mélanie
Et merci pour tes articles !!
Salut Mélanie, je suis avec intérêt ton blog et tes recettes alors que je n’ai pas de preoccupations de budget pour l’alimentation. Je recherche la simplicité dans beaucoup de domaines et j’ai toujours été comme ça, je me retrouve dans la plupart de tes messages.
Mon défi aujourd’hui alors que l’on est 4 et que je rentre a 19h30 les soirs de semaine est de pouvoir concevoir des menus rapides à l’usage de la nounou et du mari qui ne comprennent pas que des pâtes et surtout éviter les plats transformés. En fait le hic c’est que je n’arrive pas a m’organiser…
Bonjour Emilie,
Jongler avec des horaires n’est pas chose aisée ! Pour t’aider, tu pourrais commencer par établir des menus pour la semaine, cela t’évitera de trop réfléchir en rentrant du travail, et pourquoi pas de réaliser quelques préparations le dimanche en avance. Sans tout faire pour la semaine, mais 2 plats complets, quelques boulettes ou du tofu qui marine + quelques légumes de prêts, c’est déjà l’assurance de quelques soirées sereines.
Au plaisir !
Mélanie
Bonjour Mélanie !
je suis pas certaine d’aimer tes gaufres avec de l’oseille …… tes enfants sont vraiment formidables !un bisou à chacun d’eux tiens !!
sinon ben … tu commences à me connaître, (à travers le groupe et à mes divers comms sous tes articles) oui ! écolo depuis …….. toujours ou presque et en lisant ton article, un truc est venu me titiller mes neurones (les2 en mm temps 😀 )
Mais bon sang de pipe en bois, mécommentçasefaitdonc, qu’on en soit arrivés là?? quand j’étais gamine, on avait la consigne du verre, pas de sopalin (ma mère fulminait contre ce truc-là), le vinaigre, le bicar étaient juste des produits d’entretien bon ok ! elle était fana de javel et moi je kiffais l’odeur ! ouèp madame ! ) on est trop allés vers la facilité? profusion de tout à bas (??) prix ? ..
Perso, lorsque je vais au mag bio, je fais hyper gaffe au vrac depuis que je me suis rendue compte que, souvent, les produits viennent de Chine ou chépad’où, et que les emballés sont en général français voire européens… cruel dilemme ……
j’arrête là,tu as déjà tout si bien dit dans ton article!
encore bravo et mille mercis de nous amener, au filde tes articles, chaque jour un peu plus loin dans la réfléxion et le meilleur de nous
Mille bisous ♥♥♥
Coucou !
Je me suis rendue compte souvent en effet pour le vrac, alors je choisis là encore ce qui est le plus près a chaque fois.
Et je crois que cette course au confort et la satisfaction immédiate de nos besoins nous ont amenée par là. Pas simple de revenir en arrière !
Bisous !
Coucou Mélanie. J’ai lu ton article, bien construit com dab. Mdr, j’ai aussi une démotivation totale de publications de recettes sur mon blog depuis des mois. Faut dire que j’ai une vie extérieure très très remplie, entre le boulot, ma danse country en extérieur tous les we, les ateliers de cuisine que je fais, la famille, etc etc quand je me dis faut que je fasse une recette à publier ben je préfère me reposer, le dimanche jour le plus calme (en principe si je ne fais pas d’atelier ni ne danse) sur le canapé devant les séries que j’ai enregistré mais pas eu le temps de regarder en semaine lol ou faire un peu de ménage car avec 10 chats et 3 chiens y a de quoi faire mdr ….Pour dire, même pour l’écriture de mon 2em livre en préparation je n’ai même pas le courage de m’y mettre mdr. Pour le reste, j’ai toujours privilégié l’alimentation au reste (pas comme ma tante qui bouffait que du saucisson comme repas pour se payer des vacances lol) et j’essaye de faire les 2 sans privation malgré qu’il n’y ait qu’un salaire pour 3 à la case. L’avantage chez nous c’est qu’on mange du riz tous les jours, des légumes tous les jours et des grains (légumineuses) très souvent. La base de l’alimentation créole de La Réunion quoi mdr. Et je fais mes courses essentiellement dans les supermarchés, les légumes chez mon légumier et le bio dans les mag bios tels que Naturalia ou Biodiet les moins chers de l’ile (quoique ici tout est doublé par rapport à chez vous mdr). Après on a pas de chauffage à payer ni de manteaux à acheter. Pour les produits le savon noir, le vinaigre, les HE et le bicarbonate sont mes amis depuis 15 ans. Tiens, pour info, j’ai vu qq part hier que dans un pays les femmes se lavaient les cheveux qu’avec l’eau de cuisson du riz. Et en regardant hier mon eau de cuisson non jetée la veille, effectivement avec l’amidon ça fait un truc épais style après shampooing mdr. Bref, des tas d’astuces gratis possibles. Par contre j’ai un gaufrier mais des plaques de naze lol alors peux tu me sauver et me confier ta marque de gaufrier steupléééééé ? lol Aller, bisous, à un de ces jours IRL je l’espère.
Coucou !
Tu sais il vaut mieux avoir une vie très remplie positivement et moins publier, que l’inverse ! Le principal est de toujours garder en tête ce que l’on souhaite ! Et puis tu as déjà un beau répertoire de recettes, de fonctionnement écologique et économique, donc pas vraiment de quoi te stresser à vouloir faire mieux à tout prix.
Et ton environnement de vie doit être magnifique, je n’ai jamais eu l’occasion d’y aller (et l’aurais – je un jour quand on connait les retombées écologiques des vols longs courriers ?) alors profites en !
Mon gaufrier c’ets un lagrange https://www.darty.com/nav/achat/petit_electromenager/cuisson_conviviale/gaufrier_croque-monsieur/lagrange_019432.html?fbclid=IwAR0HD_5S10aZJ_B59O2zPBJA_zBToznP-9jTyDCJN5_OmEnRZGrPaJAlFng
Bises !
Mélanie
Hello. Oh, merci pour ton com et la référence du gaufrier. Si un jour tu viens sur mon ti caillou je serais ravie de t’accueillir chez moi. A bientôt. Bises Cathy
Si seulement, j’adorerai !
Bonsoir Mélanie,
Merci pour ton article, très bien écrit comme d’habitude et je suis tellement d’accord avec tout ce que tu dis. Chez nous, budget serré (1 salaire pour 4) mais l’alimentation est un pôle de dépenses important chez nous. Je fais tout maison (mais je précise que je travaille à temps plein , le salaire c’est le mien). On a éliminé plein de dépenses en changeant notre mode de consommation alors on met plus dans la bouffe, des bons ingrédients pour bien manger. Ton blog , je le dis, le redis, le reredis , est une mine d’or pour moi (mes posts instagram le montrent bien d’ailleurs 😉 )Tes dernières recettes ont intégré mon petit carnet direct (ils ont pas fini d’en manger des pains à la poêle 😀 )… C’est pour ça que j’aime ton blog parce que c’est toujours des ingrédients simples, des techniques simples, t’as pas besoin de t’appeler Bocuse pour t’y mettre, et ça me fait toujours rire quand je regarde tes vidéos parce que j’ai l’impression de me voir cuisiner (sans prétention aucune hein j’ai pas tes connaissances et ton savoir faire) car t’es pas toujours en train de donner des proportions exactes (sauf pour la pâtisserie sinon ce serait compliqué ) 35 gr de ceci, une 1/2 cuillère à café de cela , 12 ml de jus de truc…. et ça me plait, tant qu’il y a 3 tonnes d’Ail on est bon ahahah.
Merci, merci merci encore pour ton travail
Marina
Merci Marie !
Ce doit être une sacré gestion en effet de vivre avec un salaire pour 4, je te tire mon chapeau. Ici nous ne sommes pas à couteaux tirés, et l’alimentation est le poste le plus important, mais pour autant, je ne veux pas que ce soit à outrance.
Et l’ail, l’ail évidémment !! (j’espère qu’un jour mes enfants aimeront autant que nous^^).
Plein de bises et bon dimanche !
Mélanie
Bonsoir Mélanie !
Avec le temps, des contraintes sont devenues des choix de vies.
Pas de voiture: oui mais pas besoin car j’habite en ville. Donc je fais tous à pied et en transport en commun. Quand j’ai acheté un caddy à l’ancienne il y a plus de 10 ans, certains ont pu dire que c’était un truc de vieux. Au final, de plus de gens plus jeune en ont car pratique etc.
J’habite un studio car pas les moyens d’avoir plus grand. Finalement, je suis ravie et n’envisage même pas autre chose que grand maximum 25/30 m2!
Je tends vers plus de minimalisme dans la joie.
Concernant la cuisine : je suis arrivée à plus de cuisine végétarienne par curiosité. Un jour j’ai vu une vidéo sur YouTube » porc au caramel vegan ». J’ai regardé et je me suis : mais c’est génial ! C’est la chaîne de Lloyd Lang.
Elle a fait une vidéo sur ses essentiels pour la cuisine vegan.
Et j’étais lancée !
Depuis je fais du seitan, j’essaye de trouver des alternatives aux produits animaux. Mais le mieux, c’est que ça m’amuse ! J’adore le côté petit chimiste ( comme quand tu mets un yaourt de soja pour remplacer l’œuf et faire une mayonnaise).
Ce qui a changé aussi, c’est que je me fait livrer toutes les semaines un panier de fruits et légumes. Au travail avec d’autres collègues. ( potager city)
Ce n’est pas forcément bio mais c’est majoritairement local. Sauf pour certains produits. En revanche, c’est de saison.
15€ pour un peu plus de 5 kg de fruits et légumes.
Résultat, je me suis surprise à moins jeter, moins dépenser dans les supermarchés, cuisiner plus, manger plus varié !
Ça et la découverte de la cuisine végétale, c’est d’une part, une bien meilleure alimentation et aussi beaucoup moins de produits d’origine animale.
Je dirai work in progress.
Et puis je découvre ta chaîne il y a 3 semaines à peine.
Et les idées repas deviennent plus simples, concrètes et économiques. Merci !
J’adore la cuisine asiatique. Et je regardais la chaîne cooking with Morgan. J’adapte… Dans ce cas le seitan est mon meilleur ami. Au point que mes collègues voulaient que je leur fasse leur déjeuner… Vegan ! Alors que personne ne l’est.
Je suis à des milliards d’années d’être parfaite. Mais à force de chercher, regarder des vidéos, me renseigner, lire, j’ai mis en place une stratégie pour me nourrir de mieux en mieux, avec en ligne de mire éliminer produits origine animale, de façon économique et toujours en m’amusant et en y prenant plaisir.
Donc ma base, c’est le panier hebdomadaire autour duquel je brode.
En fait j’applique à la cuisine ce que j’avais déjà fait pour la cosmétique et l’entretien de la maison.
Beaucoup de lectures, réfléchir aux achats, du simple, pas trop d’ingrédients et de temps en temps, des plaisirs coupables ! ( j’avoue être déraisonnable sur le maquillage.)
Pour info, il y a une chaîne youcook sur YouTube plutôt destinée à public jeune. Ils ont une série se nourrir pour une semaine avec un budget 50, 30 €. Celles avec Jigmé ont une nette tendance vers le végétal ( pour ses 2 autres comparses, ce n’est pas le cas)
Voilà un pavé ! J’espère que ce ne sera pas indigeste à lire.
Bonne soirée 🙂
Bonjour,
Les témoignages ne sont jamais indigestes à lire, ils nous font avancer bien au contraire !
Et la perfection n’est pas un but en soi, le chemin vers « mieux » est étonnant, parfois frustrant mais le principal est de garder notre objectif en tête, mieux vivre, avec moins, et être heureux. Et le faire en s’amusant me semble une excellent méthode !
Merci pour avoir partagé ton parcours !
Oh que cet article sonne juste pour moi ! Oh comme je remercie le hasard (de son petit nom Nanouch) qui m’a fait lire ton article !
Tout ce que tu dis est exactement ma propre éthique, que je n’applique pas autant que j’aimerais cependant.
Pour présenter mon contexte personnel, nous sommes une famille nombreuse (3adultes, 4 ados=7 belles portions), qui tentons de vivre sur le seul salaire de Chéri, qui vivons en trou paumé de campagne (300hab) mais de moyenne montagne (1000m), en mangeant sainement de saison et local, en tendant vers le ZD etc…
On a accès à un panier de légumes bio d’un jardin de cocagne, qui fait la trame des menus + le potager et la cueillette sauvage + ce que je trouve comme beaux légumes bio locaux et de saison et sans emballage, là où d’autres obligations me mènent (biocoop, vie claire, marché…)
J’achète l’épicerie (bio) en vrac et grande quantité comme la farine au moulin, j’essaie d’aller vers les producteurs, je profite d’achats groupés notamment d’une de mes Coop bio, et je participe à un supermarché coopératif qui m’apporte d’autres prix attractifs.
Je cuisine bcp, je fais un max de choses moi-même mais je suis aidée par les autres membres de la famille car je dois conserver du temps pour développer mes activités.
Je suis une grande cuisinière qui collecte bcp de recettes et interprète en version locale ou veg ou sans ceci ou cela, toutes sortes de recettes du monde entier. Ça me permet de ravir les papilles de tout le monde sans nous ruiner.
Nous accentuons chaque année plus la cueillette, qui ne se limite pas aux champignons et orties ou fruits ou baies, mais aussi toutes sortes de plantes qu’on a appris à connaître et reconnaître dans des sorties et formations locales.
J’applique bcp le principe 1/3 de légumineuses, 2/3 de céréales semi complètes. On a des allergiques aux plv et de chèvres, d’autres qui digèrent mal le gluten ou le cru, une intolérante au sucre, et on louvoie avec tout ça.
On n’est pas végétariens, mais on connaît la provenance exact de chaque volaille qu’on mange et des œufs de la voisine, provenance des poulettes comprises. Aucune viande industrielle n’est consommée.
On consomme bcp de soja, mais français et bio, et les tous super bons mais emballés m’agacent alors je suis en pleines expérimentations autonomes… 😂
Je suis en décroissance des appareils ménagères électriques et c’est pas toujours simple, mais au final très gratifiant !
J’ai fait un pavé, désolée 🙏
Merci encore !!
Quelle organisation, je suis bluffée ! clairement la mienne ce n’st rein du tout et j’imagine à peine les quantités englouties par autant de monde à table !
J’espère aussi pouvoir apprendre à connaitre les plantes comestibles et j’adorerai apprendre à reconnaitre les champignons !
Merci beaucoup pour ton témoignage très instructif !
Merci pour cet article Mélanie, vraiment.
Moi aussi j’ai de prime abord été émoustillée par la découverte de produits colorés et healthy…Mais en fait ils ne me correspondent pas.
Dans ce débat « fin du monde », « fin du mois », où priment des considérations matérielles, est occultée (sans blague) les considérations fondamentales que sont la connaissance (et donc la transmission des savoirs, comme tu le dis) et l’importance de se questionner sur ses besoins réels. Recentrage dont on fait tout pour que les gens n’aient ni le temps ni la disponibilité mentale d’y accéder.
Alors que, dans mon cheminement, je vois bien que c’est ça qui me permet de faire croître de concert la courbe « bien-être personnel » et la courbe « écolonomies ».
Sans avoir jeté ce que j’ai déjà, j’ai en effet cédé à la tentation du marketing zéro déchet, avant de me rendre compte que je ne faisais qu’appliquer une version « éthique » au même esprit de sur-consommation (dans le sens au-delà de ses besoins). Mais j’ai eu besoin de temps, et « d’espace intérieur » pour réaliser et intégrer cela, alors même que cela faisait déjà longtemps que j’étais « conscientisée ». Or on fait tout pour que les gens n’ai pas à l’esprit de se demander s’ils ont réellement besoin de telle nouvelle acquisition.
Ce n’est donc pas une astuce miracle, mais une prise de conscience personnelle qui me permet de moins dépenser.
Sinon, j’avais pris un abonnement sur Aurore Market : de mon côté j’avais accès à des produits bio (vraiment) moins chers, et de l’autre je finançais un abonnement à une famille précaire.
Mais je veux limiter au maximum mes achats internet, réduire mes déchets et faire vivre les initiatives locales, donc en ce moment je préfère payer un peu plus cher un produit, et qu’il soit fabriqué dans ma région/département , ne génère pas de déchet ou soutienne les commerces locaux.
Et en achetant sur @ j’avais tendance à acheter au-delà de mes besoins, pour rentabiliser les frais de port. Pas de gaspi avec moi, tu penses bien; mais du stock inutile et surtout un montant trop élevé à payer d’un coup !
Personnellement j’ai remarqué que certains produits frais étaient moins chers à la biocoop qu’au marché; mais au moins sur les stands bio du marché je soutiens les producteurs locaux et le circuit court, alors c’est un juste équilibre 🙂
Alors que l’écolonomie est une valeur forte de mon blog, je me sens toujours peu légitime à proposer des conseils pour concilier budget et environnement car je n’ai pas une famille à charge. Je gagne très peu de sous, mais je ne suis pas dans la précarité et n’ai pas de charges, crédit, enfants.
Malgré tout, je sais que je veux que l’alimentation durable et saine soit une priorité. Cela restera dans mes postes de dépenses principaux, et je voudrais transmettre le plaisir et la convivialité de cuisiner des produits simples, savoureux, éthiques. Je n’ai pas la télé (= pas de dépenses d’abonnement, ni de temps « perdu » 😉 ) et je préfère cuisiner des produits bruts (donc moins chers) en écoutant une émission. Faire soi-même à partir de produits bruts, c’est plus économique, mais ça demande du temps. Pour ça tes Meal Prep aident beaucoup de gens je pense.
N’ayons pas honte de cuisiner simplement : pas besoin de faire des plats instagrammables pour manger de manière « saine » et écologique. Je pense qu’une pression est mise sur les foyers. Alors il me semble très important de faire la pédagogie d’une cuisine variée, simple, anti-gaspi et écolonomique.
On incrimine l’alimentation « durable » comme étant chère, mais les sodas, la viande ou le gaspillage coûtent aussi très très cher. Alors réduire ce dernier est bien sûr une piste ; l’ADEME, réseau action climat ou la FNE proposent de très bonnes publications à ce sujet !
Comme celle-c i : http://www.cpie81.fr/CPIE/media/file/Actualit%C3%A9s/fne_a-vos-tabliers-vf%5B1%5D.pdf
Ou ici : https://www.ademe.fr/particuliers-eco-citoyens/alimentation/eviter-gaspillage-alimentaire
Bonjour Mathilde,
Merci pour ce long retour? En toute franchise, je me freine aussi pour ouvrir un compte sur Aurore market, pour me soulager des courses un peu et avoir le confort d eme faire livrer. Mais…pour le moment, comme toi, j’essaie de faire vivre les commerces locaux. Constatant néanmoins une profonde modification des magasins bios qui tendent de plus en plus à devenir des supermarchés du bio avec des produits aussi inutiles que chers.
Je crois au contraire que tu es parfaitement légitime : non seulement tout ne monde n’a pas de famille, mais en plus, il n’y a énormément de personnes seules en situation de précarité qui seraient ravis d’avoir tes astuces et tes idées et pour qui, le modèle familial ne convient pas du tout !
Merci pour tes liens.
bises,
Mélanie
J’aime vraiment beaucoup cet article. J’en partage sincèrement les points de vue.
Ce que je retiens particulièrement et qui tourne sans arrêt dans ma tête depuis des lustres concerne le paragraphe sur l’importance de la transmission des savoirs. Ainsi que « l’envie » mise en lumière par LO dans les commentaires. C’est LE point qui pèche je crois, pour que chacun puisse « faire de son mieux en conscience ». Parce que bien entendu, cela ne veut pas dire que nous agirons tous pareil et que nous deviendrons parfaits dans nos choix. Mais je pense intimement que c’est là que ça se joue pour passer au delà d’une « communauté restreinte qui s’éclaire » à un monde qui s’allume. Et comme tu le dis, cela va au delà de notre façon de s’alimenter, qui en est une des composantes.
C’est un volet qui m’interroge comme je disais, constamment. Je pense et repense depuis plus d’un an à quand et comment j’ai commencé à m’interroger sur mon mode de vie et mes choix de consommation. A ta demande de fin d’article sur le fait de partager nos solutions et freins j’ai envie de répondre. Je vais tâcher de revenir avec un autre commentaire pour en présenter quelques unes. Et je l’espère, un nouvel article dans mon propre blog délaissé dans son nid.
Parce que oui, c’est par le partage, la discussion, l’expérimentation que nous avancerons en conscience. Apprendre, améliorer, se mettre en accord avec soi, s’épanouir..Ça semble vastement utopique mais tout cela est lié ! ^^
J’ai hâte de lire ta réponse alors, c’est en effet un cheminement qui s’adapte en fonction de nos modes de vie mais déjà le mettre en branle est le plus dur et le plus satisfaisant !
Coucou Mélanie,
je vous suis sur instagram (biscuitsetflaneriesbylilou), j’aime votre approche et votre franchise sur la cuisine.
Merci pour votre récit, tout y est dit, tout ce que j’aimerai dire autour de moi que je dis d’ailleurs quelques fois, mais il est vrai que je ne suis pas encore à l’aise avec mon discours. J’y viens petit à petit, aillant de nombreux problèmes de santé, ayant un régime alimentaire différent de la population en général, et depuis peu m’efforçant à être et manger ce que je trouve de mieux, je me heurte à beaucoup de reflexions désobligeantes, que je dois l’avouer j’ai du mal à répondre. Mais je prends du poils de la bête et désormais aux reflexions »…le sans gluten c’est la mode… » je réponds que « si je devais m’emmerder à suivre un régime se ne serait surement pas le sans gluten!! trop contrégnant et difficile », pour moi pas le choix je suis coeliaque, et en plus crohn donc pas simple. Mais c’est vrai que désormais je penche vers le végétarisme, je suis végétarienne, enfin depuis peu et zéro déchet aussi, là pas par nécessité mais par idéologie. Tout çà pour vous dire, que dans la société actuelle rien n’est simple et on ne fait rien de simple, l’humain est compliqué, il faut des fois de gros problèmes divers pour qu’il se rende compte de se qu’il désire le plus et qui est bon aussi pour la planète, alors merci à vous de remettre les pendules à l’heure.
Pour mes astuces, pour mon budget, je suis dans une région où le bio et le zero déchet et le vrac n’est pas encore au top (manche, près de Cherbourg), donc je fais les marchés j’ai la chance d’avoir des petits producteurs autour de moi, je vais au biocoop 2 fois par mois à 35 km de ma maison, et je cuisine beaucoup, j’ai acheté beaucoup de matières premières pour m’apercevoir leur coût élevé et surtout qu’au final j’utilisais toujours les plus simples. J’ai la chance d’avoir un ancien moulin à 10 km qui fait encore sa farine de sarrasin,top!! et je cuisine avec des reste, avec ce que j’ai sous la main, des crèpes que je décline en salées, des soupes, des salades, des gâteaux sains, je fais mon pain, j’ai desoeufs de la ferme d’à côté, oui je n’ai pas encore arrêté les oeufs et le fromage, mais le poisson c’est pratiquement fini. Voilà, je suis bavarde, j’aime parler avec des personnes qui vnt me comprendre et non me juger.
Désolé pour le pavé et un grand MERCI impatience de vous relire ou vous voir dans une nouvelle vidéo pour apprendre d’autres recettes que je réinvente ensuite à mes goûts 😉
Merci beaucoup pour votre témoignage, vous avez plein de super habitude de vie déjà !
Bonjour et merci pour cet article ma foi fort intéressant !
Depuis ma prise de conscience et mon choix de m’orienter vers une alimentation végétalienne j’avou que avoir augmenrer ma consommation d’aliment certe sans origine animale mais avec des conséquences néfaste pour l’environnement. Comme tu le dis cela passe par l’information, car bien sûr que si j’avais eu les informations plus tôt je n’en aurais pas acheter autant !
Enfin bref merci encore ! Et pourquoi pas un petit sujet sur les faces cachées de certains aliments. Ce serait top !!
Bonjour Marie,
On ne peut pas être au top sur tout, au risque d’y perdre la tête ! Autant ancrer des habitudes progressivement et y aller par pallier 😉 C’est une bonne idée de sujet oui !
Juste pour te dire, Mélanie (je me permets): Je t’aime. Voilà, c’est dit. Je t’aime. J’aime ta façon de voir les choses que je partage à 1000% (même si j’avoue que j’ai un mal fou à me retenir devant les avocats espagnols parce que mes 2 enfants adorent et que je suis bien contente qu’ils en mangent parfois au petit dej ou au gouter à la place d’un truc sucré…). J’aime ton courage de partager ta vision. J’aime la générosité avec laquelle tu partages ce que tu sais. J’aime la simplicité avec laquelle tu t’exposes. J’aime (j’adooooore, je kiffe ton humour! L’humoour fait TOUT passer!). J’aime tes recettes. Bref, continue. Continue. Tu es rare sur la toile et ça fait du bien des gens comme toi! Je ne suis pas végane (je l’ai été) mais je suis toujours très très tournée vers ce type d’alimentation et j’ai très à coeur de partager cette culture culinaire avec mes enfants. Tu y contribues largement. Samedi on fêtera leurs 2 ans, et je vais faire ton gateau basique (en muffin) agrémenté de pépites de chocolat et surmonté d’une framboise, le tout présenté en petite pièce montée, avec 2 bougies au sommet évidemment.
Merciiii pour ce message si plein de gentillesse, merci merci ! Et c’est génial d’ouvrir d’autres horizons à ses enfants !
J’aime beaucoup ton cheminement, tes questionnements, j’ai souvent l’impression que ça m' »ouvre la voie », me permet d’avancer à mon tour vers des choix de vie plus écolo et éthiques, plus alignés avec mes valeurs. Tu as une telle énergie et un humour tellement sympathique, merci pour tout ce que tu partages avec nous !
Merci Ceissie, je suis contente si ces réflexions peuvent aider à avancer !
Merci pour cet article très intéressant, qui fait écho à l’article de Pauline (Un invincible été) et qui alimente la réflexion…
Petite question sur la recette : il me semble que la farine de sarrasin est non panifiable, est-ce que le mélange gonfle quand même avec de la levure de boulanger ou est-ce qu’il ne faut pas s’attendre à des bulles ?
Bonjour Charlotte,
J’ai vraiment aimé l’article d’un invincible été qui remet bien les pendules à l’heure oui ! Si ca fait aussi des bulles avec le sarrasin ! Même légères mais ça fermente 😉
Merci pour ce questionnement que je partage à 100% !
Je navigue souvent entre simplicité, zéro déchet, petit budget et désir de toujours tester plein de recettes pour varier les plaisirs et donner du relief à une alimentation saine et locale. Même si je n’ai pas encore trouver mon mode de fonctionnement idéal, je commence à attraper certains réflexes et les conseils que je puise ici me sont d’une grande aide. J’ai partiellement adopté le nettoyage des légumes tout d’un coup le week-end et les préparation en gros à congeler (10 burgers lentille-quinoa nous attendent au frais).
J’ai également développé une capacité à adapter des recettes qui me font envie mais ne sont pas entièrement en accord avec ma cuisine. Mon reflex principal : je remplace toutes les crèmes et laits végétaux par de la crème ou du lait d’avoine maison fait minute. Je remplace également souvent quelques ingrédients en fonction de ce que j’ai comme légume ou réserve dans mes placards. Pour cela, le livre de Cléa Coaching Veggie (malheureusement pas vegan mais un beau nombre de recettes sont adaptables) est super car il liste tout plein d’alternatives pour une recette. (Tes recettes contiennent de plus en plus de conseil en ce sens et pour ça, encore merci!) Mon idéal serait d’avoir ma petite liste de recettes de cette même façon car pour l’instant tout est dans ma tête, ce qui requiert pas mal d’énergie mentale. Du coup, avant de faire une nouvelle recette, je mets dans la balance le temps et l’énergie mentale que la recette va demander versus la satisfaction gustative. Cela me permet de faire un grand tri dans la liste de recettes à essayer.
Belle journée !
Merci pour ton témoignage Pauline ! J’avais lu aussi que le livre de Cléa était vraiment bien pensé en ce sens. Et tu pourrais tenir un petit cahier répertoire des basiques que tu prépares souvent par exemple.
Bonjour Mélanie, très bel article et même commentaire que cyclaf, même si un lapsus c’est super !
Juste une question…je suis un peu aveugle parfois..pour la recette « Ajouter la farine, le sel et le bicarbonate »…mais tu mets combien de bicarbonate ? Il ne figure pas parmi les ingrédients…
Merci beaucoup !
Bénédicte
Bonjour, j’ai modifié, une erreur de frappe, merci !
Quel bel article ! J’aime bcp et je soutiens à 100% ce que tu dis. J’ai 4 enfants à la maison et c’est vrai que le poste « alimentaire » est assez conséquent. Néanmoins il est moins important que quand j’allais au drive ! Et pourtant, on consomme quasi tout en bio, comme quoi…. MAIS on n’achète quasi pas de viande (1X par semaine pour les enfants), je cuisine presque tout à partir d’ingrédients bruts et j’ai des recettes économiques que je dégaine : chili sin carne, boulettes de lentilles, hachis vg etc et je fais mon tofu à partir de ta recette (1.85€ pour 800gr on ne peut pas faire mieux !).
Idem, réflexe de l’occasion toujours avant d’acheter, que ce soit un meuble ou un habit. On fait des concessions aussi, savon fabriqué et acheté local (ça fond vite à 6 !) > uniquement pour la douche mais savon de marseille pour les mains sinon et la vaisselle (y’a pas plus économique). Pate à tartiner uniquement le week-end. J’ai diminué la purée d’amande, mon péché mignon, et je survis. Fromage VG une fois par mois seulement etc…
Passe une belle journée sous le soleil breton ! (je suis une expatriée du Finistère qui a atterri à Tours)
Audrey
Bonjour Audrey,
Tu as beaucoup d’organisation, c’est chouette (et avec 4 enfants, chapeau!!).
J’ai beaucoup de chance … Un magasin de légumes locaux ET bio dans la rue perpendiculaire à la mienne /*qui vend aussi des légumineuses … */, un budget pas trop serré /* & il l’est de moins en moins avec le ZD, la rationalisation, l’organisation, etc … */ et un cerveau qui fonctionne plein tube.
Avoir en plus accès à une info claire et joliment écrite, c’est le cadeau Bonux, la cerise sur le gâteau !
Merci !
/* & la toile de juste, c’est juste génial. Oui, je sais, c’est un lapsus mais j’adore quand même !!! Tu as bien fait de le laisser ! */
J’aime bien la réflexion de Christine : la consommation n’est ni un passe-temps ni un loisirs. À remener aux « on va faire (la peau aux) les magasins, écumer les boutiques, dévaliser les rayons, faire chauffer la carte bleue, y laisser un bras etc !
Bonjour !
Tu es très bien placée aussi en effet ! Et je vois une énorme différence avec l’organisation et la rationalisation également sur notre budget. dans l’autre sens c’est également valable, le moindre laisser aller, la moindre semaine d’improvisation et bim, le compteur grimpe…Mais je n’ai pas cette discipline permanente, c’est trop usant !
Chouette article. Car même si je sais tout ça, et suis complètement d’accord avec tout ce que tu proposes comme alternatives, ça fait du bien ces piqûres de rappel !!!! Merci Mélanie. Après, je trouve qu’il est difficile d’être au top sur tous les fronts. Niveau alimentation, chez nous, c’est tout comme tu dis ! (YES !)
Par contre, parfois le temps me manque pour consommer autrement (CF les enfants qui grandissent si vite qu’il faut racheter régulièrement des vêtements et que je n’ai pas forcément le temps de faire des recherches pour trouver des secondes mains – un tour vite faut chez K…., pour acheter un short et trois tee shirts et le tour est joué). Je n’en suis pas fière car je sais ce que ça implique, mais je n’ai pas toujours la possibilité d’anticiper et je n’ai pas envie de culpabiliser parce qu’on nous fait déjà assez culpabiliser comme ça ! la parade que j’ai trouvé au niveau des fringues, c’est vraiment d’en acheter BEAUCOUP MOINS. Si on n’a pas besoin, on n’achète pas. J’ai appris (et j’ai bien changé là dessus), et j’apprends à mes enfants que l’acte de consommation n’est ni un loisir, ni un passe-temps pour se faire plaisir. Et puis de toutes façons, nous n’en avons pas les moyens !
Sur ce, je file en cuisine car je dois faire ma pâte à petits pains plats et des gaufres à la verdure !!! (pour le low carb, on repassera !)
Belle journée !
Merci Christine pour ton retour,
Je crois qu’il est aujourd’hui impossible d’être au top sur tout le front, au risque d’y laisser sa santé nerveuse. Je ne suis pas parfaite non plus et Décathlon est mon meilleur ami pour les chaussures vegan des enfants qu’il faut remplacer tous les 6 mois à cause de leur croissance et autre maillot de bain, jogging que j’ai de plus en plus de mal à récupérer en seconde main (mais c’est quoi le problème avec ces genoux de pantalons qui se déchirent tout le temps, on peut m’expliquer ?!).
Mais comme toi, je m’en tiens au strict minimum pour tous.
Pour le low carb je n’ai pas la palme non plus en ce moment ^^.
A bientôt !
Mélanie
Merci pour cet article très intéressant !!!
Merci Nathalie !
Hello! Merci infiniment pour cet article issu d’une réflexion tellement sensée (je retiendrai qu’il n’est pas nécessaire de s’habiller de toile de juSte, le lapsus de l’année 😍). À une époque et dans un contexte où les médias et réseaux sociaux semblent avoir pour principale vocation de culpabiliser tandis que, paradoxalement, on s’agite sur les ronds-points pour crier notre désespérance, enfin tu écris noir sur blanc ce que le quidam hurle tout bas : OUI MAIS COMMENT ? Je ne vais pas reprendre tous tes arguments, ils sont la vérité vraie. Je vais juste en ajouter un : il faut avoir Envie. Et donc avoir l’honnêteté intellectuelle de s’avouer que derrière les étendards que l’on brandit souvent (trop cher, trop compliqué, trop « accessoirisé » se cache parfois un cruel manque de motivation pour faire. Faire de ses mains, faire marcher l’imagination, faire marcher l’entraide, faire marche arrière et j’en passe qui ramènent au fondamental d’une existence simple et frugale. Frugalité, le mot le plus important peut-être de ton post et je te remercie de l’avoir posé là car il est un véritable cadeau. La frugalité est un état d’esprit avant d’être un mode de vie et aussi un cheval de bataille face au consumérisme.
Pour ma part, depuis quelques temps, je rajoute systématiquement un légume dans mon plat de pâtes. Le brocoli est génial pour ça, cuit à part puis émietté dans les pâtes + soja cuisine + levure maltée, un délice. Cinq euros pour 4 à la louche.
Bonne journée Mélanie ! 🌱🌻
C’est pas faite d’avoir relu X fois…!
Du coup je vais le laisser, ce lapsus tiens !
Tu as parfaitement raison, il faut avoir l’envie. Au delà de cette envie, je crains que l’homme a besoin de trouver un intérêt à ce qu’il fait. C’est malheureux à dire car on pourrait supposer que parfois le bien et le mal (concernant le végétalisme) devrait largement suffire, mais non. Alors il faut trouver ce qui donnera le déclic, l’impulsion, l’envie !
Le mot frugalité est tellement important. Mais là encore j’imagine que selon là ou l’on se place il n’est pas porté de la même façon : choix de vie ou subi. J’ai eun longtemps pendant mes années d’étude un mode de vie très frugal (pourtant j’ai sans cesse travaillé, mais pour des salaires si maigres…), et dès que j’ai gagné davantage de sous, c’était une récompense de pouvoir consommer. Et c’ets comme ça que beaucoup de gens réfléchisse aujourd’hui et je ne jette pas la pierre. Se rendre compte que notre argent n’est pas en capacité de nous rendre heureux, mais juste temporairement satisfait, demande là encore un cheminement.
Belle journée çà toi et mille mercis pour ton témoignage !
(Vive le brocoli qui nous fait office de crudités avec le tronc et de légume cuit avec les fleurettes !)
Bravo et merci pour cet article ! Je vais le partager aux ami.e.s (en particulier à des étudiants qui disent ne pas pouvoir se nourrir sainement parce que le bio est trop cher).
Votre blog est une source d’inspiration. Merci encore et continuez :).
Bonjour Marianne,
Ayant été moi même étudiante avec un micro budget, j’aurai aimé savoir à l’époque que les protéines végétales étaient aussi bonnes pour la santé et pour mon portefeuille. Sans être végétarienne à l’époque, ça m’aurait évité de manger de la nourriture de mauvaise qualité autant de temps !
Bonne journée !
Merci Mélanie pour ce pavé ! C’est tellement intéressant, j’essaie moi aussi de réduire drastiquement les produits importés. Je trouve ça dommage de devenir Vegan en parti pour l’environnement et de tomber dans le cercle vicieux des produits exotiques, malheureusement beaucoup d’influenceurs/ses ne montrent que des photos/recettes avec ce genre de produit (je suis fatiguée de voir l’huile de coco partout 😒). J’avoue avoir était un peu effrayée quand tu as commencée à parler de low carb, je consomme beaucoup de féculents et pas à cause du prix mais parceque j’aime beaucoup trop ça #pastaaddict 😅 mais finalement ces recettes permettent de varier et certaines m’ont vraiment tapées dans l’oeil ! Et puis quel plaisir de voir de temps en temps une recette de gâteau ou de gaufre sur ton blog ou sur Youtube. J’espère que tu continuera longtemps avec toutes ces recettes et ces textes qui font réfléchir parceque ça m’a beaucoup aidée, à avancer dans ma réflexion, à avoir de délicieuses recettes, faciles et économiques, à faire (qui font que je me suis épanouie dans la cuisine vegan et qui ont séduit plus d’un omni !) et ce doit être le cas de beaucoup de personnes 😉
Bonjour Maude,
Merci pour ton retour également intéressant. J’aie la cuisine low carb car elle regroupe j’y associe facilement 2 de mes aliments préférés : les légumes et les protéines végétales (surtout le tofu et le tempeh). Mais bien évidemment que j’adore aussi les pâtes, les pommes de terre, le risotto et j’en passe et des meilleures 😉 Comme toi, ce sont donc des recettes qui me permettent de varier mes menus et de manger sans conséquence sur mon poids (parce qu eoui, je n’ai aucun problème à dire que favorise une alimentation qui ne me fait pas prendre de poids, n’étant pas une grande sportive, je ne me dépense pas énormément) et ma digestion.
Pour le reste on se rejoint ! Je suis heureuse de lire que tu t’épanouis dans cette cuisine, c’est mon cas depuis le début et c’est toujours un bonheur de la partager !
Encore un super article 😍 qui remet les pendules à l’heure 😉
Belle journée à toi 😘
J’essaie d’accorder les miennes, de pendules, assez fréquemment 😉 !
Bon dimanche !
Coucou Mélanie !!!
Tu démarres par peu d’enthousiasme, en laissant au lecteur une certaine anxiété, pour finir en beauté …. comme d’habitude !!!
Mais moi je te dis bravo pour ce que tu fais dis et écris, tu es une maman avec tes Pikachu et Ninjago, parfaitement au top (ils te le diront plus tard), et tu enseignes à des jeunes personnes ( euh …oui je dois en faire parti) des techniques merveilleuses pour mieux manger!!! Plein de gros bisous de courage qui comme disait Aristote « le courage est la première des qualités humaine car elle garantit toutes les autres »….. gros kiss !!!
Que voilà un beau dicton Sandra ! Merci pour ton énergie !
Et avec les enfants on ne peut que faire du mieux qu’on peut, avec nos propres bagages, ils feront le reste tout seuls !
Je vous trouve géniale, votre franc parle me plaît énormément, et vous êtes dans « le juste ».
J’essaye de vous suivre, mais je suis très très loin derrière vous, je suis de la génération « apres guerre » donc il faut manger de la viande pour etre en bonne santé, mais moi je n’en mange pas, mais mon mari, mes enfants et petits enfants oui.
Le chemin est encore long, mais on va le suivre à notre rythme.
Merci pour tout
Michele
Bonjour Michèle,
Les habitudes et les idées sur l’alimentation ont la vie très dure surtout quand après guerre il y avait peu à manger. Merci pour votre gentil mot.
Au plaisir,
Mélanie
Bonjour, Mélanie, j’ai énormément aimé ton article , je me retrouve dans tout ce que tu dis et ta cuisine est comme je la conçois petit budget. Étant assistante maternelle les fins de mois sont souvent difficile. Merci beaucoup pour toutes tes recettes elles sont pour moi salvatrices au quotidien. Pourrais tu me conseiller un gaufrier car le mien commence sérieusement à fatiguer et les plaques en Téflon se sont sérieusement abîmées? Merci
Bonjour Marie,
Je suis heureuse de lire que tu trouves de l’inspiration ici. Mon gaufrier est celui ci :
https://www.darty.com/nav/achat/petit_electromenager/cuisson_conviviale/gaufrier_croque-monsieur/lagrange_019432.html
Il n’est pas donné et le prix varie selon les plaques fournies avec (je l’ai acheté en solde) mais les plaques sont enduite d’un revêtement magique (au moins!) car absolument rien n’accroche dessus, quelque soit la pâte que j’y verse. Et j’ai acheté un jeu de plaques à griller exprès pour faire nos quesadillas, tofu et légumes grillés minute !
Bonjour, je suis bleufée par votre article! félicitations, tellement de vérité dans tout ce que vous dîtes. je ne suis pas végan, ni même végétarienne d’ailleurs, mais je mange que très rarement de la viande , en tous cas plus de veau ni agneau depuis très longtemps, mon alimentation et ma cuisine est plutôt minimaliste, légumes .(nous sommes producteurs de légumes bio ) ..;oeufs,pain…
je retrouve tellement de vérité dans votre article et je crois effectivement que nous marchons sur la tête car sous prétexte de bien-être, « bien mangé » , »ecolo »et compagnie, tout devient une vraie fortune,. les produits en magasin bio spécialisés coûtent une vraie fortune, j’habite en campagne et en dehors d’une grande surface , il est difficile de s’approvisionner . heureusement une personne fort sympathique tient une boutique de produits bio et équitables, mais les prix restent ceux des magasins spécialisés (parfois un peu moins cher c’est vrai) je préfère y aller car je ne néglige pas l’aspect humain !!
en tous cas j’adore vos recettes, et surtout bravo pour votre article ! bonne continuation
Bonjour Mélanie,
Article très intéressant comme d’habitude.
Perso, je me dirais plutôt flexitarienne que vegan . Si j’en viens davantage au véganisme bio ce n’est pas tant par conviction que parce que, pour manger de la bonne viande comme autrefois, ça coûterait un bras et même plus encore ! Où est donc passé le bon goût des volailles élevées maison ?
Côté légumes, c’est un peu pareil, il en est certains, que, s’ils ne sont pas dans mon jardin, je ne sais pas les acheter, tant pis si l’année n’a pas été productives (l’an dernier par exemple, je n’ai cuisiné que les deux courgettes que mon jardin a bien voulu me donner, c’est un légume que je ne sais pas acheter). Un autre légume que j’achète rarement et seulement surgelé, c’est le haricot vert, il fut une époque de ma vie où en plus de ceux mangés frais en saison, j’en faisais 100 bocaux de conserves par an. Sans compter que pour moi, ils sont cueillis le matin et cuisinés dans la foulée, ils n’attendent pas.
Je me laisse un peu tenter par des tomates » primeur » mais toujours locales, c’est pour des salades en attendant les miennes.
Dans les choses qui viennent de loin, j’aimais bien me prendre un avocat par semaine, mais, depuis que j’ai lu un article expliquant la quantité d’eau que leur culture implique dans des pays où l’eau est privatisée et que les ouvriers chargés de leur culture en sont privés, j’ai arrêté d’en acheter.
Et puis, j’ai des souvenirs de mon enfance , nos repas étaient toujours au moindre coût mais tellement goûteux !
Le moins d’emballages possible et pratiquement zéro déchet dans la poubelle classique.
Après, pour les vêtements, j’aimerais bien m’habiller dans du bio, je n’en n’achète pas tant que ça, d’ailleurs pour moi faire les boutiques est la pire des corvées. Seulement, même sur les sites en ligne, le bio n’existe pas en grandes tailles ! Pffff!!!
Donc tes recettes IG bas en produits locaux sont les bienvenues !
En tout cas, ton blog m’as appris plein de choses et je découvre chaque jour.
Mais il y a tant à faire…
Le principal est de rester un bon petit colibri, chacun à la mesure de ses possibilités.
Bonne journée.
Bonjour Mamyol,
Merci pour ton témoignage également c’est toujours intéressant d’avoir les points de vue d’autres personnes. Je comprends parfaitement quand tu dis que « tu ne sais pas acheter ». C’est exactement la même pour moi en cuisine car je fais tellement maison (et donc j’en connais le coup, qu’il m’est impensable de mettre autant d’argent dans certaines préparations en magasins bios.
En ce qui concerne les vêtements, la presque quasi totalité de ma garde robe est de seconde main, c’ets vraiment quelque chose qui m’indiffère vraiment. Je sais reconnaitre une belle pièce et j’apprécie d’avoir des vêtement découpé correctement, mais je me fiche royalement qu’ils soient neufs.
J’ai une liste longue comme le bras de sujet à aborder et l’IG notamment !
Bonne soirée,
Mélanie
Merci pour votre témoignage !
Il est vrai que les magasins spécialisés sont souvent un peu plus cher, mais là encore, j’ai envie de préciser, tout dépends des produits que l’on achète. Mais il est certain que la taille dudit magasin jour également un rôle sur le tarif.