Bonjour !

Aujourd’hui, je vous propose la suite du dossier budget, après la première partie qui a rencontré un très vif succès.

Je ne m’attendais pas à autant de vues en une semaine : y’a du souhait d’épargne dans l’air ou quoi? Ou alors, vous vous êtes dit la même chose que moi : aux prochaines soldes, je tends mon sac à la vendeuse « Allez-y remplissez-le, y’a plein de papier dans mon chéquier, ça veut dire qu’il y a plein de sous sur mon compte. Parce que moi, je gère grave mes courses. « 

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Aujourd’hui, on continue un peu notre étude sur notre façon d’acheter. Nous avons fait le bilan de nos besoins et de nos stocks des placards et on s’est rendu compte qu’il y avait deux tiroirs de crèmes de jour / dentifrices en avance dans la salle de bain, et dix conserves qui dataient du 15è siècle dans nos placards.

J’ai trouvé intéressant de me pencher sur les habitudes d’achat que nous avions et d’essayer de comprendre ce qui nous coûtait le plus et sur quels points apporter quelques améliorations.

II. Comment achète-t-on?

1. A quel moment fait-on ses courses?

Pour ma part, toujours le même jour, celui où je récupère mon panier de légumes, soit une fois par semaine. Jusque-là, rien de fou. Sauf que.

Le panier étant disponible à partir de 10h30, je le récupérais d’abord puis j’allais en course après. Juste avant de manger. Une des plus mauvaises heures pour faire ses courses, lorsque l’on a le ventre vide et où tout fait envie. N’étant pas soumise à des horaires de bureaux, j’ai la chance de pouvoir faire les courses quand je le souhaite dans la journée, ce qui n’est pas le cas de tout le monde. Il m’a suffit de décaler à l’après midi pour constater que les paquets de petits gâteaux, les trop grosses quantités de fruits séchés et autres noix diminuaient dans mon caddie.

Si vous devez faire vos courses le soir après le travail, prendre une bonne collation avant est un bon moyen de ne pas acheter de surplus suite à une fringale. C’est simple, vieux comme le monde mais radical. Et c’est valable pour ceux qui se rendent sur place ET ceux qui commandent en ligne.

Ne jamais faire les courses le ventre vide

2. Où achète on? En ligne, par drive, en GMS, en magasin bio, sur le marché, à la ferme…?

Pour ma part, le panier de légumes est à la ferme et le reste des courses en magasin bio. De temps en temps en grande surface, mais j’ai réussi à limiter les lieux de courses pour gagner du temps et économiser de la fatigue. Je fais beaucoup de courses pour mon travail, qui me prennent parfois une demie journée, 3 fois dans la semaine, alors pour la maison, j’essaie d’aller au plus rapide désormais. Ceci dit, ne rêvons pas, le but des magasins bios est aussi de vendre, et il est très facile de craquer sur plein d’aliments sympas, des paquets de super mélanges de céréales petits déjeuners, un rayon pâte à tartiner qui te ferait renier ta mère et ta grand mère pour un bocal, un seul,  pour peu que tu aies le ventre vide (rhaaa, la pâte noisette, éclats de pralin et noix de coco), aux mélanges gourmands de fruits séchés et grillés, aux biscuits vegan que t’as cru-que-plus-jamais-de-la-vie-tu-ne-mordrais-dans-un-cookie-et-en-fait-si-et-c’est-trop-bon (et ça coûte 20€/kg , bouhouhou)…

– Si on achète via le drive ou en ligne, le risque est grand de prendre le même panier que la semaine suivante quitte à racheter des produits encore en stock dans les placards. Rajouter des produits au fur et à mesure dans la liste peut s’avérer pratique mais il faut faire attention au moment où vous rajoutez ces produits : cela peut correspondre à une envie, une fringale, à un produit que l’on n’aurait pas mis en se posant sérieusement devant 30 minutes (pas PAR produit, hein !) et en y réfléchissant.

L’autre inconvénient du drive, pour moi, est que l’on ne se rend pas compte de ce que l’on achète : le panier est immatériel, on rajoute, on rajoute, tant que l’on ne dépasse pas le budget prévu, aucune raison de s’arrêter. Ce mode d’achat, pour l’avoir utilisé et trouvé vraiment très pratique, demande une grande rigueur dans la liste de courses préalablement rédigée afin de ne pas s’arrêter sur les promos, les envies subites, les « 3 pour le prix de 2″… Tout ce qui fait dépasser un budget par des achats non prévus. Ils devraient intégrer un fouet à base d’orties et de ronce qui sortirait de la tablette pour nous flageller dès qu’on dépasse notre budget et / ou notre liste prévus.

Sur le marché ou à la ferme, les prix sont bien souvent moins chers qu’en magasin et dans la majorité des cas, vous êtes sûrs que ce que vous versez va directement au producteur. Les pros du marché savent qu’en y allant à la fin ils font de bonnes affaires et en plus cela permet de bien connaitre ses produits, la manière de les cuisiner, et de créer du lien. Mais bien sûr, tout le monde ne peut pas s’y rendre. Pour ma part, ayant mes légumes en panier, je n’avais plus l’occasion d’y aller souvent. Comme j’ai pris la décision de tripler la surface de mon potager, nous allons arrêter ce système avant octobre et je retournerai donc au marché dès cet automne et cet hiver pour les fruits et légumes, le temps que mes récoltes donnent au printemps prochain. (Mais si quelqu’un veut s’installer à Dinan et vendre du bon fromage vegan et des viennoiseries végétales, je serai votre cliente number one dès 7h du matin !).

Combien de magasin faites-vous? Y a-t-il des produits que vous pourriez supprimer ou remplacer par d’autres en simplifiant? Peut-être essayer de se fixer une limite mensuelle pour certains produits, plutôt que d’acheter au coup de coeur? A quel moment faites-vous vos courses? 

3. Comment paie-t-on?

Quelle mauvaise invention que celle du paiement par contact pour les petites sommes, et peut être tout simplement de la carte bancaire pour le budget! Non, je ne veux pas revenir au troc, mais qui est déjà tombé en panne de carte, se sera bien vite rendu compte des économies réalisées en très peu de temps. Il est assez impressionnant de se rendre compte que, si on a envie d’un paquet de chips, de pain, d’un pot de purée de cacahuètes, de deux trois bricoles, qui auraient parfaitement attendu le jour des courses, voir qui ne s’y seraient même pas trouvées puisqu’on n’aurait pas répondu à une pulsion, on peut l’avoir très facilement, aujourd’hui. Alors que quasiment toutes les enseignes acceptent la carte sans minimum, faire un détour en rentrant du travail, ou faire un saut avant l’apéro devient facile.

Pour y remédier (le plus souvent possible), nous avons décidé il y a quelques temps de ne retirer au début du mois que la somme nécessaire aux courses du mois ou de la semaine, et de sortir les faire sans carte. Et ben là, dites donc. Tu fais pas la finaude quand tu dois retirer des trucs du tapis car tu n’as pas assez sur toi. Et en même temps… Cela m’a obligée à être un peu plus précise dans mes choix et à bien respecter ma liste de courses.

Avoir des espèces OBLIGE A COMPTER. Voilà, c’est dit. Avec une carte, si tu dépasses ce qui est prévu, tu le paies. Avec uniquement des espèces, tu le reposes. Cela peut sembler un peu contraignant au début, mais au final, à force d’étudier ce que l’on achète lorsqu’on veut réaliser des économies, on en vient à enregistrer le prix lorsqu’on rédige ses menus. Et puis se faire une liste des produits récurrents permet d’avoir une base efficace.

Essayez, pendant quelques temps, de ne faire vos courses qu’avec des espèces, SANS votre CB sur vous. 

4. Qu’achète on? Sur le ticket de caisse, qu’est ce qui a coûté le plus cher? 

Côté nourriture : 

Peut être revoir certaines habitudes de consommation : ici, le budget café et la consommation qui va avec ont bien diminué le jour où nous avons remplacé les dosettes (même premier prix) par une simple cafetière italienne. Je fais mes yaourts par 12, et ils doivent faire la semaine. Quand il n’y en a plus, et bien on mange autre chose. Et on s’est enlevé de la tête qu’un repas devait forcément se terminer par un yaourt. On aime tous le pain de mie, mais bio, il coûte cher et cela ne tient pas du tout au ventre. Je n’en achète plus que pour les croque-monsieur, pour le reste c’est pain obligatoirement, etc… Il ne s’agit pas d’avoir une alimentation de moine, mais de changer les achats qui coûtent car ce sont des produits qui sont vite consommés et que l’on peut remplacer par des solutions plus économiques.

Le budget goûter revenait aussi assez cher. Il faut dire qu’entre les bons cookies, sablés aux chocolat, au citron, les barres fourrées aux fruits, tous vegan et souvent sains, il y a beaucoup de choix et de tentation. Même quand on prône le pain-confiture-purée d’amandes. Quand j’ai voulu réduire un peu le budget, c’est un des premiers points auquel je me suis attaquée. J’ai trouvé des gourdes réutilisables pour la compote des enfants, très pratiques à l’école, super écologiques ET économiques. Je n’achète plus qu’une seule sorte de biscuits et de céréales par semaine, c’est quand même leur plaisir et je le comprends bien. Et à la rentrée, on s’est dit avec les enfants qu’on préparerait une fournée de cookies par semaine. Et bien mine de rien, cela fait quasiment 10 à 15€/semaine en moins ces petits gâteaux qui restent dans les rayons !

L’autre point qui revenait très cher, les laits végétaux. Il y a énormément de choix aujourd’hui, que ce soit en magasin bio, ou en grande surface, et lorsqu’on les découvre on a envie de tout tenter. Ceci étant, entre les laits réalisés (j’en suis sûre) avec de la poudre de plâtre, du jus de ciment ou encore de la colle à carreau, bon sang, il faut trouver la marque qui nous satisfera ! Et avec un prix au litre entre 1€ et 3€, j’ai laissé tomber. Depuis plusieurs mois je les prépare moi même, et dire que je fais des économies n’est pas du tout exagéré. Je prépare exprès une vidéo sur la préparation maison des laits peu coûteux (oui, parce que lait d’amandes, même maison, à 19€ le kilo d’amandes, soit 1,90€ le litre, il a beau être vraiment -mais vraiment- délicieux, cela reste très cher). En utilisant en moyenne 6 litres par semaine entre les yaourts, la pâtisserie et les chocolats chauds du matin, l’économie est plutôt conséquente au bout du mois.

Enfin, pour ma part, je n’achète plus que très rarement des similis carnés (tofu, saucisses, chorizo, galettes toutes prêtes …). Il y a cette période, au début du végétarisme, ou végétalisme, où l’on est perdu et où il est rassurant de troquer sa portion de viande et de poisson par une autre portion d’aliment protéiné facile à préparer. Une fois que l’on a compris que les protéines étaient absolument partout et qu’il nous en faut assez peu au final, il est bien plus facile de préparer ses repas. Donc seulement de temps en temps du tofu fumé ou lactofermenté, des saucisses pour les enfants mais dans l’ensemble, c’est le point qui m’a fait réaliser le plus d’économies, sans aucun doute.

En résumé, quelques pistes pour réduire les courses alimentaires :

  • Le café bio : je l’achète moulu par paquet de 500g, il me coute 11,00€ le kilo, soit le même prix voir moins cher qu’en grande surface en bio.
  • Le thé et les infusions que je consomme en grande quantité, également en sachet vrac. C’est moins cher, le goût n’a strictement rien n’a voir avec des sachets, qui en plus nécessitent des emballages individuels en plastique.
  • Tous les aliments secs (farine, pâtes, riz, légumes secs, chocolat, sucres, céréales du petit déjeuner et des repas salés, fruits secs), je les achète en vrac. Les prix sont relativement identiques pour la très grande majorité à du non-bio de grande surface et la qualité est bien là. L’autre avantage est de n’acheter que ce dont vous avez besoin, de varier et de ne pas stocker.
  • Je prends les légumes et les fruits une fois par semaine, pour des raisons de fraicheur.
  • J’achète le jus de pomme artisanal, que nous adorons tous ici, en cubis de 3 litres, il nous revient à 1,80€ le litre, contre en moyenne plus de 2,30€ en bouteille individuelle. Quand la saison des pommes sera revenue mon extracteur de jus fera  son travail mais, en attendant, avoir de l’excellent jus toujours au frais est un vrai bonheur.
  • Jusque-là j’achetais mes purées d’oléagineux en bocaux mais je viens d’investir dans un blender très puissant pour (entre autres mais pas que) les réaliser maison.
  • Je fais germer mes graines depuis plusieurs mois, c’est un superaliment qui coûte rien du tout ! (4 euros tous les 3 mois…)
  • Je fais mon lait végétal maison (hormis celui au soja qui ne me sers que pour les yaourts) et cela me coûte 1 à 2€ par semaine au lieu des 10€ d’avant.
  • Bien respecter les pleines saison des aliments : au début et à la fin des saisons propres à chaque fruit et légume, ils sont très chers en raison de leur rareté. Patienter quelques semaines est profitable, surtout pour les fruits qui sont relativement chers en bio. Donc oui, on trouve les premières fraises en avril, mais vous les payerez bien moins cher en juin !
  • Limiter l’achat d’aliment tout prêt (steak végétal, saucisses, boulettes…) et se noter quelques recettes de bases très rapides. (Sur le blog vous avez le fameux steak de lentilles corail qui ne fait que des adeptes, même, et surtout parmi les carnivores! Je vous prépare une galette de base au flocons d’avoine et aux légumes (express) et des boulettes de haricots rouges (express) pour bientôt.

Côté hygiène et entretien, rapidement :

  • Avec 2 enfants, la machine à laver tourne toutes les nuits. Acheter de la lessive bio coûte cher. Je me suis renseignée et depuis quelques mois, nous préparons un bidon avec des paillettes de savon et de l’eau chaude. J’ai payé 8 euros le sachet de un kilo, il y a 2 mois Et il en reste un tiers. Je vous laisse calculer. Et le linge est très propre.
  • L’entretien de la maison se résume en 3 produits essentiels qui doivent me coûter un euro par mois : vinaigre blanc, bicarbonate de soude et huile essentielle de menthe (pour l’odeur Hollywood chewing gum menthe fraîche quand tu passes la serpillère en chantant 😉 ). Et ils font tout : salle de bain, sols, carreaux, cuisine, façade de porte, four. J’ai toujours un sac de cristaux de soude en cas de tuyaux bouchés, et de la pierre d’argent pour les plaques de cuisson en inox. Mais ces deux produits servent peu et durent très longtemps. Il n’y a que pour le lave vaisselle que je n’ai pas encore trouvé de produit écologique et peu coûteux « maison » qui me convienne.

Concernant le jetable, j’essaie au maximum de le bannir :

  • Il n’y a jamais eu chez nous de papier essuie tout, définition même du jetable inutile et polluant pour moi, ce sont des serviettes de tables en tissu (de toute façon, la machine tourne presque toutes les nuits alors pour 4 serviettes en plus…), ni de lingettes jetables nettoyantes, ce sont des gants.
  • Je n’utilise du papier aluminium, très mauvais pour la santé et l’environnement, que pour cuire mes pommes de terre dans mon poêle l’hiver. On m’a donné l’idée de les cuire en croûte de sel, mais le principe des patates dans la cheminée c’est que c’est rapide, donc je sais bien que je ne le ferais pas ! Si vous avez d’autres alternatives (en cheminée/poêle, pas au four) je suis preneuse !
  • Le papier cuisson, s’il n’est pas brulé, je le réutilise une à deux fois. Par exemple quand je chemise un moule à gâteau ou à cake.
  • La poussière est réalisée par des korrigans, ah si seulement avec un tissu microfibre lavable, pas par des lingettes jetables
  • La sac aspirateur est un sac réutilisable
  • Tous mes pots /barquettes de conservation ont des couvercles, je limite au maximum le papier film pour placer au frigo ou au congélateur, mes sacs congélation sont lavés et réutilisés.

Concernant l’hygiène :

  • En mode « No poo » (lavage des cheveux sans shampoing) depuis 6 mois, je me lave les cheveux au ghassoul et je les rince au vinaigre de cidre couplé à une goutte d’huile essentielle pour le parfumer. Le ghassoul est un produit qui ne coûte quasiment rien, qui me prend 1 minute entre la préparation et l’application, et qui laisse les cheveux propres et très beaux. En plus quand tu as une gentille amie qui t’en ramène en cadeau du Maroc, c’est chouette!
  • Et côté corps, gommage hebdomadaire au marc de café (zéro euro) et le lavage, c’est un savon d’Alep, qui dure bien plus longtemps qu’un gel douche et qui est bien plus écologique et sans cochonnerie.
  • Je ne vais pas rentrer ici dans le détail des cosmétiques -que je n’achète pas chaque mois, je préfère m’en tenir aux courses du quotidien, mais je voulais vous donner quelques exemples. Je ne tire aucun plaisir à avoir plein de produits différents pour une même utilisation dans ma salle de bain, mais je comprends bien que ce soit le cas de beaucoup de femmes. Si cela intéresse du monde je ferais un article plus approfondi sur la salle de bain car entre les 15 carrés de coton en tissu lavable démaquillant achetés il y a 2 ans, la mooncup, le dentifrice solide et bien d’autres trucs de filles, les économies à l’année sont bien là, et dans tous les cas des produits bien plus sains et écologiques que ce que l’on trouve en grande surface, en pharmacie ou en parfumerie.

La semaine prochaine, pour finir ce dossier, je vous proposerai deux listes de courses chiffrées avec les menus correspondant pour 4, un récapitulatif des habitudes positives des commentaires (n’hésitez pas à laisser une expérience, c’est toujours très utile pour tous ceux qui lisent et cela donne des pistes), et un exemple de prix magasin bio / magasin standard sur des produits basiques (pâtes, sauce tomates, café, sucre, etc…) afin de vous montrer que certains circuits ne sont pas beaucoup plus ruineux que d’autres et que s’alimenter sainement est possible. Et si jamais vous aviez des souhaits particuliers, des exemples, pour clore ce dossier, c’est le moment de me le faire savoir ! 😉

Troisième partie : Quelques outils et récap ‘

Le coup de fouet !

Votre abonnement pour cuisiner vegan, chaque jour, sans prise de tête !

Faites-vous un cadeau chaque mois pour trouver de la sérénité et de l’inspiration en cuisine !

Je vous propose un contenu 100% inspirant pour être aligné.e avec vos convictions sans faire exploser votre charge mentale.

Des recettes vegan faciles à réaliser, des conseils et des astuces pratiques pour améliorer votre organisation en cuisine et une belle dose de bonne humeur !

Au sommaire du mois de novembre :

biscotti vegan amandes et cranberries et orange
  • Document pratique. Planifier les repas de fêtes / où l’on reçoit. Je vous propose une trame pour décider de votre menu puis pour vous organiser ensuite dans les quantités et le planning.
  • Recettes. Un plat facile à emporter : des lasagnes à la florentine. Côté sucré : mignardises ! Rocher coco et biscotti amandes, cranberries et oranges.
  • À venir - Focus aliment : le wakamé. Je vous explique ce que c’est et on parlera aussi des métaux lourds et de l’iode. Je vous ai préparé 5 recettes très simples avec des saveurs marines : sapin feuilleté, tapenade et tartare d'algues, spaghetti express ou encore velouté trop bon, il y en a pour tous les goûts.
  • À venir - Billet thématique : Comment passer des fêtes plus sereines ? Guide de survie en milieu hostile !

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21 commentaires

    1. Mélanie says:

      Oui, à Dinan, on a même 3 magasins bio + une mini boutique en centre ville, donc nous sommes très gâtés de ce côté là, c’est vrai. Il reste la solution des achats en ligne pour certains produits qui sont souvent moins chers, et notamment ceux qui peuvent se conserver. Mais c’st moins facile de gérer dans ces cas là. Vaut mieux se renseigner autour de chez soi pour le frais (légumes, fruits) , les farines se trouvent beaucoup au niveau local également. Pour le reste, choisir des produits de base non transformés et préparer beaucoup soi même reste la solution la plus économique.

  1. Merci pour ce super article! Depuis quelques temps avec mon chéri nous cherchons à limiter les frais. Pour 2 personnes,nous dépensons 200€ de courses (alimentaire + hygiène + entretien) / mois. C’est vrai que pour cela il faut beaucoup cuisiner maison et utiliser très peu de simili carnés. Mais c’est carrément jouable!
    Avant nous étions à 70€/semaine! Donc on fait des menus, on cuisine maison, on mange ce qui est dans les placards, etc…Par contre on va très peu en magasin bio (30 km de route minimum!) donc quand on y va, je craque un peu! Et bien que nous soyons en zone rurale, nous n’avons pas de système de panier ou d’amap dans le coin :/ Je me dis que le jours où nous aurons une maison je planterai peut-être quelques petites choses:)
    En attendant je vais appliquer certains de tes conseils!

    1. Mélanie says:

      Bonjour !
      Merci pour ce témoignage ! Il est vrai que selon les endroits où l’on vit, tout n’est pas facilement accessible. Pour ma part, il y à 3 magasins bio dans un rayon de 25 kilomètres, le plus proche étant à 10 minutes, donc c’est jouable ! Et puis il y a des marchés partout donc pour se fournir en fruits et légumes, c’est en général toujours possible. Et oui, il y a des basiques de gestions de budget (menus, fonds de placards…) et c’est vrai que les rappeler de temps en temps fait du bien ! Et être passé de 70€ à 50€/semaine, c’est une belle économie sur le mois!
      A bientôt!

      Mélanie

  2. Marie says:

    Bonjour Mélanie,
    C’est la première fois que je commente sur votre blog, alors que je vous suis depuis quelques temps déjà 😉

    C’est une super idée ces articles de maitrise de budget !
    Pour ma part, je règle mes courses en espèces, et sans avoir vécu le moment de solitude du « finalement, je ne vais pas prendre cet article » à la caisse, il est évident que cela permet de réduire significativement son budget !
    Pour ma part, le problème avec les magasins bio dans ma région (Montpellier), c’est que quand ils ne sont pas chers sur les produits transformés (que ce soit alimentaire, cosmétiques ou produits d’entretien), la qualité n’est pas au rendez-vous sur les produits frais (souvent importés de l’étranger, les courgettes d’Espagne non merci !). Et à l’inverse, mon magasin préféré, top sur les fruits et légumes (superbe qualité, local et pas cher), se rattrape largement sur le reste…

    J’attends avec impatience votre article sur les laits végétaux (et sur les yaourts si c’est possible ?), avec mon mari nous avons justement l’intention de nous équiper d’un bon blender (type omniblend voire vitamix) et d’un extracteur de jus. Au fait, quels modèles possédez-vous ?

    (désolée pour le pavé !)

    A bientôt pour l’épisode 3 !

    1. Mélanie says:

      Bonjour Marie ! Ne vous excusez pas pour le pavé j’adore qu’on me laisse des retours 😉 Pour commencer par le fin, j’ai acheté un Omniblend (je n’avais pas du tout le budget pour un Vitamix- ni l’envie de mettre autant dans un robot, et de ce que j’ai pu lire sur plein de blog et forums, leur performances sont identiques. Et j’en suis absolument ravie. En quinze jours je peux dire qu’il a tourné au moins 3 fois par jours te c’est un régal d’utilisation. Pour l’extracteur de jus c’est un Oméga horizontal, le 8226. Qui ets lui aussi parfait. Avec du recul, la seule chose que je peux dire, c’est que si j’avais eu un peu plus de budget à ce moment là, j’aurais pris un vertical avec un large goulot pour ne pas avoir à couper en morceaux les aliments. Mais pour le reste il est génial : silencieux, très facile à nettoyer, et très puissant.
      Je suis assez d’accord avec vous pour les légumes et fruits an magasins bio et je me suis déjà faché avec les responsables : voir des pommes du chili (alors que j’habite en Bretagne LA région de la pomme), des fraises d’Espagne et j’en passe, m’exaspère au plus haut point, les marges sur les fruits sont aberrantes, et les légumes aussi. C’est pourquoi, une fois mon abonnement à la ferme terminé, ce sera le marché pour les fruits et un maraicher à côté de chez moi. Les produits qui ne sont pas de premières nécessité sont chers en magasin bios, c’est vrai, c’est pourquoi on explose assez vite un budget si on n’y prends pas garde.

      A très bientôt pour la suite !
      Mélanie

  3. Mélanie says:

    Bonjour Mélanie !

    C’est chouette si quelques-uns de ces conseils peuvent être utiles. Il est difficile comme tu dis de faire la part entre l’austérité et les économies. Nous ne sommes pas guidés par une obligation de faire ces économie car si c’était le cas il y aurait encore plus de choses qui passeraient à la trappe. C’est plutôt un souci d’améliorer notre budget au quotidien et d’épargner. Même en consommant des produits carnés c’est tout à fait possible bien sur, je parle de mon expérience de famille VG mais tout le monde peut y trouver son compte et arriver à moins surconsommer.

    La première vidéo sur laquelle nous travaillons avec mon mari sera la fabrication express et maison de laits végétaux économiques, donc je n’en dis pas plus pour le moment 😉 Elle sera en ligne en septembre, le temps de créer la chaine Youtube et autres logistiques techniques !

    Je ne sais plus si la lessive au savon est expliquée, moi j’achète un paquet de 1 kg de lessive en paillettes et il suffit de la mélanger à de l’eau bouillante dans un bidon (j’ai gardé un bidon de 3 litres d’ancienne lessive), de mélanger, laisser fondre et refroidir et c’est tout ! J’imagine que c’est la même chose avec le savon de Marseille. Il vaut mieux éviter de mettre les paillettes directement dans le tambour car si elles se coincent dans des vêtements, elles peuvent les décolorer.

    Pour les croques veggie, je n’utilise pas de substituts de jambon mais tu en as, et qui sont très bons pour l’avoir gouté, c’est bluffant. Nous en général on met de la mozza végétale, des légumes (tomates confites, tranches de poivrons, courgettes râpées…), moutarde, crème, du pesto, des oignons fondus, des tranches fines de tofu fumé, bref, pleins de trucs différents et pas beaucoup plus longs à préparer.

    Pour les yaourts, ma machine en fait 12, donc une fournée par semaine suffit pour nous car je n’en mange pas et je veux que les enfants mangent au moins un fruit frais par jour à un des deux repas ou au gouter. Maintenant, s’ils en veulent absolument, j’en refais.
    Je pense que c’est pour ça qu’il faut voir ce qui vous coûte le plus et qui peut être remplacé ou amélioré sans pour autant se priver des plaisirs de la table. Notre jus de pommes, mes purées d’oléagineux sur mes tartines, malgré le prix, on adore et on ne l’enlèverait pas 😉

    A très vite !

    Mélanie

  4. Bonjour Mélanie,
    Merci pour cet article très complet.
    Comme je l’ai dis sur l’autre post, je cherche aussi a réduire mon budget courses (900 euros par mois alors que j’ai l’impression d’être économe !)

    Je vais donc appliquer quelques un de tes principes mais je vais avoir quelques questions..
    – payer en espèce, ca me parais pas mal, je vais tenter
    – pour le lait végétal maison, tu fais comment ?
    – la lessive au savon de Marseille c’est expliqué sur le site de Raffa ? ça n’encrasse pas ??
    – les croques monsieur véggie c’est comment ?

    C’est marrant car je me suis retrouvée dans la chasse aux futilités et à la consommation superflue genre 12 yaourts par semaine et pas plus.. J’essaye aussi souvent d’éviter le grignotage (pour les autres car moi c’est devenu naturel) sur les produits qui coutent cher. Par exemple je ne fais jamais tomates/mozza mais tomates seules ou alors je ne met que 1/4 de tranche de jambon dans les croques MR (je sais que tu n’en mange pas hein). Si le paquet n’est pas terminé, je garde le reste pour faire un autre repas complet car ça peut permettre de donner la pointe de gout qui manque a des légumes pour faire un repas.. J’ai supprimé le verre de jus de pommes le matin pour moi… Mais bon tout ça pour dire que j’assume pas totalement… je me sens « austère »… c’est moi qui gère toute la nourriture à la maison, et je vois que je peux vite être agacée si mon conjoint ressert un jus de pomme le matin ou autre… bref faut trouver le juste milieu..

    Sinon, je suis aussi en tout lavable comme toi…

    J’attends mon 3eme enfant pour janvier (et toi ???) et il sera en couches lavable à 99,9% comme les 2 premiers et allaité jusqu’au au moins 1 an comme les ainés aussi. Si tu as des questions, n’hésites pas..

    Vivement l’épisode numéro 3 sur le budget courses !

  5. Julia says:

    Bonjour, allez c’est décidé la semaine prochaine je règle mes courses en espèce, c’est (entre autre) une super idée. Merci pour ces deux articles complets et pratiques, hâte de lire la suite car nous avons vraiment envie de changer nos habitudes de (sur)consommateurs.
    Julia

    1. Mélanie says:

      Bonjour Julia ! Merci pour ce gentil mot ! Acheter avec des espèces, même si ce n’est que temporaire permet en effet de mieux se rendre compte de ce que l’on dépense et c’est assez impressionnant de constater que l’on craque bien moins facilement sur du superflu ! A très vite !
      Mélanie

  6. Elodie says:

    Merci pour ces articles, c’est super intéressant!
    Ici on est une famille de trois (+ 2 chats), dont un bébé de deux mois. On mange 100% vegan et à 80% bio. On fait nos courses en Biocoop/La vie claire et parfois à Carrefour même si je n’aime pas du tout leur donner mon argent.
    Ces derniers mois on a totalement perdu notre rythme, on mangeait beaucoup de choses préparées et on cuisinait très peu car ma grossesse a été difficile et j’ai du rester allongée. Puis les premiers mois avec le bébé ont été durs!
    Maintenant on essaie de se stabiliser un peu plus, de manger plus équilibré et ce guide tombe à pic.
    J’ai prévu de beaucoup cuisiner le week end: faire une fournée de seitan, faire cuire des pois chiches/haricots blancs et rouges/lentilles, faire des gâteaux et du pain. Comme ça je serai plus tranquille pour la semaine et ça nous permet de manger plus varié! Je n’avais jamais pensé à faire les yaourts moi-même, c’est super comme idée. J’aime bien aussi l’idée de faire mon propre tofu, c’est plus économique.
    On a aussi prévu d’investir dans un mixeur pour les laits végétaux et les purées d’oléagineux, notre équipement actuel ne nous le permet pas et c’est bien dommage.
    Niveau produits d’entretien, on utilise comme toi beaucoup de vinaigre et de bicarbonate. J’ai encore un gros bidon de lessive mais quand il sera fini je la ferai maison, j’aimerais aussi trouver un produit pour lave vaisselle mais c’est pas évident… Et pour les cosmétiques j’utilise uniquement du gel douche car les savons me sèchent la peau, même le savon d’Alep. Le passage au no-poo est prévu pour bientôt!
    Encore merci pour ces articles qui m’ont bien fait réfléchir (la preuve je viens de prévoir nos menus pour cette semaine!)

    1. Mélanie says:

      Bonjour Elodie, Merci ! Si écrire ma propre expérience peut donner des idées, c’est super ! Je ne me suis pas lancé dans la préparation du tofu ferme car ce n’est pas un produit que j’affectionne beaucoup par contre j’ai déjà fait du tofu soyeux et c’est en effet super facile !
      Il est vrai que trouver un rythme avec un bébé est compliqué quand on est très fatiguée et je sais bien que lorsque n°3 va être là, on en sera sans doute au même stade que celui où tu as été. Mais comme je vais avoir un peu de temps au début de l’hiver, je vais essayer d’anticiper un max en fabrication de conserves. D’ailleurs le seitan se conserve une bonne semaine dans son jus au frais et plusieurs mois au congélateur donc cela vaut le coup d’en faire une grosse fournée en effet . La préparation des listes de menus, il faut un peu se forcer au début mais cela devient très vite une routine. Pour ma part, en plus des économies et d’une meilleure gestion des courses, elle m’évite les moments d’errements la bouche ouverte et les yeux hagards devant les placards « mais qu’est ce qu’on va manger?? 😉
      A très vite !

      Mélanie

    2. Sofia says:

      Bonjour ,

      Pour le produit de vaisselle ,après des recettes que j’ai testée qui ne me convenait pas j’ai tout simplement acheter un savon de Marseille Vert huile d’olive . Je le met dans un porte savon puis je frotte mon éponge directement dessus . Ça me lave et dégraisse la vaisselle super bien et ça mousse beaucoup , ne laisse pas de gras sur la vaisselle et sa dure super longtemps

      Bisous

  7. Céline says:

    Régler les courses en espèces, on l’a appliqué drastiquement à une époque et c’est drôlement efficace, je confirme ! On est maintenant plus souple, mais les bonnes habitudes sont prises.

    Concernant les supermarchés, nous avons définitivement arrêté d’y mettre les pieds depuis 3 ans. Les produits frais et bios sont généralement achetés au producteur, les produits secs en magasin bio et on rajoute ce que le potager veut bien nous offrir compte tenu du peu de temps que nous lui consacrons, malheureusement.
    Les achats superflus coûtent si chers en magasin bio, qu’on se calme assez vite.

    Le café nous coûte plus cher, mais l’éthique nous poussent à être fidèles au sympathique torréfacteur bio local qui vient sur le marché chaque semaine. J’avoue, je suis prête à payer un peu plus lorsque je sais à qui profite mon argent.

    Concernant les drive, je comprends le coté pratique, mais il ne faut pas oublier que les conditions de travail y sont assez catastrophiques. Bref, on ne cautionne pas.

    Enfin, je dirais que le seul moyen de concilier éthique, qualité et économie… c’est de passer un peu de temps derrière les fourneaux (bah oui, tes cookies maison te coûtent moins cher que le paquet de biscuits bios acheté en magasin).

    Heureusement , Mélanie est là pour partager ses astuces pour cuisiner vite bon et bien !

    1. Mélanie says:

      Bonjour ! Merci pour ce retour ! C’est vrai que les espèces font vraiment la différence, en tout cas je le vois bien quand j’oublie de retirer…Et comme tu dis, tout le superflu a bien vite disparu, une fois passé l’euphorie de découvrir plein de nouveaux produits.
      Concernant les cookies, je crois qu’on a une marque chouchou qu’on aime bien, hein? 😉 Le fameux Moulin du Pivert…ceux fourrés au chocolat, horriblement bons…et horriblement chers! Donc oui, ceux maison préparés en deux temps trois mouvements sont milles fois plus économique (et rassasiants au passage). Je suis assez d’accord avec le drive, je vois bien les dames qui y bossent quand je vais louer mes remorques frigorifiques pour le travail (c’est souvent au même endroit), elles sont archi débordées, pas d’embauche de personnel en plus alors que c’est un service qui explose. Pas terrible, non.

      C’est une bonne idée le café au marché, je n’y avais pas pensé, n’en consommant pas. J’irais voir à Dinan s’il y en a un. Celui que je prends est bio et équitable mais peut être sera il meilleur acheté directement à un torréfacteur.

      Et Mélanie fait de son mieux pour partager son maigre savoir en la matière et elle va continuer 😉

  8. Marie says:

    L’article de la semaine dernière était intéressant et m’a donné envie (et motivé) pour faire d’autant plus attention au budget courses.
    Ici, on (je) fait les courses une fois par semaine en gms (voire tous les 10 jours). Parfois au drive mais j’aime bien acheter certains produits frais moi même (à la charcuterie par exemple, même si on limite nos consommations). Je vais au marché une fois par semaine pour les fruits et légumes (+ chez mes parents de temps en temps qui ont un bon potager ^^). Dans un mois nous aurons (enfin) un jardin et je compte bien faire un potager aussi. J’essaye de ne pas y aller la faim au ventre.
    J’essaye toujours de prévoir mes menus à l’avance et de préparer une liste de courses à laquelle je me restreins au mieux. Je fais attention au budget « extras/chocolat/gâteaux » mais plus pour faire plaisir à ma balance qu’à mon compte en banque.

    J’essaye de limiter les jetables aussi mais ce n’est pas toujours simple avec le loulou. J’avais fabriqué des lingettes lavables pour le change mais le liniment se lave mal et peut faire des traces sur les autres fringues. .. j’avais aussi acheté des couches lavables mais c’est long à sécher dans l’appart (et stockage pas pratique) donc j’ai un peu mis de côté aussi (vivement le jardin pour le séchage à l’air libre…). Je vais sûrement m’y remettre et donc faire des économies non négligeables sur le budget aussi (car les couches bio ça coûte cher même en profitant des promos).
    côté bouffe, un bébé allaité ça ne coûte pas très cher. Sinon il mange comme nous en gros, je perds moins de temps en cuisine et ça m’évite d’acheter des trucs en plus.
    Vous avez une idée de la future organisation avec bébé 3 ?

    Côté entretien, j’utilise les mêmes produits que toi (parfois d’autres aussi, je finis mes bidons…). Si tu as une astuce pour le four, je prends… Le bicarbonate ne fait pas grand chose. Et je suis une grosse consommatrice de vinaigre blanc. Lessive maison, j’en ai fait aussi (quand je n’ai pas la flemme ^^).

    Je crois que j’ai fait à peu près le tour. On va changer pas mal d’habitude quand on aura déménagé. J’aurai plus de place en cuisine pour refaire du pain, me lancer dans la fabrication de yaourts maison (bien qu’on ne soit pas de gros consommateurs )… 🙂

    1. Mélanie says:

      Bonjour Marie! Un grand merci pour tous ces détails !

      Pour ma part n°3 sera, je l’espère profondément, l’occasion pour moi d’allaiter enfin, donc peut être des économies à ce niveau ! Concernant les couches lavables, j’ai beaucoup à apprendre et je fais beaucoup de recherches, je n’y connais rien. Je voudrais du pratique et ne pas me ruiner dès le début en ratage de marques qui ne « fonctionnent » pas. Jusque là, c’était Lidl, les moins chères et les plus efficaces qu’on ait trouvé. Mais bien sûr, zéro question écologie…Il me reste quelques mois pour peaufiner cet aspect que j’aimerai bien améliorer.

      Pour le four, je fais une pâte avec le bicarbonate que je laisse poser plusieurs heures (voir la nuit) si vraiment encrassé. Ensuite avec de l’eau, cela part tout seul. Il faut bien rincer pour tout enlever, mais c’est efficace. Je ne me suis jamais servie de la pyrolyse, il parait que c’est très efficace, mais l’idée de mon four à fond pendant plusieurs heures ne me plait pas du tout ! Ici, les yaourts natures sont juste pour les enfants (je n’aime pas ça au soja) et pour faire mon fromage ail et fines herbes !

      Ahhh le potager parental, à chaque visite chez mon père, on repart le coffre plein de légumes, confitures, noisettes, petit bois (non ca ne se mange pas^^), le bonheur ! C’est vrai qu’avoir une maison amène du confort, je te souhaite de pouvoir t’organiser comme tu voudras !
      A bientôt !;)

      1. Marie says:

        Si tu veux un retour d’expérience (allaitement ou couches lavables), n’hésites pas. Je me suis pas mal documentée sur les sujets… j’ai des couches lavables en petite taille qui ne demande qu’à protéger un petit popotin si tu veux que je te les prête 😉 après, celles qui sont les plus pratiques sont aussi les plus chères (celles toutes en un qui se mettent comme une couche jetable) donc ce n’est pas ce genre de modèle que j’ai.
        pour les couches jetables, j’alterne entre les marques bio et les marques magasins selon le budget et les promos que je trouve. Je n’entends que du bien de celles de Lidl, faudrait que j’essaye.

        Pour le four j’avais essayé mais peut être pas laissé agir assez longtemps. Il se salit à une vitesse folle je trouve. Mais je vais retenter

        Bises et merci pour tes bons conseils 😉

        1. Mélanie says:

          Avec plaisir pour les couches naissance ! Et oui, je vais te solliciter pour l’allaitement car bien que lisant beaucoup sur le sujet, c’est quand même de la pratique avant tout ! Et mes dernières douloureuses expériences ne vont pas m’aider.

          Et avec plaisir si je peux aider un peu !
          Bises

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