Quand on achète un produit issu de l’agriculture biologique, il y a souvent de très nombreuses informations que l’on ne connait pas. Aujourd’hui, avec l’entreprise Biodemain, j’ai envie de vous expliquer la démarche d’un.e agriculteur.ice, d’un.e producteur.ice qui souhaite passer à « la bio » comme on dit dans le jargon, et vous présenter cette entreprise qui les accompagne durant cette conversion.


Quand on travaille des produits de la terre en agriculture conventionnelle, que l’on décide de passer en agriculture biologique et de se faire labelliser, deux à trois années sont nécessaires avant d’obtenir le fameux sésame, le logo vert si connu de tous visuellement.

Pendant ces trois années, les professionnel.les de l’agriculture, du maraichage, de la viticulture, de l’arboristerie, etc, connaissent de nombreux changements dans leur activité :

  • Ils doivent respecter le cahier des charges de l’agriculture bio sans en appliquer les tarifs de vente
  • Alors même que le coût des matières premières augmente, le rendement est souvent moindre
  • Ils.elles manquent parfois de contacts pour la transformation / l’emballage de leurs produits
  • Il est plus compliqué de trouver des points de vente puisqu’ils ou elles ne souhaitent plus être associé.e.s au conventionnel, mais que la labellisation n’est pas effective.

Biodemain pour accompagner cette transition

C’est de ce constat qu’est né Biodemain, en 2019. Cette entreprise a vocation à accompagner celles et ceux qui sont dans cette période charnière, en pleine conversion, pour leur trouver des débouchés et communiquer autour de leurs produits.

J’ai découvert Biodemain via La fourche, épicerie bio en ligne que vous connaissez maintenant ! J’ai franchement trouvé très chouette la démarche globale. Mon père était éleveur en bio, donc je connaissais le processus et comme j’ai longtemps travaillé avec des producteurs bios en tant que traiteur, je connais les coûts et la main d’oeuvre supplémentaires que cela peut occasionner. Savoir qu’il y a une entreprise qui peut aider lors de cette conversion, c’est vraiment positif et peut-être que ça incitera plus de personnes à se lancer.

Comment ça se passe ?

Les audits et contrôles similaires au bio

Aujourd’hui, Biodemain -qui est une jeune entreprise, accompagne plus de 30 agriculteur.rices, ce qui représente environ 200 hectares de terre passées au bio.

Leur objectif via cette collaboration ? Se faire connaître, faire connaître leurs produits, sensibiliser à cette période charnière afin de pouvoir se développer et accompagner encore plus de de professionnel.les.

Biodemain accompagne les demandeur.ses une fois que la dernière récolte en conventionnel est écoulée et démarrent donc un partenariat pour leur première récolte en conversion.

Après avoir fixé un prix avec les producteur.ices, ils arrivent à les payer en moyenne 80% plus cher que le conventionnel et s’engagent sur des quantités d’achats, ce qui est plutôt rassurant. Quand on sait à quel point les tarifs en agriculture sont sans cesse tirés toujours plus vers le bas, c’est un sacré coup de pouce pour aller au bout de leur conversion.

L’un des objectifs principaux est de développer et ramener sur le sol français des filières de produits qui sont souvent importés, comme l’huile d’olive, les noix…

Les agriculteur.rices qui s’engagent avec Biodemain sont soumis à un audit deux fois par an avec les organismes certificateurs de l’agriculture biologique. Ils ne délivrent donc pas le label, mais vérifient que les produits sont bien cultivés et/ou transformés sous les mêmes normes.

Mutualisation de moyens et mise en relation 

Par exemple, si un producteur de pommes veut écouler son stock sous forme de jus, mais ne dispose pas du savoir et du matériel, Biodemain le met en relation avec des professionnels soumis à la même législation dans un rayon géographique proche, favorisant ainsi la mutualisation des biens et des savoirs. Embouteillages, empaquetage, et vente, ils sont donc accompagnés du début à la fin.

Quels produits actuellement ?

Ce sont des produits longue conservation, bruts pour la plupart et qui sont proposés dans des emballages recyclables en verre ou en sachet kraft : pois chiches, lentilles, quinoa, vin, cidre, jus de fruits, farine, purée de pommes, miel, soupes, huile d’olive, noix…

Ils sont donc très faciles à intégrer dans votre caddie car ce sont des produits du quotidien. Sur chaque paquet, vous pouvez savoir d’où vient l’aliment, la traçabilité est parfaite et c’est franchement rassurant !

Où trouver les produits Biodemain ?

Actuellement, vous pouvez les trouver dans certains magasins bios tel que Naturalia, Biocoop, Bio fort et Vert… L’objectif de 200 magasins d’ici la fin de l’année est fixé.

Ils sont également en vente sur le site de La fourche donc, bientôt chez Greenweez et sur leur propre site.

Acheter ces produits c’est donc soutenir directement ceux qui sont en conversion et c’est important !

Et après ?

Actuellement, Les fondateurs de Biodemain réfléchissent à développer des gammes pour après, à savoir qui vont au delà de la réglementation de base imposé par le logo AB. Cela se traduit chez les producteur.rices par l’installation de ruches pour davantage d’insectes pollinisateurs, des formations à la permaculture, de panneaux solaires, la plantation de haies bocagères…

Le label bio est pour moi le minimum à exiger. C’est un label qui devient fourre-tout et savoir que cette entreprise en a conscience et encourage déjà à aller au delà est ultra-positif.

Un concours pour découvrir une sélection des produits !

Pour clôturer cet article, on vous propose un concours afin de remporter un joli panier de produit pas (encore) bio ! Le tout 100% français et végétalien.

  • Un jus de poire
  • Un jus de pommes
  • Une bouteille de vin blanc*
  • Une bouteille de cidre*
  • Un paquet de 500 g de lentilles
  • Un pot de purée de pommes
  • Un kilo de farine de blé T80
  • Un paquet de 500 g pois chiches
  • Un paquet de 500 g quinoa

*Ces deux alcools sont vegan, merci à Biodemain de s’être renseignée.

Règle du concours

Le concours à lieu du vendredi 21 mai au lundi 31 mai à 9 heures.

Pour participer c’est simple :

  • Il suffit de s’abonner à la newsletter du blog. Pensez à confirmer l’abonnement dans vos mails (vérifiez les spams), sinon votre participation ne sera pas prise en compte.
  • Laissez un commentaire en nous disant ce que vous inspire cette démarche et si vous connaissiez un peu le parcours pour se convertir en agriculture biologique.
  • Le tirage au sort sera effectué le dimanche et je contacterai par mail directement le ou la gagnant.e.
  • Biodemain lui enverra ensuite le colis avec tous les aliments !

Si la démarche de Biodemain vos intéresse, n’hésitez pas à les suivre sur leur compte Instagram ou leur page Facebook.

Vous pouvez également consulter l’eshop et vous tenir informer des avancées et des nouveaux produits sur le site.

Article rédigé en collaboration avec Biodemain

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167 commentaires

  1. LAETITIA BOLLA says:

    Bonjour Mélanie,

    Étant déjà cliente de la fourche que j’ai connu grâce à toi, j’avais déjà vu passer ses produits sans trop m’y intéresser. Donc merci pour ce post qui a bien expliqué l’enjeu derrière. Et pour la prochaine commande je ne manquerai pas d’aller y jeter un oeil pour voir ce que je pourrais prendre. Je participe donc bien sûr au concours merci 🤗

  2. Cécile says:

    Bonjour Mélanie !
    Merci pour le concours ! 🙂
    J’avais déjà vu des produits « en conversion vers le bio » à la Ruche qui dit oui, mais je n’avais jamais creusé la question. Je voyais bien que c’était une démarche à soutenir mais je n’avais pas pensé à tous les points que tu soulèves. Merci pour ta recherche d’informations et ton partage !

  3. Elodie says:

    Quelle belle démarche, je n’en avais jamais entendu parler et je suis ravie que tu leur permettes d’être plus connus ! Je n’avais pas conscience de toutes ces barrières à la transition vers l’AB alors qu’une telle entreprise les y aide c’est vraiment génial. Sans connaître j’aurais été dubitative à la vue de l’emballage mais là je suis convaincue.

    Et merci pour le concours !
    Bonne journée à toi

    1. Zokupi says:

      Oups j’ai validé trop vite.

      Je vais être attentive dans les épiceries bio que je fréquente, vu que je suis pas encore abonnée à La Fourche 😁

  4. Sarah says:

    Bonjour Mélanie, merci pour ton article qui éclaire sur les problématiques rencontrées par les agriculteurs/maraîchers/producteurs BIO ou en conversion. Merci pour cette sensibilisation, c’est tellement important. Ce soutient est primordial car le quotidien des producteurs BIO n’est pas toujours simple et intense mais c’est fait avec beaucoup de passion. Et je participe à ton concours avec plaisir 🙂 Toujours un très grand plaisir de lire tes articles. Bonne soirée

  5. Agathe says:

    Merci pour cet article informatif et pour le concours.

    J’avais vu les produits sur la fourche sans en commander, je ne sais pas trop pourquoi mais j’étais un poil réticente. Quand j’aurai repris mon abonnement je commanderai sans hésitation pour soutenir la démarche.

  6. cyqlaf says:

    Je trouve cette démarche super bien. Aider les gens qui font des efforts, c’est vraiment positif.
    Toutes les démarches sont super compliquées alors le soutien de personnes s’y connaissant, c’est tellement rassurant.
    J’achète déjà de leurs produits dans mon magasin bio et j’adhère à leur démarche à fond.
    Bravo et merci pour la présentation !

  7. Alia says:

    Bonjour Mélanie,
    Je te remercie pour ton article! Je savais que les démarches pour passer à la bio étaient compliquées (et que certains agriculteurs produisent quasiment tout bio mais n’ont pas la petite étiquette à cause de ça) et je suis contente d’en avoir appris plus à ce sujet. Je suis d’accord que le label bio ne semble pas toujours suffisant. Je me pose souvent la question sur la pertinence d’acheter des produits bio en GMS… A quelle point l’éthique biologique est respectée, quand une grande marque produit aussi bien des produits bio et d’autres non…

  8. Shasincar says:

    Bonjour Mélanie,

    Je connaissais la marque, car il me semble que tu en avais déjà parlé (je crois me rappeler plusieurs stories Instagram où tu évoquais le parcours de combattant pour obtenir le label bio) : je suis contente que tu en aies fait un article, je préfère ce format-là pour m’informer !

    Je ne savais pas que BioDemain avait un site, j’irai donc voir ça de plus près, car j’achète certains de leurs produits sur La Fourche et je trouve ça toujours intéressant de s’informer plus en détail 🙂

    La démarche est top en tout cas ! Rémunérer à un prix juste, aider/soutenir dans une démarche lourde mais qui a du sens… J’adhère complètement et je trouve ça même dommage qu’il n’y ait pas plus d’entreprises qui soutiennent les agriculteurs qui font cette démarche. Merci d’en parler en tout cas, ça me donne (très) envie d’approfondir mes connaissances à ce sujet.

    Belle journée,

    Sarah

  9. Sakura says:

    Bonjour Mélanie et merci pour le concours, le bio se développe de plus en plus mais avec des labels parfois achetés qui ne respectent pas l’éthique, le bio aux chartes strictes français ou les conditions de travail de ses salariés. Je pense notamment aux grandes surfaces qui baissent au maximum leurs prix pour l’attractivité mais au détriment des salariés qui récoltent ou cultivent ces produits. Je suis loin d’être parfaite et parfois je me laisse tenter car c’est pratique quand on n’a pas envie de faire plusieurs magasins et prendre la voiture pour le magasin bio 20km plus loin. Voilà ce que m’inspire donc biodemain: un ensemble de cohérence entre la qualité des produits, le prix attractif pour le consommateur et rentable pour le producteur, une réduction des emballages et un respect de la planète et de la biodiversite. Bonne chance à tousaa

  10. Virginie says:

    J’ai acheté pour la première fois un jus de pomme « en transition ». Je ne connaissais pas l’existence de ces produits et je trouve formidable qu’ils aient une lisibilité. Je viens d’apprendre que des aides pour le maintien en agriculture bio vont être supprimées dans la nouvelle PAC alors que des grandes groupes comme Pernod ont des aides dans cette même PAC. Merci pour ce concours.

  11. Maëlle (oui, celle-là ;) says:

    Je tente, je trouve ça super positif comme démarche et rassurant pour nous vu comme sinon c’est difficile de savoir dans quelles conditions sont produits les aliments non labellisés (déjà que les labellisés on sait pas vraiment à quel point le sol est travaillé et tué…)
    Merci pour cette découverte !

  12. Sandrine says:

    Merci de nous informer sur cette démarche, c est une belle initiative qui contribue au développement du bio, du vrai car avec tout le greewashing actuel, on s y perd un peu. Bravo pour votre travail.

  13. Sophie says:

    Article très intéressant, je ne connaissais pas du tout Bio de demain ni le parcours de certification bio : c’est une belle démarche.
    Et encore un beau concours sur ton blog, décidemment on ne t’arrête plus !

  14. Marie Leblanc says:

    Waouh ! C’est vrai que je n’avais pas forcément à l’esprit la complexité demandée pour se tourner vers le bio ! (Et pourtant j’aimerai bien que cela soit de plus en plus suivi) Je vais chercher mon lait directement à l’heure de la traite et en discutant avec le fermier je me suis rendue compte que celui-ci était bio dans les faits mais qu’il n’avait pas l’agrément pour le vendre ainsi… En tout cas je suis très fière de lui car il me permet d’avoir du lait de qualité, très local, bio, frais, en vrac (vive les bouteilles en verre) et à un moindre coût car sans aucun intermédiaire !

  15. Pauline says:

    Merci pour cet article et ce concours, j’avais déjà entendu parler de ce concept, que je trouve très intelligent car effectivement, le passage en bio ne se fait pas du jour au lendemain, et pour en avoir déjà discuté avec des producteurs qui ne sont pas encore labellisés, c’est parfois le parcours du combattant (ou trop cher justement, pour des petits producteurs). Je garderai l’oeil ouvert pour cette marque dans ma biocoop, car je ne me souviens pas en avoir vu jusqu’ici ! Belle journée !

  16. Raphaëlle says:

    Merci pour toutes ces informations, c’est bien de savoir qu’on ne passe pas de conventionnel à bio d’un coup de baguette magique et que la vente et la valorisation des produits est compliquée.
    J’espère que cette jeune entreprise trouvera plein de clients

  17. petitjean séverine says:

    Bonjour Mélanie,

    Je trouve ça vraiment chouette et encourageant qu’une entreprise accompagne les agriculteurs dans leur conversion, j’ignorais son existence et en même temps je me demande comment personne n’y a penser plus tôt?! La collaboration entre producteurs, consommateurs et revendeurs est vraiment la clé pour le monde demain…
    Je savais que le processus de conversion était long et couteux mais j’ignorais à quel point, j’espère que ce genre d’initiative va encourager les agriculteurs hésitants ou réticents à changer de point de vue et à se lancer dans l’aventure

  18. Carole says:

    Hello, alors je ne connaissais pas du tout cette entreprise! Déjà au bio depuis pas mal de temps, c’est une bonne initiative de mettre en lumière ceux qui font les choses bien sans pour autant avoir encore le fameux graal du logo bio. Super comme accompagnement à la reconversion. Bonne journée!

  19. Catherine says:

    Merci pour cet article, Mélanie ! Je connaissais les difficultés pour les agriculteurs liées à cette (longue) période de transition, mais je n’avais jamais entendu parler de Biodemain. Je trouve leur démarche géniale, non seulement pour le soutien qu’elle apporte aux agriculteurs, mais aussi pour le partage d’infos vers le consommateur à propos de cette période de conversion. J’applaudis des deux mains !

  20. Laurence says:

    J’achète souvent des produits d’agriculteurs qui sont en conversion, ou qui sont bio mais ne veulent pas payer le cout de toute la procédure. C’est vrai que la transition est difficile et il faut les soutenir. Merci pour le concours.

  21. PARIS Isabelle says:

    c’est top de pouvoir aider les agriculteurs qui veulent passer au bio, je savais que le passage au bio était long et couteux, en tout cas ma prochaine commande sur la fourche je ferais un detour pour commander cette marque. et pour la news déjà abonnée (avec plaisir).

  22. Merci pour la découverte. Je ne connaissais pas du tout le principe de cet accompagnement, c’est encourageant ! J’avais en tête que la conversion dure 2 ou 3 ans selon les cultures.
    Je croise les doigts pour le concours 😉

  23. josiane brun says:

    Bonjour Mélanie Je ne savais pas qu’avoir ce label était aussi galère pour l’obtenir! Moi j’ai un producteur près de chez moi qui fait des fruits et légumes dits « bios » car n’a pas le label mais ont clarement plus de goût que ceux du supermaché ! à nous de faire en sorte qu’il nous en reste pour l’hiver en les cuisinant et mettant en pot on patiente jusqu’à la saison prochaine ! Maintenant je verrais d’un autre oeil mon petit producteur merci Mélanie c’est vraiment très généreux de ta part de faire prendre conscience aux gens que la labellisation n’est pas gratuite et lourde et que tout le monde ne peut pas suivre tous les méandres administratifs ils ont du courage pour se reconvertir sur du raisonnable et respectueux de la nature pour le futur de notre planète et notre santé. Merci à toi. Tes vlog et vidéos sont toujours intéressantes

  24. Mauger says:

    Bonjour,
    Je connaissais déjà la problématique du temps de transition + celui du cout des labels bios qui peuvent être un vrai frein (donc discriminer des agriculteurs locaux, dans la recherche d’un nouveau mode de production respectueux). Je ne connaissais pas la marque et pour une fois, c’est un sponsoring que je trouve réellement intéressant (je parle du sponsoring en général, on a pas à se plaindre sur ce blog). Merci 🙂

  25. Coraline says:

    Merci pour ce concours et merci pour parler et mettre en valeur l’agriculture biologique. Chez nous ce sont deux priorités : manger vegan et bio. Dans nos magasins BIO on peut souvent trouver des fruits d’agriculteurs en conversion. Je trouve ça très important de les encourager surtout que la démarche est loin d’être simple et coûteuse mais ce sont vraiment des initiatives que j’ai envie de soutenir car l’agriculture biologique c’est tellement important pour l’avenir de nos enfants, de la planète et le nôtre.

  26. Hélène says:

    Superbe article ! Je connaissais la démarche et je trouve qu’on y gagne tous du producteur au consommateur. Il faut bien accompagner le changement par étape, puisque l’on ne peut pas devenir bio du jour au lendemain. Force à tous ces producteurs qui préparent un futur plus souhaitable !

  27. Sophie Jacquemin says:

    Bonjour Mélanie,
    Merci beaucoup pour cet article vraiment intéressant. J’avais déjà vu ces produits dans mon magasin bio et je n’avais pas vraiment d’avis sur le sujet. Maintenant que je connais la démarche je trouve que c’est vraiment un chouette projet.

  28. Sophie J says:

    Bonjour Mélanie,
    Merci beaucoup pour cet article vraiment intéressant. J’avais déjà vu ces produits dans mon magasin bio et je n’avais pas vraiment d’avis sur le sujet. Maintenant que je connais la démarche je trouve que c’est vraiment un chouette projet.

  29. Karine Despeaux says:

    Bonjour Mélanie,
    encore une fois, un article très intéressant, c’est bien de mettre en lumière des problématiques auxquelles on ne pense pas forcément, même des personnes qui consomment bio, local, ne savent pas forcément la « galère » de la labellisation.
    En tout cas, je pense que les magasins bio type biocoop, naturalia etc.. pourraient mettre un peu + en avant ce genre d’initiatives vertueuses pour sensibiliser les gens. Je vais demander à la Biocoop où je fais mes courses si ils connaissent cette marque. La pédagogie, la pédagogie, la pédagogie toujours et partout 😉

  30. Stéphanie says:

    Merci de mettre en lumière ces agriculteurs qui œuvrent jour après jour pour nous apporter des produits de qualité et sains. Un parcours difficile qui mérite d’être souligné.

  31. Magali says:

    Merci pour cette jolie découverte ! Je sais quoi choisir lors de ma prochaine commande à La Fourche. Je savais déjà que le passage en bio était un parcours long et semé de contraintes mais sans connaître réellement lesquelles… Merci pour ces éclaircissements.

  32. Fanny says:

    Super initiative! Je suis super fan!!Je suis actuellement un cours sur le développement durable au sens large et du coup en plein questionnement sur beaucoup de sujets. Je trouve cette initiative absolument formidable quand on pense à tous les challenges liés à l’environnement. Selon une de mes dernières lectures, en France il n’y a que 8.5% de la surface agricole qui est bio en 2019 avec une demande pour le bio croissante. Je trouve que c’est une super initiative qui va dans le bon sens. Même si je ne gagne pas le concours j’ai envi d’acheter leurs produits!!

  33. potironfou says:

    Bonjour Mélanie ! J’ai vu quelques (rapides !) reportages sur le sujet et j’ai été touchée par la situation de ces agriculteurs/éleveurs qui n’en peuvent plus d’exercer leur métier comme on le fait aujourd’hui (rendements-rendements-rendements + produits dangereux à gogo, etc.) et qui veulent changer tout ça, et gagner leur vie sans y laisser leur santé. Ce qui m’a frappée, c’est qu’au mieux, ils ne sont pas aidés, au pire… Donc bravo à Biodemain et courage, ils ne sont pas seuls !

  34. Rory24 says:

    Bonjour,
    je n’avais que peu d’éléments à ma connaissance sur la conversion au bio, je pense que ça demande un vrai engagement de la part de l’agriculteur/trice qui n’est pas toujours rapidement « récompensé ». Donc je trouve que cette entreprise, qui fait passerelle, c’est super. Merci pour la découverte !

  35. CélineB says:

    Je connaissais le parcours pour se convertir au bio et j’adhère à 100% à cette démarche. J’ai déjà eu l’occasion d’acheter des produits en conversion et je trouve qu’il est normal de les aider pendant cette période. Je suis contente de lire que Biodemain compte aller plus loin que les recommandations du label AB car je suis d’accord avec toi, malheureusement ça devient un peu fourre-tout 🙁

  36. Zuza says:

    Bonjour,
    Merci pour cet article très intéressant qui nous permet de découvrir cette belle initiative. Je vais vite aller voir leur site !

  37. Helene says:

    Je vais regarder si je trouve ça dans la biocoop près de chez moi.
    C’est une super initiative, la période de conversion est particulièrement difficile, heureusement certains producteurs peuvent compter sur leurs clients locaux déjà fidèles, mais tous n’en ont pas la possibilité, cela dépend, entre autre, du type de production : c’est plus simple pour un maraîcherqui vend sur le marché que pour un cultivateur de céréales, par exemple.
    En tout cas tes articles sont toujours interessants et motivante
    💪👍

  38. Fanm says:

    Déjà 100% convaincue par l’agriculture biologique, et par toute démarche qui fait évoluer notre société dans ce bon sens ! Je participe à ce super concours ! Bonne journée et bon weekend

  39. Fateam says:

    J’ai découvert les fruits et légumes « en transition » grâce au magasin vrac qui vend ces produits tout près de chez moi. Ce que je trouve très positif, c’est l’honnêteté : dire que l’on est en transition et pas déjà bio, alors qu’on en applique tout le cahier des charges.
    Je vais me replonger sur la question parce que je m’interroge tout de même sur le fait qu’à la base, la terre a été travaillée en agriculture conventionnelle pendant plusieurs années. Aussi : pour les arbres fruitiers par exemple : on garde bien entendu un arbre issu de l’agriculture conventionnelle, ses fruits auront-ils les mêmes vertus qu’un arbre issu de l’agriculture biologique dès la plantation ?
    Bravo en tous cas aux agriculteurs qui font le choix du bio et de la transition vers le bio. On a besoin d’eux.

  40. Domi says:

    Je trouve très chouette d’accompagner les agriculteurs qui souhaitent passer au bio. Dans mon quotidien, j’essaie au maximum d’intégrer du bio, même si c’est pas toujours facile. Bravo pour ton blog !

  41. Lucile says:

    Je trouve ça vraiment chouette comme initiative, car d’habitude dans les magasins comme Biocoop, les produits  » en conversion » ont simplement des étiquettes oranges au lieu des étiquettes vertes, et du coup j’avoue que même moi je n’osais pas toujours les prendre. Effectivement, cette période de transition mettre un vrai frein pour les producteurs : il faut vraiment être convaincu par la démarche pour ne pas être freiné par ces 3 ans…
    J’avais déjà entendu parler de ce délai de plusieurs années auparavant, car j’ai déjà été visiter une exploitation bio ( la personne produisait du soja). Mais il me semblait que c’était 5 ans !
    Je regarderai si je vois leurs produits dans mon Biocoop 🙂

  42. Merci (encore) Mélanie ! Nous on avait monté notre boutique de commerce équitable, et la problématique du pas (encore) bio, on connaît bien… Un parcours long, des charges à assumer en plus, des coûts loin d’être négligeables, des efforts continus… Alors c’est une super initiative que de soutenir ceux qui sautent le pas vers le bio !
    Et, puisque tu te le demandes, oui, j’adorerais goûter ces beaux et bons produits, alors je participe au concours (pour la Newsletter, c’est fait depuis belle lurette !).
    Bisous et bon long week-end !

  43. Blandine says:

    Merci beaucoup pour cet article. Je ne m’étais effectivement pas posé la question de l’entre deux et c’est chouette qu’une entreprise comme celle-ci existe et qu’elle réussisse à les faire distribuer dans le réseau. Via notre association de mise en relation directe producteur-consommateur, nous avons régulièrement des produits « pas encore » bio et ça ne pose pas de pb. Merci pour le concours 🙂

  44. Chloé says:

    Merci pour le partage d’informations, c’est intéressant de pouvoir soutenir les producteurs / productrices dans cette période de transition parfois compliquée et décourageante !

  45. Servane says:

    J’ai trouvé cet article très interessant ! Je connaissais les démarches pas toujours facile pour passer en agriculture bio, mais je découvre la marque Biodemain et leur démarche, et je trouve ça génial ! un vrai coup de pouce et peut-être une façon d’avoir de plus en plus d’agriculture bio sur le territoire, en offrant une sécurité plus importante. Merci de la découverte !

  46. Emma Trehoux says:

    Bonjour Mélanie!

    Ayant un oncle qui s’est converti dans la vigne bio il y a un an, je ne peux que saluer cette démarche! C’est vraiment génial d’avoir des entreprises prêtes à soutenir les agriculteurs en transition, ce n’est clairement pas facile et c’est positif pour l’avenir. En plus, je pense que ça peut éveiller les consciences, convaincre certains agriculteurs de se lancer ou aux consommateurs de se dire qu’une transition vers le bio est possible!

    Je trouve cette démarche vraiment chouette, ça permet de ne pas ‘laisser de côté’ les personnes qui essaient de sortir du conventionnel, et je trouve cela génial.

    Merci pour ce chouette concours, ravie de pouvoir te lire tous les mois!

  47. Valérie says:

    Bonjour à vous tous(tes) !
    C’est drôle que vous en parliez maintenant car j’ai justement lu dernièrement un article sur biodemain dans biocontact (avril ou mai) et j’avais trouvé cela super comme initiatives ! Y a plus qu’à ! Soutenons, soutenons celles/ceux qui décident de passer au bio ! (dans mon département le 51, j’ai même découvert qu’on était dans le top 5 du glyphosate (non sans surprise quand je vois les agriculteurs de mon village !)
    Bonne journée ensoleillée 😉

  48. Caroline says:

    Carrément chouette d’accompagner les producteurs dans leur transition vers le bio car j’imagine que cela ne doit pas être très facile !
    Du bio et local viiiite ^_^

  49. Hélène says:

    Article très intéressant pour connaître la démarche en détail. Merci beaucoup ! Je participe volontiers 🙂 Bonne journée

  50. amélie says:

    Trop chouette ce genre d’initiatives ^^ On ne pense pas assez souvent à la galère qu’est celle de la transition !! Je valide le partenarait Mélanie hihi

  51. Comme toujours dans tes articles, tout est fort intéressant et instructif.
    Il faut aider ces producteurs qui sont dans la bonne démarche, oubliée du commerce qui ne cherche que le profit.
    Déjà abonnée à ta newsletter, et je file visiter leur site.

  52. Je participe avec plaisir ! Je ne connaissais pas du tout le parcours, ton article est très intéressant et je pense également qu’il est important d’accompagner les agriculteurs et agricultrice dans ce chemin tortueux vers la certification bio !

  53. Clélia says:

    Une belle démarche des agriculteurs et une belle initiative de Bio demain de mettre en lumière ce parcours vers l’agriculture biologique. C’est un chemin long, et le soutien est très important. Merci pour cette découverte !

  54. alexia says:

    Je trouve la démarche vraiment super car ce n’est pas facile de passer le pas seul ! Peut être que cela incitera plus de personnes à faire du bio et c’est une très bonne chose 🙂
    Je vais aller regarder leur page, merci pour la découverte !
    Je tente ma chance pour goûter ces bons produits 🙂

  55. Elise says:

    C’est une démarche indispensable et encourageante.
    J’ai déjà croisé ses produits sous ce label « bio demain » dans un des magasins bio que je fréquente et je les ai choisi car je trouve important de soutenir ces personnes qui vont vers le mieux, ce qui est aussi notre démarche de consommateur. MERCI.

  56. Charline says:

    Bonjour Mélanie
    Merci d’avoir détaillé tout ça pour nous !
    Adhérente à la fourche, j’avais commencé à regarder Bio Demain pour quelques produits suite à un post de Marie de la Salade a Tout.
    Quand j’attend certains de mon entourage dire que faire du Bio ça permet juste aux vendeurs de faire plus de sous, ça me fait grincer des dents !
    A bientôt !

  57. Laurence Mottet says:

    Bonjour, toujours plus loin dans l’accompagnement et l’information sur ce qui entoure notre alimentation. Merci de nous ouvrir l’esprit et le cœur, et merci à biodemain de ce travail.

  58. Emilie says:

    Je trouve ça super courageux de leur part ! Ici aussi, certains de nos producteurs ne peuvent pas s’engager dans la labellisation faute de moyens, c’est important de soutenir ! Merci pour cet article et ce concours 🙂

  59. Upsilona says:

    Nous sommes vraiment gâtées avec deux concours la même semaine, c’est pour mieux fêter les 7 ans du blog que tu chouchoutes ainsi tes lecteurs et lectrices ? 🙂
    Un article très intéressant qui explicite concrètement les méandres des démarches (assez méconnues, en tout cas pour ma part !) de la conversion vers le bio. En effet, j’avais connaissance seulement des 3 années nécessaires pour pouvoir passer du conventionnel vers le bio et espérer obtenir la certification mais je n’avais jamais réfléchi aux débouchés de ces produits « en conversion » durant 3 ans et au fait que les agriculteurs devaient assurer les coûts de production de l’agriculture bio tout en ne pouvant pas vendre leurs produits aux prix couramment pratiqués en bio… Je découvre l’accompagnement proposé par Biodemain et leur mission est vraiment louable ! L’idée de mutualisation des équipements de transformation (l’exemple du jus de pomme est bien parlant) est géniale et à encourager !

  60. Blaf says:

    Bonjour Mélanie,
    J’avais eu la curiosité d’aller voir ces produits sur le site de La Fourche sans donner suite jusqu’à présent. En effet, j’avais trouvé l’idée intéressante mais je n’avais pas bien pris conscience des tenants et aboutissants.
    Je vais désormais les soutenir dans mes achats : comme quoi cet article était nécessaire voire indispensable !
    Je participe avec plaisir au concours.
    Très bonne journée à tous.

  61. Carine says:

    C’est une initiative absolument géniale, merci de nous l’avoir fait découvrir. J’espère que ça poussera beaucoup d’agriculteurs à se convertir à l’agriculture biologique.

  62. Mathilde B says:

    Merci pour cet article vraiment très complet Mélanie.
    Je trouve la démarche Bio Demain vraiment fondamentale. Pour en avoir déjà discuté avec des producteurs locaux, je sais que l’obtention du label bio et la conversion au bio est une vraie galère matérielle et financière, et je pense que c’est essentiel que ces producteurs•trices qui ont la volonté de faire la transition mais pas les moyens soient soutenu•e•s.
    Bravo en tout cas, et merci aussi pour ce chouette concours auquel je participe avec joie.

  63. nadine says:

    Bonjour Mélanie.
    Merci pour cet article fort instructif pour moi qui découvre petit à petit l’alimentation végétale et tout ce qui s’y rapporte ou rapproche. J’achète mes produits chez de petits producteurs locaux qui ne sont pas bios mais en lesquels j’ai confiance. J’habite en plein centre breton où les petits producteurs sont nombreux et très peu sont labellisés bio à cause du coût de la reconversion…L’info que tu véhicules à travers ce blog gagne à être partagée un maximun pour développer ce partenariat……Je suis également abonnée à la fourche et veillerai dorénavant à prendre leurs produits merci…….Bon week-end.

  64. Hélène says:

    Bonjour Mélanie, merci beaucoup pour cet article, je ne connaissais pas la démarche pour transitionner vers une agriculture bio. J’adore le principe de cette marque ! Merci pour le concours

  65. Céline says:

    Bonjour,
    J’avais déjà entendu le nom de la marque mais ne m’étais pas renseignée plus que ça… C’est très intéressant !
    Ca ne doit pas être simple les premières années, si en plus on doit le faire seul… Quelle belle idée cette marque ! Ca donne envie d’acheter pour les encourager !

    Et merci pour le concours 🙂

  66. Bonsoir
    Merci Mélanie pour cet article sur le bio en devenir. Pas évident pour les agriculteurs et maraichers.
    Je me sers en bio essentiellement, je vois parfois également au magasin bio des produits en conversion, mais on fait des entorses. Le dimanche mon mari achète à un producteur non bio, et pourtant selon ses dires il ne traite pas ou peu. D’ailleurs cela se voit souvent, les légumes ne sont pas parfaits, ils sont aussi habités. Chose devenue rare, ils ont du goût et sont frais.
    ma voisine aussi a sa famille qui est maraichère. Elle me raconte parfois les méthodes utilisées par son frère, telle que l’utilisation de coccinelles, de bourdons… dans ses serres et je trouve ça très bien, même si ce n’est pas labellisé bio.

    Allez bonne soirée, et bonne continuation !

  67. Prudy says:

    Super démarche ! Le nom de cette marque Biodemain est bien trouvé !
    Je surveillerai dorénavant les produits de cette marque sur la Fourche ! Et je connaissais un peu la difficulté à se convertir en bio!!!

  68. Caroline says:

    Merci pour cet article et ce concours 🙂 je vais commander leurs produits via La Fourche, je me suis abonnée grâce à vous !

  69. Metaliane says:

    Quelle bonne idée de faire un article sur cette entreprise, j’ai eu l’occasion de tester la farine via la fourche, rien à redire. Je ne connais pas les démarches pour se convertir en bio mais je savais qu’il y avait une période charnière difficile entre le conventionnel et le bio. Bon week-end

  70. cynthia says:

    J’ai découvert grâce a lafourche (que j’ai découvert grâce à toi). Je trouve ca super de soutenir le entreprises qui veulent faire bien.

  71. Olivia says:

    Je trouve la démarche super 🙂 Je vais probablement passer chez La Fourche et je tenterai leurs produits 🙂 Je ne connaissais pas le process pour le passage en bio , du coup je me coucherai moins bête merci! Merci aussi pour le concours 🙂

  72. Walburga Rémond says:

    Bonsoir Mélanie, Merci pour ce concours. C’est important d’avoir confiance si on achète local. Le label n’est pas necessaire pour moi

  73. Myriam says:

    Bonsoir Mélanie.
    Merci pour cette info. Je trouve que c’est une très belle démarche et l’aide de BioDemain est précieuse pour les agriculteurs en conversion. J’achète la plupart de mes légumes en bio ou en agriculture raisonnées, mais je ne m’étais jamais posé la question de l’écoulement des productions durant la transition.

  74. Julie Lim says:

    Belle démarche que celle de cette entreprise. J’avais vécue la transition avec le bio de mon AMAP, alors ça me parle. Merci à toi et à eux pour le concours.

  75. Louise says:

    Je connaissais de loin le parcours pour passer en bio (surtout la notion de période de transition avant d’avoir le label. Pour autant, je ne me rendais pas compte de ce que cela impliquait. Quand j’ai vu passer les produits de cette marque sur la fourche, je me disais « ouais c’est cool, mais je préfère acheter du bio ». Ce petit article me fait revoir ma copie, merci pour le partage (et le concours).

  76. Shizashi says:

    Pas évident comme démarche. Et c’est vrai que j’ai facilement tendance à zappé si c’est pas bio. En tout cas c’est une démarche à expliquer et promouvoir =)

  77. Claudon says:

    Merci pour ce nouvel article qui me permet de m endormir un peu moins ignorante. C’est une très belle initiative que de valoriser le travail de ces personnes en « transition vers le bio ». C’est quelque chose qui devrait être encore plus développé.
    Je participe avec envie à ce concours.

  78. Florence Matheossian says:

    Merci Mélanie pour toutes ce d’infos car même si j’étais déjà sensibilisée quant à la démarche et achète très régulièrement les produits, je n’avais pas l’ensemble des informations concernant la charte des produits.
    J’étais par contre déjà au fait de difficultés, notamment financières, que rencontrent les agriculteurs lors de leur conversion, d’où la volonté de les soutenir en adoptant rapidement la marque Biodemain.
    Il est essentiel d’épauler dès le début de leur parcours ceux qui veulent nous nourrir du mieux possible 😊

  79. Fabienne says:

    Bravo à ces agriculteurs éclairés et courageux, bravo à Biodemain et bravo Mel! Encore une belle démarche qui fait sens! (Je parle pour les 3 🙂
    Après ma commande aux Inspyrées, me voilà adhérente à La Fourche et bientôt consommactrice des produits Biodemain, tout ça grâce au cul de poule 🙂
    Merci!

  80. Christine says:

    Bonjour Mélanie,
    Merci de relayer cette démarche car en tant que consommateur on n’imagine pas toujours les contraintes qui s’imposent aux producteurs ! Je fais mes courses à Satoriz et je être attentive à voir si ces produits seront distribués …
    Merci aussi pour le concours, je tente ma chance 😉!

  81. Gaelle says:

    Super article! Je ne connais rien au parcours pour la certification en bio, c’est intéressant! Bravo à biodemain et à ces agriculteurs qui veulent changer pour un meilleur futur 🙂

  82. Helene C. says:

    Bonjour,
    L’article est intéressant, merci. C’est vrai que le bio c’est important, mais clairement il faut le type d’initiative que tu décris ici pour engager des transitions… mieux vaut du « pas parfait » mais local, et des bonnes volontés qui progressent qu’une démarche sans nuance, qui du coup exclue. Les agriculteurs piégés dans un système délétère pour la terre ont bien Souvent été encouragés sur cette voie par des politiques publiques… La réflexion n’était pas la même, l’ordre des priorités non plus… Maintenant laisser baisser les prix et laisser les agriculteurs se débrouiller alors que l’accès à des terres « saines » est difficile, n’aidera pas à résoudre les problèmes. L’initiative concrète et pleine d’espoir décrite ici fait du bien en ces temps troubles. Bon week-end à tous 😉

  83. Océane says:

    Merci Mélanie pour toutes ces infos, je ne me rendais pas compte à quel point la transition pouvait être compliquée pour les agriculteurs.trices. La démarche de Biodemain est géniale et je vais les suivre avec grand plaisir 🙂

  84. Lénaïg says:

    Merci pour cet article intéressant. Je ne connaissais pas cette entreprise, dont je trouve l’idée très chouette. Je connaissais de loin les démarches et les cases à cocher pour être certifié bio, mais pas qu’il fallait attendre deux ans 😯
    C’est donc une super idée d’accompagner les agriculteur.rice.s dans la longue épopée de la certification bio. J’essaie de consommer mes fruits et légumes bio (Biocoop), et local (c’est fou les choses qui poussent dans le 35 !), et en lisant le chemin à parcourir, je suis encore plus reconnaissantes envers ces personnes qui produisent des produits bons pour nous et notre planète !

  85. Sylvie PASCAL says:

    Coucou Mélanie, je réitère mon commentaire via Instagram. Merci pour ce partage très clair et explicite. Je savais que le parcours « BIO » était compliqué mais je ne connaissais pas toutes les difficultés. Je soutiens à fond ! Merci pour ce beau cadeau qu’est ce concours <3 Belle soirée

  86. Marlène says:

    Merci Mélanie, une fois de plus, pour ces infos très intéressantes ! J’apprends toujours beaucoup avec tes articles et tes stories insta (ça fait un peu lèche bottes comme ça mais promis c’est vrai ! 😉 si tu savais comme tu m’as aidée dans ma transition pour devenir végétalienne !)

    En tous cas, je trouve la démarche de Biodemain hyper pertinente !! C’est tellement courageux de la part des agriculteurs de changer toutes leurs habitudes et leur manière de travailler, avec tous les risques qui vont avec, ça doit être rassurant d’avoir une telle entreprise à leurs côtés !

    Et enfin, merci pour ce concours juste TOPISSIME ! Très envie de découvrir ces produits ! 🙂

  87. Aurélie l'helguen says:

    Bonjour,
    Je découvre cette démarche que je soutiens à 100% !
    Il faut développer l’agriculture française !
    Merci beaucoup pour ce beau concours ! ♡

  88. cecile2004 says:

    Merci pour ce concours! Je serais ravie de soutenir cette démarche quand on sait la difficulté de se reconvertir en bio… Que de bâtons dans les roues alors que le bio devrait être la norme . J’estime que c’est le non bio qui devrait être taxé pour non assistance à la planète…

  89. Elisabeth says:

    Merci de nous présenter cette belle initiative qui valorise cette transition difficile pour les agriculteurs. Mon beau-père était riziculteur et a converti une partie de l’exploitation en bio. 3 années difficiles !

    1. Bonjour Elisabeth, oui effectivement, c’est vraiment long 3 ans quand on a du mal à vendre ses produits car entre deux et que les moyens sont différents ! J’espère qu’au final il n’a pas regretté sa décision.

  90. Aurélie says:

    Je connaissais déjà les produits BioDemain via le site de LaFourche. Je trouve l’idée et la démarche vraiment intéressante car elle permet d’accompagner les producteurs dans leur conversion. C’est une très bonne manière de soutenir ces agriculteurs.
    merci pour le partage!

  91. Voulgaris vanessa says:

    Je trouve cela super bien de mutualiser les biens et les savoirs pour ne pas surcharger financièrement les petites structures qui font la transition et aller au delà des critères du label avec des supers idées, ça fait du bien de savoir que ça bouge de ce côté là. Belle initiative, je regarderai si je peux en trouver près de chez moi.

  92. Aubérie says:

    Bonjour Mélanie,
    Merci comme toujours de tes articles très informatifs et tes belles initiatives. Je participe avec plaisir.

  93. Racine says:

    Tb cet article pour faire comprendre la démarche de Biodemain car je dois avouer qu’à ma première commande sur La Fourche, j’ai évité ces produits pensant que c’était du bio « discount ».

  94. Naudde says:

    Je connaissais déjà la marque via La Fourche et leur démarche me parle beaucoup car je suis bien consciente qu’un label coûte cher. C’est une discussion que j’avais eu avec le maraicher de notre amap qui n’est pas labellise mais qui s’impose au final un cahier des charges beaucoup plus drastique !

    1. Bonjour, effectivement, il y a des tas de maraichers qui ne veulent pas payer pour le label, et qui ont des exigeances bien plus pointues ! C’est bien d’en avoir parlé avec lui.

  95. Véronique says:

    Bonjour Mélanie, excellent article! J’achète déjà de temps à autre des articles en « transition », il est important de soutenir les agriculteurs dans ce moment fragile et même tout le temps en dehors du concours ! J’ai une sœur qui est éleveuse lait bio toute petite ferme dans l’Aveyron et je connais le processus de transition par lequel ils sont passés il y a déjà une bonne vingtaine d’années. Je suis déjà abonnée à la newletter et suis toujours contente de te lire. Je serais ravie de découvrir le panier du concours !

  96. Eve-Marie says:

    Bonjour Mélanie, merci beaucoup pour ce concours !
    Je connaissais déjà la marque Biodemain par La Fourche, on a déjà testé le jus de pomme et la compote, validés par mes petits testeurs intransigeants.
    Ton article me donne d’autant plus envie de les soutenir, merci d’avoir expliqué leur démarche.
    Alors je croise les doigts pour le concours, et j’irai tester d’autres produits de la marque sur La Fourche.

  97. Boissel says:

    Bonjour, j’ai un ami qui est maraîcher, cette période de conversion vers le bio est compliquée. Je pense que c’est important en effet de soutenir ces agriculteurs dans cette période. Merci

    1. Cortesi Audrey says:

      Bonjour
      J’avais vu leur fonctionnement grace à Ecolo-me (insta) et maintenant toi qui en parle c’est top. J’ai hâte que mon biocoop en vende pour en acheter. Je suis tellement admirative de toutes ces personnes qui bossent pour nous et notre santé. Bravo pour ce concept!

      1. Léna says:

        Pour avoir participé à une vigne associative en conversion bio, je me rends bien compte de ce que cela représente et suis tout à fait sensible à ce genre de démarche ! Je participe avec plaisir 😊😊

  98. Jeanne says:

    Bonjour Mélanie,
    Belle initiative de relayer les difficultés des agriculteur.trice.s désireux de se convertir en bio. Je savais que cette période des 3 ans étaient obligatoire avant de pouvoir prétendre au label. C’est une période délicate pour tous, quelle que soit leur type de production. Il leur faut en effet repenser complètement leur métier, désapprendre ce qu’ils savent et devenir des apprentis d’un autre métier. C’est une aventure qui demande un courage certain, une énergie de tous les instants.
    Je salue aussi la démarche de Biodemain qui permet à ces producteurs bio en devenir de valoriser leurs produits un peu mieux qu’en conventionnel.
    Merci pour ce concours.

  99. Lucie C says:

    Bonsoir,
    Merci pour cet article fort intéressant. J’avais des notions des contraintes subies par les agriculteurs mais je ne pensais pas que cela était aussi poussé. Je trouve cette démarche d’accompagnement des agriculteurs vraiment noble et honnête de dire que les produits ne sont (pas encore) bios. J’ai également vu passer ces produits sur La Fourche dont je suis abonnée depuis quelques temps et je passerai surement commande la prochaine fois si je ne gagne pas ce sublime concours. Bien entendu, je souhaite participer au concours pour pouvoir tester ces produits (pas encore) bios mais qui, je suis certaine, méritent amplement leur place sur le marché de l’alimentation.

    Je n’irai pas acheter ces produits chez Naturalia malheureusement car je boycotte totalement cette enseigne bio mais La Fourche restera ma source d’approvisionnement.

    Merci beaucoup pour cet article très instructif et parfaitement clair sur le sujet.

    1. Bonjour Lucie,

      Il y a plusieurs points de vente et cela va encore s’élargir. J’évite aussi les grandes surfaces du bio, mais parfois on a que ça à côté et c’est bien déjà de trouver des produits de ce type 🙂

  100. Nora says:

    Je connais la démarche et les produits. Très bonne idée de communiquer sur la conversion au biologique et d’accompagner les producteurs et productrices. Un gros plus pour leur packaging simple et reconnaissable !

    1. Emmeline says:

      Je connaissais déjà cette entreprise et je trouve la démarche super chouette, et encore plus maintenant que je sais qu’ils envisagent aussi l’après !

  101. Coralie says:

    Le fonctionnement est très inspirant car il souligne la volonté, l’ambition et donne les moyens en amont plutôt que de juger de l’actuel. Ça permet de mettre en perspective son propre rôle de consommation. Merci pour la découverte

    1. Je suis tout à fait d’accord, critiquer un système (hautement critiquable) sans y apporter de solutions qui allie à la fois écologie et maintien voir amélioration du revenu des agriculteurs, c’est tout bonnement inutile.

  102. Mélanie says:

    C’est une belle démarche. Se lancer dans le bio est une lourde démarche administrative.
    Au final on rend le mieux plus difficile à faire, c’est pas juste.
    Alors c’est bien que ce genre de démarche permette de faire la transition plus en douceur !

  103. Mathilde Didio says:

    Bonjour Mélanie !
    Je connaissais les difficultés occasionnées par cette transition et suis ravie de voir que des débouchés se développent pour les agriculteur/trice !
    Merci pour ce beau concours et cette découverte 🙂
    Bonne soirée !

  104. Maartje says:

    Merci pour cet article ! J’ai des ami.es maraîchèr.es qui se sont installés sur des terres non bio, aussi j’ai suivi leur parcours, et ton article permet de creuser encore plus le sujet. Je trouve super que cette entreprise veuille aussi aider les producteur.ices à aller plus loin que le logo AB et que leur démarche de commerce équitable nord-nord permette à ces produits une plus grande visibilité. Le panier fait rêver, et puis j’ai vu des mots alléchants comme huile d’olive et quinoa, alors je vais de ce pas aller faire un tour sur le site de Biodemain.

    1. Bonjour,

      Oui, c’est vraiment ce qui m’a plu, la valorisation de ressources sur le territoire français mais qui sont fréquemment importées, la mutualisation des besoins et des services pour la transformation notamment ! Assurer un prix d’achat décent sur un quota réservé est vraiment une sacré valeur ajoutée.

  105. THIBAULT says:

    Bonjour.
    Je ne connaissais pas du tout ces produits. J’ouvrirai l’œil la prochaine fois que j’irai à Biocoop ! Grâce à votre article clair (comme d’habitude) j’en ai appris un peu plus sur ce fameux label bio. Merci!

    1. Bonjour,
      Merci !
      malheureusement, Biocoop ne vend aucun produit qui ne soit pas labellisé, même si les produitssont aux normes du label, ce n’est donc pas dans cette chaine que vous pourrez les trouver pour le moment !

  106. Lota says:

    Il est intéressant d’aider un maximum d’agriculteurs à ce convertir en bio. Cette démarche est essentielle afin qu’un maximum d’agriculture tentent la conversion en bio.
    Merci à toi de relayer cette information.

  107. Tyney says:

    Bonjour, merci beaucoup pour cet article. Je connaissais déjà cette marque (grâce à la fourche que je connais aussi grâce à toi) mais c’est toujours intéressant d’en savoir plus. J’ai grandi en campagne, et j’ai vu la pauvreté dans laquelle la plupart des agriculteurices vivent. Je sais que pour même si certains avaient voulu passer au bio, la perte d’argent que le passage aurait engendré aurait été impossible à surmonter. C’est pourquoi j’aime beaucoup cette démarche afin de les aider, ce métier est déjà bien assez pénible pour être en plus obliger de continuer sur une méthode d’agriculture que l’on ne cautionne pas. Merci donc Biodemain d’aider celleux qui s’en sentent capable à passer le cap.

  108. Virginie says:

    Merci de relayer l’information, j’adore l’idée d’aider ces agriculteurs dans leur démarche, je sais où passer ma prochaine commande de produits « bio » !

  109. Esvan says:

    Merci pour cet article. Je suis déjà convaincue par le bio et les circuits courts et essaye d’améliorer du mieux que je peux ma façon de consommer. Je suis donc forcément intéressée par cette démarche d’autant plus qu’elle garantit un revenu aux producteurs sans qui rien ne serait possible. Je serai donc ravie de gagner ce superbe panier pour tester ces produits.

    1. Merci pour ce retour, car oui, bien au delà de la qualité des produits, c’est toute une filière et les revenus des personnes qui l’a font vivre qu’il faut protéger et valoriser !

  110. Boudra says:

    Merci encore pour ce concours, c’est une chouette initiative, cela permettra de pousser plus d’agriculteur vers la transition au biologique.

  111. Vesna says:

    Fervente consommatrice de local, bio et agriculture raisonnée depuis des années je trouve la démarche de cette marque extra et cela ne fait pas très longtemps que j’en entends parler donc cet article m’a été très éclairant et cela donne envie de la découvrir et de la soutenir ! Top, merci beaucoup

  112. martichat says:

    Merci pour ce concours.
    Je suis végétarienne donc c’est chouette que Biodemain se soit renseigné sur les alcools.
    Pour La Fourche j’ai quelques réticences, car leurs employés ne sont pas forcément bien traités, et si il ne faut pas oublier la production, il faut aussi respecter les conditions de travail de ses employés.
    Je participe volontiers pour gagner ce beau lot.

    1. Bonjour,

      La fourche n’est qu’un point de vente parmi d’autres. Par contre, concernant le travail des salarié.es, puis je savoir quelle est votre source ? Je travaille avec eux depuis plus d’un an, je n’en ai jamais entendu parler.

  113. laurence says:

    Bonjour Mélanie,
    la démarche de cette entreprise est géniale ! Je savais qu’il y avait un délai de 3 ans de conversion pour passer en bio. Les producteurs sont avant tout… des producteurs, alors les accompagner pour toutes les démarches indispensables mais pas forcément dans leur coeur de métier c’est essentiel. Ca doit aussi rassurer certains ou déclencher un déclic pour franchir le pas. Merci d’avoir expliquer plus en détail la démarche ici, et merci pour le concours 🙂

  114. Antonia says:

    Je trouve que c’est une excellente initiative. Passer au bio c’est difficile et ça décourage pas mal de monde malheureusement. Mais si une entreprise peut les aider à passer ce cap plus facilement ça sera tout bénéf’ (et pour la planète et pour les consommateurs). Si en plus Biodemain évite le sur-emballage plastique des produits bios je ne vois pas comment ne pas les soutenir !

  115. Marie says:

    Deux concours la même semaine !!! Nous sommes gâtés 😉
    J’ai entendu parler de cette démarche que je trouve vraiment intéressante !
    Cela permet de faire avancer les choses…..

  116. Carole BAREILLE says:

    Bonjour, je ne maîtrise pas suffisamment le sujet de l’agriculture BIO, et parfois je suis surprise, pour exemple => j’ai lu il y a peu un article qui disait que les laits et oeufs Bio étaient davantage pollués que les produits conventionnels… Du coup QUID : les terres sont elles analysées avant d’octroyer le fameux label AB ?
    Malgré tout je persiste et signe à consommer majoritairement local et bio et bien-sûr je te suis pour trouver des alternatives vegan et donc moins consommer les produits d’origine animale 😉

  117. Sophie says:

    J’avais déjà vu des fruits et légumes « en conversion » dans mon magasin Bio et c’est grâce à ça que j’ai appris pour les 3 années « entre-deux »…et je le demandais justement comment avoir accès à ces produits pour encourager les producteurs qui font un effort courageux pour changer drastiquement de démarche. Je trouve cette initiative super, et savoir que ça existe, je vais donc ouvrir les yeux sur la fourche et en magasin ! Bravo en tout cas. Et merci pour ce partage Mélanie !

  118. Mathilde says:

    Merci pour le partage d’informations! Effectivement c’est chouette de pouvoir soutenir cette période de transition qui est si difficile pour les producteurices!

  119. Marine Colléaux says:

    Super démarche, c’est compliqué et courageux de se lancer en bio, bravo à Biodemain de les accompagner!
    Et merci à toi se faire connaître l’initiative.

  120. Virginie Mirtain says:

    Bonjour, effectivement j’ai déjà vu des produit en conversion mais je ne connaissais pas tout le protocole.
    Je trouve ça top d’aider les producteurs à changer leur mode d’agriculture.
    Merci pour ce concours !

  121. Juliette says:

    C’est très inspirant, je savais que les agriculteurs avaient des difficultés (financières, administratives, etc.) à se faire labelliser mais je n’avais jamais pensé aux difficultés pour trouver des points de vente.
    En effet des enseignes 100% bio de type biocoop ne vendent pas des produits en conversion.
    Je n’utilise pas la Fourche car mon magasin bio est à proximité et je peux y aller à pied, mais je trouve le concept intéressant quand on est loin de ce type de magasins. Et le fait qu’ils permettent à ces producteurs de trouver des points de vente est très intéressant !
    Merci beaucoup pour vos articles, toujours très fournis et sourcés, c’est un plaisir de les lire.
    Juliette

    1. Bonjour Juliette,
      Merci pour votre retour !
      Alors La fourche n’est qu’un des points de vente, il y en a plusieurs autres que j’ai mentionné et que l’on peut trouver sur le site de Biodemain, et cela va s’élargir encore !
      Bonne fin de semaine !
      Mélane

  122. Dumont-Rott says:

    Super initiative c’est vrai qu’on ne pense pas toujours à l’enjeu de la transition vers le bio donc c’est une belle idée !😊

  123. Yasmine says:

    Je trouve ça génial pour promouvoir les agriculteurs en transition, car ce n’est pas évident comme projet !

    Merci pour ce concours !

  124. Marion says:

    Merci Mélanie, car j’avais déjà vu ces produits sur La Fourche, mais je ne connaissais pas du tout la démarche derrière ! C’est vraiment positif de voir qu’une entreprise s’engage comme ça ; en espérant que ça incite d’autres producteurs à se convertir au bio 🙂

  125. MathBichette says:

    Beau geste que d’encourager et mettre en lumière cette « marque ». En effet, soutenons ces vertes décisions ! Merci Mélanie pour tes articles toujours intéressants et engagés !

  126. adele says:

    Déjà 100% convaincu par l’agriculture biologique et toujours un plaisir de découvrir de nouveaux produits ! Je participe à ce super concours ! Bonne journée et bon weekend 🙂

  127. c’est vraiment chouette que tu relayes cette info (au-delà du concours) ! j’achète actuellement mes fruits et légumes chez un producteur local, bio dans les faits, mais pas labellisé car procédure trop lourde pour lui apparemment … on compense les difficultés liées au manque de label par un lien producteur/clientèle très étroit et fort qui permet de passer les coups durs (ex ; une année, prévente de jus de poires car toutes leurs poires étaient grêlées donc impossible à vendre normalement) mais je me rends bien compte des problématiques que ça donne … je connais d’autres producteurs qui voulaient aller vers le bio reconnu et qui ne réussissaient pas à trouver des terrains compatibles dans le coin, obligés de s’expatrier un peu plus loin ! bref, longue vie à cette entreprise Biodemain ! (ps je suis déjà abonnée à la newsletter !)

    1. Bonjour,

      Oui, c’est une problématique récurrente les quantités à produire et à écouler surtout ! D’avoir des partenaires qui s’engagent sur des quotas, c’est rassurant.

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