Je voulais vous parler des sorties au restaurant, mais si vous savez ces endroits où on se retrouve pour partager un moment de convivialité entre proche, moments qui se raréfient quand tu tu as eu la bonne idée de te reproduire plusieurs fois… Et comme le vegan il est tout le temps de train de râler, des fois faut bien faire une pause ! Alors, on va au resto avec ses potes. 

Vegan au restaurant - Le cul de poule

Je ne vous cache pas que ce n’est pas toujours simple de mettre tout le monde d’accord. Aujourd’hui dans un groupe de copains, entre le vegan, l’allergique au poisson, le coeliaque, celui qui ne veut que du bio, celle qui est enceinte et qui ne peut rien manger, celui qui ne jure que par le gras et la friture en se tapant le bide façon « je crois que je suis viril en flattant mon gras abdominal »… c’est presque plus simple de gagner au loto que de choisir un restau !

Là je parle des potes, mais les collègues c’est pareil.

Voire pire. En fait, c’est pire parce que si tu as un peu de bon sens et que tu ne veux pas passer ta pause-café enfermée dans le local à poubelle pour éviter Robert et son sens du débat « Le retour du slip kangourou, vegan ou pas ? Mouahahaha ! », ben tu ne dis rien sur tes convictions personnelles…

Tu ne dis rien mais tu sèmes des indices sur ton passage, comme le Petit Poucet et sa caillasse, en espérant que Véro, la collègue que tu aimes tant, finisse par comprendre. Mais elle ne comprend pas. Ce qui fait que, lors de notre dernière sortie, après avoir bouffé toutes les rondelles de saucisson à l’apéro, elle me demande :

– « Mais tu manges rien ?

– Ben non, Véro je mange rien… Pourtant, j’ai faim hein… j’ai commencé à attaquer la serviette en coton. Mais j’avais cru que t’avais compris qu’entre le logo L214 collé sur mon ordinateur (soit face à toi), mon sweat avec des petits cochons « Ne nous mangez pas svp » et le fait que j’amène du tofu trois fois par semaine, dans ma gamelle, ben j’avais un peu dit non à la viande. Et là, qu’est-ce que tu choisis pour fêter ta promotion ? « Bernard, le roi du tartare »…  ! »

Après, des situations comme ça, il y en a à la pelle…

Pour en revenir aux potes, on essaie en général de trouver un lieu qui fait consensus… Et là, bizarrement, la dernière fois c’est tombé sur « moules frites ». Je pense que ça a dû se voter quand je suis allée mettre des pièces dans la parcmètre. Sinon, je ne comprends pas.

Moules-frites. Tout est dans le nom, il ne me reste que les frites. Sauf qu’on a dû tomber sur le seul moule-frites qui récupérait l’huile de friture usagée de chez McDo… et c’était juste immangeable.

J’ai donc passé une heure à regarder mes potes se sucer le menton pour récupérer le jus des moules qui dégoulinait à grands coups de schluuuurp, et je me suis pris une grosse cuite au… cidre doux.

Quand le serveur arriva pour les desserts, mes yeux pétillaient : c’est comme l’ouverture des cadeaux le jour de Noël. Je vais peut être enfin pouvoir bouffer quelque chose !

Et qu’est-ce qu’il propose en seul met sucré végétalien ? 

Un sorbet.

Citron. 

Bordel, un sorbet citron ! C’est pas comme si je venais de sucer dix rince-doigts depuis le début du repas pour ne pas décéder !

J’ai fini par prendre un thé.

Pas le thé gourmand non. Le thé tout seul. De base. Le Lipton noir juste bon à déboucher les canalisation WC.

Arrive le moment fatidique de l’addition. Je sais pas pour vous mais nous entre potes, on divise tout par le nombre qu’on est. C’est plus simple. A la fois pour le serveur qui transpirait déjà à grosses gouttes à l’idée de se rappeler qui avait pris un supplément frites alors que l’autre avait pris deux fois du kir… et pour nous aussi. Ça évite les disputes : « Ah bah non, moi j’ai pas pris d’entrée je vois pas pourquoi je devrais ; moi je n’ai pas bu d’alcool c’est pas juste… » Oui, le ou la relou. On te regarde, ne baisse pas les yeux.

Sauf que là, ça allait être moi la relou. Parce que bon, avec un repas composé de rince-doigts, de deux bouteilles de cidre et d’un destop, c’est plutôt à moi qu’on doit de l’argent.

La prochaine fois, je simule la panne de bagnole pour qu’on passe me prendre. Je tiens à avoir le droit de vote au moment du parcmètre.

Parce que sinon, je vais encore me retrouver à me faire des tartines de ketchup à « La Maison du Steak ».

Bon, ça, c’est à supposer qu’on m’invite encore…

(Merci à ma moitié pour la tranche de rigolade à écrire à 4 mains)

Le coup de fouet !

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Au sommaire du mois de novembre :

biscotti vegan amandes et cranberries et orange
  • Document pratique. Planifier les repas de fêtes / où l’on reçoit. Je vous propose une trame pour décider de votre menu puis pour vous organiser ensuite dans les quantités et le planning.
  • Recettes. Un plat facile à emporter : des lasagnes à la florentine. Côté sucré : mignardises ! Rocher coco et biscotti amandes, cranberries et oranges.
  • À venir - Focus aliment : le wakamé. Je vous explique ce que c’est et on parlera aussi des métaux lourds et de l’iode. Je vous ai préparé 5 recettes très simples avec des saveurs marines : sapin feuilleté, tapenade et tartare d'algues, spaghetti express ou encore velouté trop bon, il y en a pour tous les goûts.
  • À venir - Billet thématique : Comment passer des fêtes plus sereines ? Guide de survie en milieu hostile !

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39 commentaires

  1. Je me vois dans cet article, généralement je demande une grosse assiette avec les accompagnements et ça me convient parfaitement ! Pour le désert je me contente d’un thé ou de sorbet (que je trouve degueulasse au passage) 😭 Parfois malheureusement je me fais avoir par les enseignes sans le savoir (présence de beurre par exemple) mais je fais de mon mieux et c’est l’essentiel sinon on ne mange plus ! Merci pour cette dose de bonne humeur ☺️

  2. Virginie says:

    Je crois qu’on est toute passé par là….
    Il m’est arrivée de temps en temps de manger une portion de frite accompagner d’une salade verte …. ou pizza VG sans fromage où il ne reste plus rien, deux olives et deux fond d’artichaud Qui se battent en duel, en plus d’une sauce tomate où on voit la pâte à travers …. et le sorbet citron est malheureusement souvent l’unique choix.

  3. Naty says:

    Bonjour. cet article m’a fait bien sourire: je suis végétarienne depuis peu un an et demi environ.
    bref, en saison, là où je travaille nous mangeons au restaurant le midi tous ensemble avec les collègues c’est super sympa seulement on n’a pas le choix du plat et malheureusement on se retrouve bien souvent avec de la viande ou du poisson tous les midis très peu de légumes de la salade plein d’huile … depuis 2 ans déjà je dis non au dessert car cela m’intéresse pas de manger un dessert tous les midis (50 ans les kilos s’installent vite!) et l’année dernière déjà je mangeais pas toujours la viande des fois j’avoue parce que j’ai faim et qu’il me faut du carburant pour tenir la journée jusqu’à 20h le soir parfois et aller à la salle après car j’aime le sport ça me détend. Mais là cette année j’ai vraiment envie d’être en rapport avec mes choix j’en ai fait part au chef et a sa réaction j’ai bien compris que ça allait être très compliqué ! … donc soit je me coupe de mes collègues c’est dommage soit je mange rien u des légumes soit je demande à faire réchauffer un tupperware mais là ça fait quand même un peu de tâche je trouve … j’ai encore beaucoup de mal avec ça j’aimerais bien avoir quelques conseils si possible merci beaucoup pour tout ce que tu fais

  4. Aaaaah un grand merci pour cet article ! En tant que végétarienne-très-bientôt-officiellement-végane, je me suis bien reconnue dans ce récit. Le genre d’expérience désagréable que tu n’as pas envie de réitérer, du moins pas nécessairement avec les mêmes personnes 😉 Pour certains, il y a une grosse confusion dans le régime alimentaire des végéta*iens (« t’es végétarienne mais du coup tu peux manger des crevettes, non ? C’est pas de la viande ni du poisson… ah ouais, non en fait » dixit une de mes plus proches amies). Un jour, nous mangerons à notre faim au restau en toutes situations /o/

  5. bonjour
    moi je suis juste végétarienne et c’est déjà compliqué , une salade mais sans poulet pas évident, des ^pates mais la sauce tomate j’en ai marre et c’est vrai que l’additon partagée , j’en ai assez aussi , celui qui prend le plat le plus chère avec un dessert ou une entrée alors que j’ai mangé une salade .
    C’est vraiment difficile.
    Pourtant mes collègues le savent mais par ici difficile de trouver un resto sans viande ……. Sans parler des réunions ou formations où les sandwichs sont prévus …paté, saucisson et jambon

  6. Bergamote 06 says:

    Belle tranche de rigolade ! Mais jaune bien sûr… J’ai a chance d’avoir des collègues qui tiennent compte de mes choix pour nos repas au resto et qui demandent toujours s’il y a une option VG…
    Et après 8 ans passés ailleurs quand je suis revenue elles s’en souvenaient encore… C’est vraiment sympa. Mais ce n’est pas toujours pareil !!

  7. Stéphanie says:

    Merci pour cet article… Et pour tous les autres… Ce dernier m’a fait pleurer de rire. Je ne suis pas vegan, pas encore totalement végétarienne mais j’essaie de m’en approcher le mieux possible. Ma meilleure amie a la maladie coeliaque et j’ai retrouvé dans cet article des fous rires que nous avons régulièrement.

    1. Bonjour Séphanie,

      Clairement c’est encore plus difficile de manger sans gluten à l’extérieur que végétalien ! Là aussi, les restaurant mettent du temps à se mettre à jour !

  8. Anna says:

    Bonjour Mélanie,
    Comme toujours tes billets plein d’humour sont superbes et mettent bien en lumière ce à quoi on peut se heurter =) je reviens d’un long week-end en Irlande et il y avait un choix énorme, tous les restaurants proposent plusieurs plats végétariens et vegan, et même une pizzeria classique où il y avait une 4 fromages vegan et un cheesecake vegan, des pâtisseries où tu as des choix vegan par dizaine. Nul besoin d’aller dans une enseigne spécialisée, là c’est tout à fait normal de proposer les deux choix dans tous les lieux de nourriture, j’étais conquise et le bidou trop rempli !
    Bises

    1. Que tu me fais envie Anna avec ton séjour !
      Je vais en Ecosse bientôt et je ne te cache pas que j’appréhende pas mal cet aspect là. On trouve toujours de quoi manger bien sur, mais bien manger en voyage est vraiment important pour moi alors je croise les doigts pour qu’il y ait autant de choix qu’en Irlande !

  9. Eléonora says:

    Coucou Mélanie,

    J’ai beaucoup ri à la lecture de ton article mais j’avoue que je rigole moins quand ça arrive !!
    Je suis sur Paris ça aide souvent mais pas toujours.
    J’ai opté pour la solution d’annoncer la couleur que ce soit avec les amis ou les collègues : pas de viande, pas de poisson. Les amis/collègues réagissent bien et font attention et vont même plus loin en s’essayant à la cuisine végétale !
    Le problème c’est plutôt qu’éviter la viande et le poisson c’est facile (sur Paris) mais ça se complique avec le reste (oeufs, fromages, desserts, …) et là je n’ai pas encore dépasser la phase « j’opte pour un repas végétarien » que ce soit au resto ou chez des amis.
    Je ne suis pas comme toi et ne peux pas rester zen au resto sans manger en regardant tout le monde se gaver ! Si je vais au resto c’est pour partager un moment convivial OK mais aussi pour manger et en plus je suis gourmande … donc la bouffe n’est pas secondaire sinon pas la peine de se retrouver au resto !
    Dès que je peux je me charge de réserver le resto comme ça je suis certaine de pouvoir partager le moment en toute sérénité et souvent c’est tout sauf un resto de cuisine française parce que partout ailleurs tu peux choisir tranquillou ce que tu veux sans t’afficher …

    Bisous et bon week end !

    1. Coucou!
      Dès qu’on peu a aussi on cherche quelques chose qui satisfasse le plus grand nombre 😉 Ce sketch est un condensé de situations vécus. Clairement je ne vais pas au restau pour regarder le fond de mon verre donc oui, le menu est important, surtout que j’y vais très peu !

      Plein de bises

  10. simonet says:

    Je suis végétarien depuis bientôt 40 ans et végan depuis 4/5 ans (j’ai 68 ans). Il m’est arrivé et il m’arrive encore d’être confronté à ce genre de situation cocasse. Mais l’âge aidant, je relativise beaucoup . Si j’accepte une invitation à un repas , je dis bien clairement et avec humour que je suis un végan intégriste, et me dis à moi que si j’accepte de venir c’est d’abord pour profiter de la présence des personnes , la bouffe dans ce cas est secondaire. Je suis bien des fois parti le ventre quasi vide mais l’esprit clair et fier.

  11. Helena says:

    Bonjour Mélanie,
    J’ai bien compris ton calvaire avec les restos.
    J’ai affronté une situation similaire cette semaine. Nous partons en randonnée avec ma tribu et après 3h de marche, on décide de manger quelque part. J’avais vu une brasserie dans le village et je m’étais dit que ça pourrait le faire. Manque de bol: fermé !
    On fini dans un restaurant gastronomique qui s’appelle « le boeuf….quelque chose « .
    Et là, ça se gâte…
    Cela fait peu de temps que je suis vegan et j’ai bien compris que ce n’était pas simple à faire accepter.
    Par exemple, pour le dernier repas chez la mémé, j’ai eu le droit à une boîte entière d’haricots verts dans l’assiette pendant que les autres se gavaient…
    Merci pour tes conseils, bises !

  12. Rata13 says:

    Coucou Mélanie, j’ai bien rigolé moi aussi, c’est exactement ce qui m’arrivait chaque fois que je devais aller au resto entre collègues, personne ne se souciait de savoir si j’aurais quelque chose à manger dans leur resto de viandard ! Alors sur la fin (je travaille seule maintenant), je m’arrangeais pour ne plus me joindre à eux, c’est bête, mais j’en avais marre qu’ils nient tous mon mode d’alimentation. Les repas au Bu****** Gr*** à manger du pain et sentir la viande morte grillée, merci ! Je n’ai pas eu ton courage, rince-doigts et destop ! Tu as dû trouver le temps long ! Enfin, mieux vaut en rire, ça fait 34 ans que je suis vegan, j’ai entendu de tout !
    Bonne soirée !

    1. Je ne suis pas salariée, mais le nombre de fois ou mon mari se retrouve avec le taboulé super U dans ls réunions de boulot car c’est jambon-pâté à toute les sauces (15 ans qu’il bosse la bas et plus de 4 ans qu’il est végétalien …)
      La hiérarchie a du mal ! Par contre ses collègues sont toujours cool quand il faut trouver un restau 😉
      J’imagine que tu as un sacré recul oui !
      Belle journée !

      1. Rata13 says:

        Ah, je compatis, j’ai connu ça aussi, les repas après les journées de formation ou réunion où je n’avais le choix que entre carottes râpées baignant dans leur sauce ou les tomates cerises en plein hiver.Un soir, je n’ai eu que les cornichons qui accompagnaient leurs assiettes de jambon, rillettes,… car on m’avait oublié tout bonnement, sympa ! On ne peut pas refaire les gens, ni le monde d’ailleurs !
        Bonne journée, merci pour tous tes billets et tes recettes.

  13. Cathy says:

    Hahaha, excellent cet article, merci, j’ai bien rigolé !
    Mais en vrai, c’est un peu pénible tout ça. Et encore, je ne suis QUE végétarienne pour l’instant (mais j’ai appris récemment que visiblement personne n’était au courant que les poissons et les crustacés étaient aussi des animaux, faudrait faire un communiqué, je sais pas…). J’angoisse déjà à l’idée qu’à un moment, je serai vraiment végétalienne et je me dirais que franchement, manger à l’extérieur quand tu es végétarienne, c’est vraiment de la rigolade à côté. Dans ma ville, j’ai réussi à trouver quelques restos qui proposent des trucs végétariens, mais pas beaucoup et alors végétaliens n’en parlons pas (je suis au pays de la rillette aussi, ça n’aide sûrement pas).
    Bref, ça fait du bien de sentir qu’on est tous en galère. 🙂

    1. Jean-Claude says:

      Bravo ! Bravo ! Bravo !
      Excellent et pourtant tellement vrai !
      Notre pays est très en retard et les mentalités très lentes à évoluer…
      Merci pour cet agréable moment

      1. Bonjour Jean Claude, et merci !
        Oui, notre pays est très très à la traine, c’est effarant. Si les produits dans les magasins augmentent de façon fulgurante, le choix pour se restaurer reste vraiment anecdotique en province !

    2. Ne m’en parle pas, ici pas un restaurant sans poisson, pas un qui proposerait un menu végétarien ( ou alors il faut demander à avoir un condensé des légumes du jour). Ca met du temps à venir en province quand même !

  14. C’est clair qu’il faut mieux être sûr de ses choix et le dire gentiment mais fermement dès le départ, parce que les indices semés discrètement, clairement ça fonctionne pas aha. Tout le monde a envie de ne pas les voir au bout du compte… (de mon côté les moules c’est le genre de truc sur lequel je me laisse de la marge de manoeuvre dans le cas où je suis coincée, dans la mesure où j’ai jamais réussi à trouver de littérature scientifique qui me convainque que les moules sont des êtres sentients, pour résumer)

    Je vois des améliorations dans mon entourage quand-même. Récemment je suis allée à la soutenance d’un copain, on était quand-même beaucoup, j’étais la seule végane et sa famille avait pensé à faire un cake végane <3

    Pour les restaurants, il faut avoir sa petite liste en tête d'endroits qui plaisent à beaucoup de monde sans que ce soit flag qu'on le propose pour ça 😀 ! Restaurants libanais, indiens et tibétains, japonais (y'a toujours des makis végé), etc.

    1. J’ai lu aussi des interrogations sur les bivalves, mais en fait, je n’ai plus envie. Je suis plutôt bien entourée question entourage, on va dire que là on s’est amusés à retranscrire des condensés de vécus 😉
      Et il n’y a pas de restau du monde là où j’habite, il faut faire de la route. A part les pizzas et les crêpes en campagne bretonne, c’est un peu le néant !

          1. Arf, ça aussi ça dépend des endroits 🙁 moi je demande parfois une margarita ou la végétarienne sans fromage MAIS avec de la roquette car ils en ont souvent en stock… dans les vraies pizzeria il y a parfois un miracle et ils servent la traditionnelle Marinara, mais c’est peu fréquent

  15. Frédérique says:

    Je vis au Québec depuis quelques années et ici rien de plus classique que d’avoir des additions séparées. Si on ne précise pas qu’on veut une seule note, le serveur apporte l’addition de chacun. Au début c’est bizarre pour nous français mais, à l’usage, ça ne choque plus et c’est vraiment pratique.

  16. Hello Mélanie!

    Très drôle en effet! Je suis bien aise de voir qu’il y a peu de choix en termes de restaurant tout près de chez toi. J’aurais raté l’occasion de bien rire!
    Blague à part, je suis également surprise du peu d’opportunités en dehors de paris qu’ont les vegans à pouvoir se sustenter sans risquer de vivre l’episode «  dramatique » que tu viens de nous décrire.

    Peut être une chance pour les plus courageux d’aller implanter un restaurant vegan du côté de chez toi? 😁😁

    Dans tous les cas, merci pour cette parenthèse drolissime!

    Corinne 🌷

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